C'est bien après sa libération, en méditant sur les conditions de détentions dans le pays, qu'il comprit le sens d'une autre chanson des maquisards et qui se fredonnait de bouche à oreille dans tous les quartiers populaires :
Si demain dans les prisons
Vous ne nous trouvez plus
Cherchez nos dépouilles
Dans les fleuves, les fosses communes
Nos têtes vous les verrez peut-être
Exposées sur les marchés.
A la mort nous sommes fiancés.