Masashi Asaki

Une série de grande qualité qui a trouvé le juste milieu entre les émotions de ses personnages et une vraie intrigue policière (où on nous explique les combine des héros).

Alors qu'on pense que tout semble rentrer dans l'ordre pour la famille de Tetsuo voilà que les choses basculent de nouveau. Et forcément, on attend la suite avec impatience.
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Même si les scènes manquent parfois un peu de rythme, force est de constater que nous sommes happés par la situation et que nous avons envie d’en connaître le dénouement. Et ce malgré le caractère incongru de la situation.
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C'est avec grand plaisir que je poursuis la lecture de la série. Ce nouveau tome est plein de suspense : nous sommes attachés aux personnages principaux, même si ce sont tous des criminels. Nous n'avons pas envie de voir mourir Tetsuo ou sa femme Kasen, ni le yakusa Kyoichi. Pourtant, il faut un coupable pour le meurtre de Nobuto, et celui qui parviendra à incriminer un autre lorsque les soupçons pèsent sur lui pourra peut-être sauver sa peau. Nous sommes tenus en haleine jusqu'au coup de théâtre final. La psychologie reste omniprésente. J'attends la suite!

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 5 :

Tetsuo continue son stratagème pour faire accuser Kyôichi du meurtre.

Pour cela, il a une idée risquée et difficile à mettre en oeuvre, pour le faire accuser. La majorité de ce tome se passe dans l'appartement de Kyôichi.

Monsieur Matori, le père de la victime Nobuto, mène également l'enquête.

Le tome se termine sur le duel entre les deux pères désespérés.



Que d'actions, de suspense et d'humour dans ce tome, et toujours des idées dignes de vrais truands pour le couple Tetsuo et sa femme, pourtant criminels du dimanche.

A force, je me suis faite à cette idée et cela ne gâche pas le plaisir ni l'envie de continuer la série.

Kyoichi est en mauvaise posture. Le piège de Tetsuo fonctionne comme prévu. Des preuves accablantes compromettent Kyoichi mais Tetsuo ne pensait pas qu'il arriverait à s'échapper.



Alors que tout semble rentrer dans l'ordre un revirement inattendu se déroule dans les dernières pages. Il nous faut attendre le tome 6 pour savoir qui en ressortira vivant. Ce prochaine tome marquera aussi la fin de la première partie de l'histoire.

La suite de la série avec un affrontement entre les deux pères que l'on attendait... Le suspense est relancé avec les différents hommes qui tournent autour de Reika : on se doute qu'ils ne sont pas là par hasard. On ne sait pas si Tetsuo parviendra un jour à se sortir du mauvais pas dans lequel il s'est mis un jour pour protéger sa fille...

Quand on dit que les parents sont prêts à tout pour leurs enfants, ce n'est pas Tetsuo qui dira le contraire.

Passionné de polars, il devient malgré lui un tueur pour protéger sa fille, peu importe le prix à payer.



Tome 6 :

Suite et fin du duel entre les pères désespérés, Tetsuo et Monsieur Matori.

L'après-duel est riche en rebondissements et la tension monte d'un cran.

Pendant ce temps, Reika ne sait plus où donner de la tête avec la gent masculine.



J'ai trouvé ce tome au-dessus des autres grâce à ses multiples scènes d'actions et retournements de situations. Une réussite.

Tetsuo est prêt à se rendre dans ce sixième tome de My Home Hero, mais y renonce en comprenant qu’il a besoin d’être libre et en vie pour continuer à protéger sa famille. Matori, cependant, est bien décidé à lui faire payer la mort de son fils.



Le premier chapitre a été une véritable surprise, je ne m’attendais pas à ce que le face à face entre Tetsuo et Matori se déroule ainsi, et pourtant, à bien y réfléchir, c’était une évidence. Comme quoi, les couvertures sont parfois trompeuses…



Passée cette entrée en matière, les choses se tassent, et c’est un tome plus calme que l’on découvre, après le rythme effréné du précédent… jusqu’à ce que les ennuis reviennent frapper à la porte de Tetsuo.



Malheureusement, je ne peux pas dire que ce manga trouve le second souffle que j’espérais pour lui. L’intrigue rebondit, certes, mais pour repartir sensiblement sur le même chemin. Autant j’apprécie le fait de mettre en avant l’idée qu’on ne peut pas commettre un crime impunément et aspirer à reprendre une vie normale, autant cette rengaine commence à devenir lassante.



