Nationalité : France
Né(e) à : Clamart , le 14/11/1947
Biographie :
Peter Riverstone, de son vrai nom Bernard Kamenoff,est un auteur de bandes dessinées français d'ascendance bulgare. Il travaille également sous d'autres pseudonymes : comput_lab, Peter, Firestone, 023014, Bandryke, Caumandre, Molossier, José Pierre...
Il passe son enfance et fait ses études secondaires en région parisienne. Il réalise ses études universitaires dans la série Beaux Arts UP8 architecture à Paris puis à la faculté de Vincennes de 1969 à 1971 .
C’est en 1980 qu’il publie ses premières publications aux éditions du Square (Georges Bernier) et dans "Charlie Mensuel ", le récit des "Aventures de L'aspérouse". Toujours dans "Charlie Mensuel", chez Dargaud, avec Mandryka comme rédacteur en chef, il publie :
1981 : " Les aventures de Martin Verlass" .
de 1982 à 1983 : "Alice" avec Mandryka (participation aux textes).
de 1983 et 1984 : "Annah O" avec Patrice Caumont et Nikita Mandryka.
Il travaille aussi pour la presse de bandes dessinées érotiques et réalise :
en 1982 dans les journaux "Sexbulles", "Bédéadult'" (éditions CAP,IPM...) :"Gomorrhe", "Fugue infinie", "Iles perversions" avec le scénariste "Henef" , etc ...
de 1985 à 1995 : "Trop plein d'écumes" Tome 1 et 2, "Il manque à vos experiences", "Thamara Juda", "Judith et Holopherne" , puis "Nagarya" Tome 1 et 2 ... et enfin "Casanova Ultérieurs" et qq recits courts d'après Boccace.
De 1995 à 2001, il entre à "ExMachina" l'ancienne "TDI "( Thomson Digital Images) où il participe à diverses productions 3D dont le film "Pola X" de Leos Carax ...
Site : http://www.riverstone.fr/
J’en ai vraiment plein le cul des types… si plein… que… je ne vois pas pourquoi il y en a un qui devrait retenir mon attention !... Mes grandes lèvres ont bien senti passer tous les vits dans cette foutue ville !... Pourquoi frémiraient-elles pour : un type ? Comme ça… un seul… type… ?? … Un type qui m’a suivie sans essayer de me violer… sans me dire des obscénités et tout, et tout… non mais ??
Quand fut achevé le dépouillement, on constata qu’il y avait 47 bulletins pour les Rouges et 47 bulletins pour les Blancs. Le président, abasourdi, et son bureau ahuri, prononcèrent le ballottage.
(Indice : Guerre)