Marisa Mackle

La première chose qui nous intrigue en lisant ce livre c’est l’objet livre en lui-même. Le papier est de très bonne qualité et la couverture est en papier glacé. Et elle est très belle, normal puisqu’elle a été réalisée par Margaux Motin ! Le format est original : aussi grand qu’un poche mais plus large. Le plus troublant reste la taille de la police d’écriture qui est minuscule ! J’avoue que je ne pensais pas m’y habituer, mais si. Par contre, certaines phrases étaient incompréhensibles : tous les mots étaient bons sauf qu’ils sont mis dans le mauvais sens ou alors il y a des fautes de frappes.



L’histoire n’a rien d’extraordinaire, c’est de la chick-lit bas de gamme (pourtant j’aime la chick-lit). Le lecteur est emporté dans l’histoire puisque la narration est à la première personne, mais les personnages ne sont pas très attachants. Il est ici question d’amour, d’amitié et de vivre sa vie mais ces points ne sont réellement mis en avant qu’à la fin alors qu’ils ne sont pas spécialement bien exploités tout au long du livre. En plus, j’avais l’impression de lire "Le Diable s’habille en Prada". Certes, ce n’est pas parce qu’un auteur reprend le cadre de la mode que ça sera forcément mal fait. Mais quand on a une référence telle que ce livre, il faut savoir aligner une vraie histoire pour palier la comparaison.



Mots : componction (tristesse du repentir), étale (ce qui est stationnaire, calme)



Une lecture sympathique mais fadasse. Je pensais le garder pour l’objet livre, mais d’autres livres de cette collection me tentent davantage.

Rien de bien nouveau ici, on retrouve Fiona, tout juste 30 ans avec quelques kilos en trop, pas de copain et dont le sport préféré est le shopping. Par quelques rebondissements et coups de chance, elle va se retrouver propulser dans le milieu de la presse people, des cocktails et soirées en tout genre. Et hop, on se retrouve dans un mélange de Bridget Jones et Le diable s’habille en Prada en plein milieu de Dublin – peut-être un peu moins glamour tout de même.

Néanmoins, j’ai été assez surprise de découvrir que Fiona était toutefois assez intelligente et débrouillarde et ne s’en tire vraiment pas mal dans la plupart des situations. Elle a des réactions assez logiques et on ne peut pas lui reprocher de ne pas y mettre du sien. Peut-être que c’est aussi parce que pour moi l’héroïne typique de ce genre de romans a un bon cœur mais est plutôt maladroite et vis dans son monde.

Le roman tourne aussi autour d’Angela-Jean et Bunny, la nouvelle coloc. Angela-Jean est la caricature parfaite de la journaliste hautaine et prête à tout pour un bon scoop. Tandis que Bunny est la nouvelle colocataire fragile et pas très bien dans sa peau qui se transforme sous les yeux de Fiona. En y réfléchissant bien, tous les personnages sont plutôt intelligents et cela donne un livre gentil avec quelques situations comiques, mais rien d’exceptionnel.

On passe tout de même beaucoup moins de temps dans le monde de la presse que ce à quoi je m’attendais, tout le livre est concentré sur la vie de Fiona et ses relations avec ses copines. Notamment la situation de Bunny qui est assez atypique.

Le livre se lit vite et très facilement. Les éléments un peu atypiques du livre font son charme et la découverte fait partie du jeu.



Donc voilà, un bon livre pour s'aérer l'esprit! Ni très bon, ni mauvais.
Lien : http://latetedansleslivres.w..

Lu durant l’été 2009, ce recueil de nouvelles fut un bon moment de fraîche romance en cet saison caniculaire.



Ces quatre nouvelles nous entraîne dans un monde rempli d’amour, de joie et d’amitié. Au-delà de l’aspect « fleur bleue » évident, on trouve des styles d’écriture différents et appréciables.



Les textes en eux mêmes sont pas mal du tout. Et puis, que ferions sans un peu de légèreté et d'amour de temps en temps ? L'humour de la seconde est à noté. Cependant, la première reste ma préférée.







