Les parents, Alain, Gilbert, ils font partie de cette génération qui a l’air d’avoir tout connu, tout vécu, tout inventé, tout libéré. Tout libéré à tel point que Darius se sent dans une prison. Libre de ne rien pouvoir entreprendre, analyser ou espérer sans encourir le risque de la sentence des adultes autour de lui : c’est déjà vu, déjà fait, c’est moins bien, nous sommes encore là.