Masashi Asaki

L'étau se resserre autour de Tetsuo alors que sa femme fait face à ses problèmes de famille. Série toujours intrigante et dont les auteurs jouent beaucoup avec nous au chat et à la souris, va-t-il se faire attraper ? Bientôt ? Là maintenant ? Il y a des passages où on pourrait trouver le temps long mais on se rend bien compte avec ce 9eme tome que les auteurs pensent à tout et que tout a une influence pour la suite de l'histoire. Vivement la suite !

Oui je commence seulement à chroniquer les Psychometrer alors que c’est un manga que j’ai beaucoup affectionné fut une époque ! (et maintenant encore aussi). Que dire de Eiji ? Il me fait rire ! C’est un ado tout plein d’hormones que l’on devine plus profond que cela bien évidemment puisqu’il a un lourd secret : la psychométrie ! A part cela, il aime la moto et surtout sécher les cours. Ce qu’il y a de très important à ses yeux : sa demi sœur, Emy qu’il affectionne. Ces deux-là ont créé un lien frère sœur très profond, ce qui fait qu’Eiji se transforme en super héros rien que pour elle dans la vie du quotidien, cherchant ainsi à la préserver de tout ce qui a de mauvais. Dans ce qui est important aussi, c’est son groupe d’ami dont nous découvrons un tout petit bout. Il rencontre Shima, une inspectrice de police qui va le mêler à cette histoire de tueur en série.



Dans ce premier tome, on découvre les meurtres, la psychométrie d’Eiji (et on s’étonne d’ailleurs qu’il ne soit pas plus perturbé que cela, ce qui prouve sa force), les personnages… Nous naviguons dans un univers sombre, qui nous décrypte toute la psychologie des meurtriers, tout ceci mêlé dans des problèmes d’adolescent et ponctué d’un humour hilarant ! J’ai tout de suite adhéré au principe, ce mélange de chaud froid constant. Un vrai délice sous couvert d’une enquête policière bien menée. Je vous donne rendez-vous pour le tome 2 qui nous dire comment Eiji boucle sa première enquête


Lien : http://labibliodekoko.blogsp..

C'est certes une histoire à la Monster cependant sans égaler ce chef d'oeuvre du manga polar. Pour le reste, il faut bien avouer que la lecture de ce récit de thriller psychologique a été plutôt haletante et plaisante.



Néanmoins, il faudra tout de même fermer les yeux sur toutes les invraissemblances à commencer par l'idée de départ de l'alliance entre un lycéen et une enquêtrice de la brigade criminelle. La très jolie inspectrice parvient à voir le don dont il est question chez ce jeune et beau garçon pour l'aider à retrouver un dangereux psychopathe qui s'en prend à de jeunes filles innocentes.



Bref, une fois qu'on aura accepté tout ceci, on ne pourra que se laisser entraîner par un scénario passionnant avec cette enquête minutieuse avec ses raisonnements plutôt surprenants. Un peu d'humour, un peu d'action et un peu de réflexion : le tout forme un bon cocktail savamment dosé. Dommage que cela s'éternise ...

Ce manga, qu'est-ce que je l'aime. Je dis ça mais j'ai toujours pas réussi à me procurer tous les tomes et il serait bien que je le fasse.

J'y trouve de l'humour, même si elle est bien graveleuse, ben je l'adore. Des enquêtes plutôt bien ficelées et j'adore tenter de trouver le coupable avant qu'Eiji et l'inspectrice arrivent à lui mettre dessus et j'aime beaucoup son don... que je me suis découvert cet été. Je me plaignais de ne toujours pas le posséder alors que mon troisième oeil est parfaitement ouvert. C'est désormais chose faite et désormais, je regrette xD



Bref, je vais devoir poursuivre la réunification de tous les tomes et j'ai vu que cette première série s'est vue offrir une suite. Si cette dernière est du même ton que la première, j'ai déjà hâte *_*

Un manga que j'ai moyennement aimé. Perso, je ne le conseille pas à tout le monde.

C'était mon premier manga et franchement j'ai cru qu'ils allaient tous être comme ça mais j'ai voulu en essayer d'autres. Ca ne m'a pas donner envie de lire le 2.

Un début de saga intéressant.



Tout est prévue pour accrocher le lecteur. Des graphismes travaillés, des personnages complexes, une intrigue à la fois policière, à la fois fantastique.



