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4/5 (sur 1 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 12/03/1878
Mort(e) à : Paris , 1953
Biographie :

Professeur à l'École des beaux-arts, éditeur
Historien de l'art
Art du XVIIIe siècle, dessin français, arts décoratifs
Carrière
1903 : docteur ès lettres en histoire de l'art
Vers 1905-1911 : secrétaire de l'École des hautes études sociales et collaborateur de la revue Athéna, dirigée par Dick May (alias Jeanne Weill) ; chargé d'un cours libre d'histoire du dessin à la Sorbonne
Avant 1910 : directeur de publication de la collection « Art et esthétique » aux éditions F. Alcan
Août 1911 : après le vol de La Joconde au Louvre et le renouvellement d'une partie du personnel, nommé au musée à un emploi temporaire ; entreprend l'inventaire des dessins du Louvre et de Versailles avec Jean Guiffrey
Juillet 1912 : élu professeur d'histoire générale à l'École des beaux-arts ; membre de la Société d'Histoire de l'Art français, de 1911 à 1913 ; président du syndicat des membres de l'enseignement des Beaux-Arts et président du conseil supérieur de l'enseignement des Beaux-Arts.

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Source : databnf INHA
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Chez Vouet Le Brun rencontre sans doute pour la première fois Mignard. Tous deux sont dans le même temps élèves du maître ; ils peuvent dès lors se connaître et se mesurer. De ce premier contact date peut-être la haine qui les divisera toute leur vie.
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Selon les biographes, la précocité de Charles Le Brun fut admirable. Les témoignages de cette précocité ne sont pas également vraisemblables, d’ailleurs. Nous pouvons douter qu’à trois ans l’enfant ait dérobé des charbons éteints pour dessiner dans l’âtre à la lueur du foyer. Par contre, très jeune, il esquissait des têtes colossales sur les carreaux de la maison familiale. A neuf ans il s’exerçait à la sculpture dans l’atelier paternel. A treize ans il travaillait avec François Perrier, dit le Bourguignon, cet élève de Lanfranc, qui, sans balancer la réputation de Simon Vouet fut un des meilleurs artistes de la première moitié du dix-septième siècle, un décorateur adroit qui transmit peut-être à son élève son goût très vif pour les allégories subtiles.
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