[Les romans policiers] essayaient toujours de vous duper. Ils vous propulsent délibérément dans des intrigues superflues, juste pour vous embrouiller et vous égarer, tout en vous cachant des informations importantes jusqu’au dernier chapitre, en usant de vagues et trompeuses descriptions pour que vous empêcher de remarquer quelque chose qui devrait se voir comme le nez au milieu de la figure. […] Et c’est toujours trop arrangeant la façon dont les choses se concluent de manière propre et nette. […] La vie n’est pas comme ça.
Si nous n’avons pas la volonté de détruire la beauté que nous avons créé, alors nous en deviendrons esclave.