Eiji est un lycéen désinvolte, qui cache un don bien spécial, et cette personnalité complexe est de prime abord attachant. Quant à la belle inspectrice, si son aspect sexy et superficiel peu rebuter, elle se révèle intelligente, voir brillante au fil du récit.



Mais... Certains points m'ont quelque peu laissé perplexe. Tout d'abord certaines linges de dialogues écrites en si petit caractère que j'ai presque du coller le manga à mes lunettes pour les déchiffrer ! A cela s'ajoute les résumés placés entre deux chapitres et dont je ne vois pas l'intérêt si ce n'est pur remplir dans pages, et enfin la violence parfois gratuite dispensé au cours de l'histoire qui ne sert guère le récit.



En bref, malgré quelques bémols, j'ai bien accroché avec ce premier tome, et compte bien lire la suite.



Bonne lecture à tous.

Un manga qui date de 1996... et ça se voit. Il n'est pas sans me rappeler Cat's eyes, le plaisir de le lire en moins. Il n'est pas dépourvu d'humour, sauf qu'il se loge dans les petites culottes des filles et les mats de tente des pantalons des garçons. Quant au graphisme, je n'accroche pas.



Y'a pas à dire, c'est du shonen qui vise un public (j'ai failli écrire pubic... pfff) particulier auquel je n'appartiens pas. Sinon, le pitch peut avoir un certain intérêt, mais le découpage en tome de cette série ne me parait pas judicieux : dès la fin du premier, même si l'histoire n'est pas finie, on connait l'identité du serial killer.



Bref, ma carte bleue doit se réjouir car elle aura une série de moins à acheter ^^

J'ai beaucoup aimé ce Manga, une histoire qui démarre sur les chapeaux de roues, la tension est constante avec des scènes d'action bien dessinées. On retrouve les codes des Mangas, et une bonne intrigue, de l'action un peu de charme, et un soupçon d'humour et de légèreté, l'ensemble très bien dosé.

« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd’hui, je trépigne de joie et d’impatience parce que je vais partager avec vous une ancienne lecture ! Je suis tellement émue ! pensez donc, un manga d’il y a vingt ans !



-Ouaip. Tu lisais déjà de la bonne grosse daube, à l’époque.



-Hein ?



-Je disais qu’on ne connaissait pas Adaube, à l’époque.



-Ah. Bref, Psychometrer Eiji est l’un de mes tout premiers mangas ! Et comme je viens de le retrouver à la bibliothèque, j’ai décidé de me faire un p’tit marathon solo !



Or donc Eiji, lycéen rebelle, mais gentil, possède le don de psychométrie. En touchant les objets ou les gens, il peut percevoir des images ou des souvenirs. Sa faculté est découverte par Ryôkô Shima, inspectrice de son état, venue enquêter sur de sinistres meurtres. L’occasion est trop belle ! Shima va le convaincre de participer à l’enquête…



Quelle joie de retrouver le duo de choc formé par Eiji et Ryôkô ! Le dessin est tellement sympa !



-On sent que les pieds donnent de la difficulté au dessinateur, cependant… et j’ai jamais compris pourquoi les persos ferment un œil en parlant. Et les trames, oh là là…



-Qu’est-ce que tu veux dire ?



-Je veux dire que, lorsque les persos portent des chemises ou des tissus à motifs, lesdits motifs ne forment aucun pli ! les rayures des manches forment une continuité exacte avec le tissu du tronc ! C’est pas très soigné comme travail, madame ! Je regrette, ça me sort de l’histoire.



-Mais c’est sans doute dû au rythme industriel de parution, Méchante Déidamie ! Quand tu n’as qu’une semaine pour livrer un chapitre, tu es obligée d’aller vite !



-Et donc, tu vas plus vite quand tu fais des microcases illisibles ? Regarde-moi ça, on n’y voit rien !



-Rhôôôh, quelques erreurs de découpage, ce n’est pas bien grave ! Si on parlait plutôt de ce qui marche bien dans ce manga, comme l’humour ? J’adore comment le dessinateur caricature Shima lorsqu’elle se laisse aller à la colère ou à la méchanceté !



