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Citations de Michael Zadoorian (87)


Les gens ont toujours le sourire quand ils fourrent leur main dans votre portefeuille.
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J'ai toujours le plus grand besoin de bruit pour laisser mes obsessions à la porte.
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J'ai besoin de bruit. Je ne veux pas rester seule avec mes pensées. Je n'aime plus mes pensées. On ne peut pas leur faire confiance.
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On a parfois un peu besoin de pression sociale pour retrouver la forme.
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Heureusement que les ruines sont là pour raviver la mémoire du passé. Mais elles ne sont pas éternelles. Lentement, le temps efface toutes les traces, morceau par morceau, jusqu'à ce que les villes fantômes aient disparu.
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Si vous êtes comme nous et encore à claudiquer sur cette terre, sachez ceci : une de vos anciennes connaissances est sans doute persuadée que vous êtes mort à l'heure qu'il est.
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Les parents ont sans cesse l'obligation de démontrer qu'ils sont moins crétins que ce qu'imaginent leurs enfants, même lorsqu'ils sont sortis de l'adolescence.
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Ces roupillons intempestifs : je confirme que vieillir est tout à fait débile.
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Il faut admirer ces gens qui, sans honte aucune, tentent d'attirer l'attention des conducteurs, qu'ils cherchent à fourguer un hamburger ou un messie.
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Et même si nos enfants ne veulent que notre bien, ça ne les regarde pas. Prendre en charge quelqu'un ne veut pas dire régenter sa vie.
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On passe sa vie à se préoccuper de l'opinion des autres, alors qu'en réalité ils ne pensent pas. Les rares fois où ça leur arrive, je l'admets, c'est souvent en mal, mais on peut au moins se réjouir qu'ils soient capables de penser. (p.21)
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Une savoureuse remarque d’Ella sur la notion du mariage :
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Nous avons toujours considéré notre couple comme une équipe. Aucun n’était plus important que l’autre. Je n’ai jamais été à la botte de John, à l’instar de certaines. Il voulait un sandwich? Il n’avait qu’à lever ses fesses et aller se le préparer lui-même. De ce point de vue, nous étions à l’avant-garde. Il s’agit du mariage, pas d’une servitude sous contrat.
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Kevin, Charles, Robina, pourquoi as-tu fait une chose pareille ?

- Nous ne savions pas quoi faire d'autre maman. C'est tout.

- Je ne peux pas le voir, mais je devine son visage furieux et buté, celui qu'il arbore quand il me provoque.

- Ma foi, la police ne peut rien contre nous, dis-je gaiement. Nous n'avons enfreint aucune loi. Ton père a un permis de conduire en règle.

Kevin reste silencieux. Les flics ont dû lui dire la même chose. La vieillesse n'est pas un délit. Du moins pas encore.
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- Vous trouvez ? Ma foi, merci. C'est agréable à entendre. D'habitude, quand nous disons que nous sommes de Detroit, tout le monde nous regarde comme si nous étions cinglés. On continue à l'appeler Crimeville.
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On est concernés par la disparition de ses parents, des proches, du conjoint, mais rien ne prépare à celle des amis. Feuilleter son carnet d'adresses les remet en mémoire: elle n'est plus là, il n'est plus là, ils ne sont plus là, ni l'un ni l'autre. Des noms, des numéros, des adresses s'effacent. Et, page après page, plus là, plus là, plus là. Ce n'est pas tant la personne elle-même que l'on pleure que sa jeunesse, la fête, les discussions animées, et les verres trop nombreux, les longs week-ends, les épreuves et les victoires partagées, les secrets échangés, les souvenirs que seuls nous deux possédons. Nous pleurons notre belote mensuelle.
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On peut se demander si c'est la meilleure idée possible. Ce couple de vieux débris, l'une avec plus de problèmes de santé qu'un pays du tiers-monde, l'autre sénile au point de ne pas savoir quel jour on est, partant sillonner les routes du pays. Ne disons pas de bêtises. Bien sûr que c'est pas une bonne idée.
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Dès les derniers instants de la vie, nous nous mettons enfin à découvrir le véritable bonheur
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Chiner,ce n'est pas seulement se fournir en marchandise, ou mettre la main sur ce que l'on souhaite,bien que cela commence toujours de cette manière.C'est un art de vivre,un état d'esprit.J'y vois une métaphore douteuse pour toute chose:la vie représentée par un long périple dans des travées puantes et surpeuplées sur le chemin de ce qui pourrait ressembler au gros lot,mais qui se révèle une cochonnerie de plus.
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J'ai besoin de bruit. Je ne veux pas rester seule avec mes pensées. Je n'aime plus mes pensées. On ne peut pas leur faire confiance.
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Voici , me semble-t-il,un excellent exemple de la façon qu'a un petit bout d'antiquaille de soulever des vagues d'émotion,ou,dans mon cas,d'empoigner un type par la poitrine.
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