"Thelma et Louise" raconte l'histoire de deux copines parties en voyage en Amérique. L'une bombe platine appréciée des hommes, l'autre, pas très sûre d'elle-même et timide. Schéma classique mais bien mené. J'ai beaucoup apprécié la "happy end" de fin, le style assuré, l'humour amoureux.



En bref : Amour quand tu nous tiens... !
Lien : http://s.ecriture.over-blog...

Agréable a lire . Essentiellement des histoires de couples , amoureux ou pas. Les quatre nouvelles sont bien écrites , les personnages attachants , même les hommes qui sont des idiots ou des menteurs. A lire sur la plage ou en vacances. sympathique et drôle.

une surprise que ce recueil de 4 nouvelles qi me faisait penser à une musique triste... trouve par hasard dans un kiosque à livres (ou on prend et pose des livres) En fait c'etait pas du tout triste et à peinr irlandais ,ces nouvelles sont des historiettes de couple qui se font et se defont...tres drôle tres feminin et vivifiant comme un beau (rare) jour ensoleille d Irlande

Déniché à la médiathèque, j'ai été attiré par la titre et la couverture.



Je m'attendais à pénétrer dans le monde très fermé de la presse féminine, un peu à la façon " le diable s'habille en Prada ", empli de potins, rumeurs ( comme le vante le titre ) crêpage de chignons. Mais que nenni, nous suivons Fiona, trentenaire, qui suite à un quiproquo avec sa meilleure amie et colocataire se retrouve dans l'obligation d'en trouver une nouvelle.

Par ailleurs, elle trouve un nouveau travail pour un magazine féminin.

S'ensuit une longue série de soirées faites de cadeaux marketing, boissons à volonté, on retrouve les cocktails du titre mais pas l'ombre d'un crêpage de chignon en vue, pas de rumeurs, ni de potins.



L'auteure tente un dernier rebondissement dans les toutes dernières pages mais, c'est tellement gros, que la mayonnaise n'a pris pour moi.



Et pourtant, il y avait matière, entre la nouvelle coloc qui débarque dont ne sait où et qui va s'épanouir, telle une chenille se transformant en papillon. Elle ira jusqu'à obtenir un meilleur poste que Fiona pour le même magazine...



Où encore avec A.J, que j'aurai tellement plus appréciée dans un rôle de peste et pas que à la toute fin du roman...

Elle avait pourtant matière à ce comporter dans ses articles comme elle est à la ville, hautaine, peste, voir garce.



C'est vraiment dommage!

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Petit recueil de nouvelles distrayant.

Décembre 2018 : 9* / 20*

Je recommande Le vingt-huitième jour de Catherine Barry.

Différentes notes attribuées selon la nouvelle.

Il y a 4 nouvelles donc je pense critiquer les nouvelles une par une quand j'ai terminé de les lire et pas une fois le livre lu.

Il n'y a pas de sommaire ni de rappel en haut de la page pour rappeler la nouvelle ou l'écrivain que le lecteur lit. Dommage.



Thelma, Louise... et les Apollons, de Cathy Kelly : 1*

Une femme a eu le cœur brisé car son compagnon est parti avec une autre. Elle part en séjour aventures pour se vider la tête avec une amie.

Lecture agréable et rapide. Sans surprises, du déjà connu. Ce genre de voyage m'intéresse.



Le vingt-huitième jour, de Catherine Barry : 3*

L'état nerveux d'une femme avant ses menstruations.

Histoire bien racontée, avec des passages rigolos pour nous lecteur et pour eux aussi quand ça deviendra des souvenirs. La parano et l'irritabilité présents. J'ai aimé.





Week-end entres filles, de Maria Markle : 3*

Une femme a son compagnon qui part en séjour sans elle, c'est assez fréquent. Elle part avec une amie en week-end, exceptionnel.

Elle est obsédée et ne parle que de son compagnon puis finit par se lâcher et ne plus penser à lui, elle redevient naturelle. Des passages drôles comme le soir où elle est ivre.