-Ouaip. Dommage que ledit humour soit essentiellement constitué d’érection sous le pantalon ou de culotte sous jupe. Le fan-service reste bien trop présent dans ce manga et rien à faire : je déteste ça. Je ne suis plus la jeunette imbibée d’hormones jusqu’aux racines de poil de nez que la moindre allusion graveleuse faisait pouffer. Et c’est quoi, ce trip sur les relations frère-sœur ?



-Hein ?



-Ne fais pas la niaise, Déidamie, dès le premier tome tu sais qu’Emi, la sœur d’Eiji, en est amoureuse. Je regrette, quand on dit « Tu sais bien qu’on n’est pas frère et sœur de sang » en te blottissant contre son dos à cheval sur sa moto, avec un contrejour judicieux, ça n’est pas pur, candide ni innocent. Ca me met hyper mal à l’aise, ces histoires de frère et de sœur, sang entre eux ou pas ! Déjà, j’ai jamais compris comment ça pouvait faire rêver les minettes avec Angel Sanctuary* !



-Oui, mais Angel Sanctuary, au-delà du premier tome, le manga faisait en sorte que tu ne comprennes rien en général, alors… Bon, mais les enquêtes restent fort sympathiques…



-Moi, j’ai de gros doutes sur la pertinence des analyses de Shima une fois les cas résolus. Et depuis que j’ai lu King Kong Théorie, je pense à chaque cadavre que Virginie Despentes a raison : la fiction n’aime jamais autant les femmes que froides. Pinaise, au rythme où les lycéennes sont assassinées, tu n’en as plus une vivante à Tôkyô à la fin de la série ! Sauf les moches, évidemment…



-Méchante Déidamie, tu ne peux quand même pas nier que cette série porte un message féministe.



-Ah bon ?



-Mais oui ! Shima vit des situations de harcèlement et de discrimination sexistes, et le manga ne garde aucune ambiguïté sur ce chapitre-là : il condamne sans réserve l’attitude des chefs masculins.



-Ca reste trop léger pour compenser le reste, entre l’humour graveleux et relou et l’abondance de culottes. »



*Manga racontant l’histoire de Setsuna, jeune homme amoureux de sa sœur, Sara. Cet amour est réciproque et consommé. Et après il y a des anges, des démons, des intrigues, et ne m’en demandez pas davantage, je n’ai rien compris.

Un second tome dans la même veine que le premier.



Même points positifs, même bémols, que pour le premier tome.



Un tome qui accroche le lecteur mais qui souffre d'une mise en forme parfois gênante.



Autre point qui me déstabilise, réside dans le choix de couper les enquêtes avant leur résolution. En effet le tome 2 révèle la fin de l'enquête entamé dans le premier tome et tandis que l'enquête commencé dans ce tome nous captive, l'auteur choisit de clore son récit sans apporter la solution. Aucun doute que la réponse sera dans le troisième tome, ce que je trouve aussi pervers que génial !



En bref, une bonne saga pour l'instant, malgré quelques bémols.



Bonne lecture à tous.

Un manga très sympathique à lire. Tension, action, légèreté, humour, le tout véhiculé par des personnages très bien dessinés.

Nous avons la conclusion du tome 1 c'est-à-dire toute l’explication de l’affaire Moebius. Et là je dis chapeau et je dis aussi que ce manga risque de rendre complètement accro. Je vous explique. Nous avons eu tout le déroulement de l’affaire Moebius dans le tome 1 (le suspense y était jusqu’à la dernière page) et dans le tome 2 nous avons le mode d’emploi du : comment ce type est devenu un serial killer. Autant le profiling du tome 1 j’ai adoré. Autant l’explication du tome 2…. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah



Sinon les blagues d’Eiji sont détonantes. Nous avons vraiment un couple à la Nicky Larson où ça balance dans tous les coins, ça se titille et cela s’adore. Les deux personnages ont de suite une grande complicité, ce qui est un vrai plus pour cette série : le cerveau et les bras. On peut voir aussi les limites de la psychométrie d’Eiji et donc ses premières difficultés. Cette série est un vrai plaisir de lecture et je vais la continuer encore quelques temps. A plus pour le tome 3


Lien : http://labibliodekoko.blogsp..

Le dernier volume de la série Psychometrer Eiji nous offre un superbe final qui laisse tout de même un goût amer. En effet le livre s'achève sur la mention "Psychometrer Eiji Partie 1 fin". Même si à la fin du volume l'affaire est résolue il reste trop de choses non élucidées.

Affaire à suivre donc...