Le plus difficile, c’est de ne pas avoir le droit de parler à mes sœurs, sauf en français ou en anglais. Si une femme en robe longue m’entend leur parler dans la langue que j’ai toujours utilisée, je reçois des coups de ceinture de lui. Comme Papa qui battait les chiens quand ils manquaient de discipline.
(Mémoire d’encrier, p.146)