Le Tibre et l’Achéron ne forment peut-être qu'un fleuve, ou bien tout fleuve s'assemble à l'eau première qui est retenue dans l’utérus des femmes, ou peut-être n'y a-t-il d'autre rive que celle où notre corps se casse dans son reflet sur les matières qui brillent ou dans l'ombre qu'il porte à partir de ses pieds.