Et surtout, Tetsuo m’apparaît de plus en plus stupide. Si je trouvais jusqu’à présent ses stratégies aussi complexes que faillibles, je les trouve cette fois juste consternantes. Après tout ce qu’il a élaboré, il se contente d’aller au plus simple, ce qui ne serait pas un défaut en soi… s’il ne fonçait pas tête baissée vers la case prison. Qu’est-ce qu’il espérait en venant se balader à flanc de montagne, hormis se faire repérer ? Il aurait presque pu prendre une flèche fluorescente avec lui pour la braquer sur sa tête !



Et l’inspecteur, j’imagine que c’est le nouveau Kyôichi ? Celui qui voit clair dans le jeu de Tetsuo au premier coup d’œil ? Et en parlant de Kyôichi… Qu’est-ce qu’il m’a manqué ! (Insérez ici un sanglot.) J’espère qu’on le reverra très vite !



Et Reika… Non, décidément, ça ne passe pas. Je sais bien qu’elle n’est pas au courant de tout, qu’elle ne se prend pas autant la tête que ses parents, qu’elle est jeune et surtout que ce n’est pas sa faute si elle est la cible de la pègre, mais tout ce qu’elle continue à m’inspirer, c’est l’envie de l’attraper par les épaules et de la secouer comme un prunier en lui hurlant d’arrêter d’attirer plus d’ennuis qu’elle n’en a déjà provoqués.



En conclusion, je dirais que c’est un tome moyen, pas tant parce qu’il est moins riche en suspens que parce que l’intrigue semble se répéter, et l’absence de Kyôichi ne m’a pas aidée à l’apprécier. Le tome 7 est le dernier de ma PAL, je croise les doigts pour qu’il m’incite à poursuivre la lecture de ce manga, et non qu’il finisse de me lasser.
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On avait quitté sur la rencontre des 2 pères de famille. Ainsi, le combat reprend.. Ça devient risible car ils sont tous les deux incompétents dans les bastons ! Par contre, après cet 'arc' parental, c'est un tome plus calme qui prépare le retour du suspense. On sent que l'auteur annonce un prochain tome où la pression sera à son comble avec l'arrivée de ces nouveaux prétendants autour de Reika.

Naoki Yamakawa, le scénariste, accompagné avec brio pour la partie graphique par Masashi Asaki, sait que continuer la chasse aux sorcières pour découvrir qui a tué Nobuto en se rejetant la faute pourrait lasser le lecteur. Il clôt habilement ce premier volet de la série sur la confrontation tant attendue des deux pères, amenant irrémédiablement à la défaite d’un des deux hommes
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La série reprend du poil de la bête : ce sixième opus est le meilleur depuis le numéro 2, vif, psychologique, un peu triste aussi parfois.

Le suspens renaît, on sent que le héros n'en a pas fini avec les yakuzas (y compris si on n'a pas remarqué en fin de volume qu'un numéro 7 se profile).

Une histoire toujours aussi prenante, un manga original.

Rebond



Apres un début de tome nerveux mettant fin à la première partie de cette série, la suite du tome se pose un peu. Mais ce n est qu illusion car les premières pierres de la suite se placent, une taupe est en embuscade et le hasard mais la police dans cette nouvelle équation dont un aperçu rapide du résultat est montré dans ce tome.

Un nouveau départ reussit

Le tome 6 commence sur le cliffhanger du tome précédent, mais cependant, les auteurs vont en profiter pour nous parler un peu plus en profondeur des personnages, et notamment sur Matori, le père de Nobuto, l’assassiné.



On avait déjà aperçu la carapace se fendre dans les précédents tome. Matori n’a jamais su comment aimé, n’a jamais été aimé par ses parents, n’a jamais su y faire avec son fils qui a grandi en délinquant. Il aurait aimé être un bon père, c’était raté et il a encore tout loupé ensuite.



L’épisode entre Matori, des yakuzas et Tetsuo était d’une grande intensité et le suspense à couper au couteau. Après ça, on se dit qu’enfin Tetsuo va pouvoir vivre tranquillou pour le restant de ses jours, ben non…



Quelques moments bucoliques, quelques moments en famille et puis à nouveau les emmerdes se pointent à l’horizon. Et comme nous le savons, les emmerdes, ça vole en escadrille !



Toujours aussi chaud, après un bref moment d’accalmie ! Je me demande bien où cette deuxième partie va nous entraîner...

Il s'en est fallu de peu ! Voilà la phrase qui revient en tête tout au long de la lecture de ce tome.

Les mangakas continuent à me bluffer par leur sens du rythme et du suspens. On s'attache forcément à ce père de famille qui s'est attaqué bien malgré lui à la mafia et on espère à chaque page qu'il trouvera une solution pour s'en sortir...

La fin du tome signe le début d'un nouvel arc mais pas sûr que notre héros trouve le repos et la paix qu'il aimerait.

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Je continu ma lecture de ce manga qui se déroulera apparemment en 7 tomes.



Ma lecture des premiers tomes ne m'avait pas convaincue, et puis le tome 5 apportait un souffle nouveau à cette série et j'avoue que ce tome 6 confirme ce sentiment !

Ce tome est normalement l'avant dernier, je l'ai trouvé très poignant avec une pointe de nostalgie !

Le suspens est toujours bien présent, Tetsuo aura encore pas mal de chose à régler dans le 7ème (et dernier ? ) tome ! Des comptes à rendre aussi !

On sent qu'il perd un peu le contrôle, que tout ça va trop loin pour lui mais il est enlisé dans cette situation il va encore lui falloir faire quelques pirouettes pour s'en sortir !

En tous cas je maintiens mon attachement aux personnages, j'ai hâte de voir où tout ça va nous emmener et en même temps j'ai une légère crainte ! Finalement ce manga que j'hésitais à poursuivre au début se révèle une excellente surprise ! Vivement la suite !



Note 9/10

Cette série reste très distrayante comme le serait un bon feuilleton policier. On visualise d'ailleurs facilement ce que serait son adaptation télévisée à la lecture : héros criminel malgré lui, rebondissements, coups de théâtre, antagonistes particulièrement retors comme Kyoîchi... tout y est. Le tome 6 voit la fin de la première saison et le début de la seconde avec l'entrée en scène de nouveaux personnages. Le point faible de "My Home Hero" est le même que celui du personnage principal : sa fille, Reika, fonctionne comme un aimant à embrouilles. Le pire est qu'elle ne s'en rend jamais compte et garde la candeur d'une héroïne de shojo : à aucun moment elle ne découvre ce que traverse sa famille à cause d'elle et l'on s'en doute dès le début. En un sens, le scénariste appuie avec humour sur ce trait de caractère qui est la base de tout l'engrenage où se débattent Tetsuo et son épouse. Mais volume après volume, Reika se révèle un poil à gratter particulièrement exaspérant parce qu'on sait par avance que s'il y a un trou devant elle, elle y tombera sans s'en rendre compte... mais elle pourra toujours relancer l'action, puisque sans ses parents, elle se jette naturellement dans la gueule du loup.


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Un peu de répit après un affrontement final au comble de l'émotion.

Et le début tranquille d'une nouvelle partie qui peut-être très intéressante avec l'idée de la police qui arrive et celle de chercher une taupe, j'approuve !

Plus que jamais, j'adore ce manga ! l'intérêt ne faiblit pas, les personnages sont intéressants et l'action rondement menée ! Vivement le Tome 8

C'est tellement dingo ce manga qu'il donne toujours envie d'en savoir plus sur la vie de ce papa embourbé jusqu'au cou. Alors que le père Tosu peut enfin se relâcher, il n'est pas encore sorti de l'auberge : un tueur a été engagé pour rôder autour de sa fifille adorée. Allez, c'est reparti pour un tour ! De plus, avec le retour d'un personnage adoré, l'intrigue est relancée de plus belle et je pense qu'on ne va pas quitter la famille Tosu de sitôt !

Le tome 7 de "My home hero" : ⭐⭐⭐⭐⭐

En voyant sur la couverture mon personnage préféré, Kyôishi, je partais déjà avec un a priori positif. Je n'ai pas été déçue. Ce 7e tome est excellent : la qualité de la série, loin de faiblir, se renforce. La naïve Reika Tosu a maintenant quatre prétendants ("un véritable alignement des planètes !" comme elle dit). Un harem inversé un peu particulier, parce que parmi ces quatre jeunes hommes... qui l'aime vraiment et qui veut la tuer ? Ses parents, comme d'habitude, veillent sur elle et forment un couple soudé, touchant, même lorsque la mère de Reika embarque avec eux son grand couteau... une sympathique famille face à des bandes de yakusas armés ? Il faut reconnaître qu'on ne s'ennuie jamais, que les rebondissements sont nombreux, le casting en partie renouvelé et que cette série pourrait facilement être adaptée par Netflix pour son scénario retors et sans temps mort.


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