Un homme de terrain, de Tina Reilly : 2*

Une femme se marie avec l'homme idéal : séduisant, corps sculpté, dévoré des yeux par plein de femmes. Au cours de son mariage, elle verra les défauts et les failles ainsi que le lien qu'il a avec sa propre mère.

Lecture rapide, agréable, qui donne le sourire.

Petite livre trouvée en Boîte à lire à Brest il y a plusieurs mois, j'avais été intriguée par le résumé qui promet quatre nouvelles de caractère sur des femmes irlandaises. Et finalement quelle énorme déception.



Tout d'abord la couverture qui est loin d'être engageante, kitsch et moche au possible, l'édition date tout de même de 2004 ! Mais comme souvent je préfère ne pas juger à la couverture et j'ai donc tenté ma chance. Et j'aurais dû m'abstenir... Ce livre a été difficile à lire, un manque d'intérêt pour les nouvelles, des personnages fades et sans saveur, qui manque de caractère et de profondeur, alors que le résumé nous vend tout le contraire.



La première nouvelle est celle que j'ai le plus apprécié et tout simplement la seule que j'ai pris plaisir à lire. L'histoire d'une jeune femme, qui décide de partir en vacances pour un mois avec sa meilleure amie, vacance organisée qui devait être en duo mais qui finalement s'avère être un voyage à quatre. Deux copines et deux copains, un choc de caractère et des histoires d'amour naissantes. Une bonne romance comme je les aime.



La deuxième nouvelle parle d'une femme ayant ses règles, ni plus ni moins. Son infernal caractère, ses envies de meurtre, bref de quoi plaire mais qui s'avère être indigeste à la lecture. Une nouvelle à fuir.



La troisième nouvelle nous parle d'un homme partant en vacances entre hommes, sa femme seule à la maison se morfond... Sa meilleure amie décide de partir en week-end et profiter un peu de la vie. Des histoires de trahison, un homme volage et salop sur les bords, une femme qui ne s'est plus ce qu'elle veut. Insipide et sans intérêt malgré une fin assez mignonne.



Pour la dernière, nous découvrons la vie d'une femme qui s'avère malheureuse dans son couple, l'homme avec qui elle est mariée, ne fait aucun effort, lui promet monts et merveilles, mais ne bouge pas son petit doigt. Elle décide de reprendre sa vie en main et pour cela décide de commencer les travaux jamais entrepris dans sa maison. De même que pour les deux autres je n'ai pas accrochée et me suis ennuyé pendant la lecture.



Un recueil à fuir, ne perdez pas votre temps, d'autres dans le même genre sont largement meilleurs.
Lien : https://elodie-liseuse-lifes..

Ce n'est clairement pas de la grande littérature... mais ça se lit vite, c'est léger donc ça ne fait en tous les cas pas de mal ! Les héroïnes sont tout de même un peu fades et leurs histoires m'ont parfois un peu trop fait penser à des "clichés" machistes des années 60! Je suis également déçue par le fait que finalement l'Irlande est quasi absente de ces 4 nouvelles! C'est dommage car cela aurait peut-être donné plus d'éclat et d'intérêt à ces courtes histoires...

Comme annoncé dans le résumé, c’est un recueil de quatre nouvelles chacune écrite par des auteures différentes. Lorsque j’ai commencé ce livre, je n’étais pas certaine d’apprécier, mais au final, super agréable: très frais, rapide, drôle par moment, etc…

Thelma et Louise… et les Apollons – Cathy Kelly: C’est sûrement la nouvelle que j’ai le moins aimé, peut-être parce que je l’ai lu en deux fois au lieu d’une, du coup, j’étais moins dedans que les autres. L’histoire est loin d’être exceptionnelle, la fin est plus que prévisible. Pourtant, il y a quelques passages que j’ai vraiment bien aimé, notamment les moments de visite des villes et de complicité entre l’héroïne et Liam. Il y a encore une chose qui m’a un peu dérangé, c’est le contraste entre la narration et les dialogues, l’un un peu plus soutenu, l’autre beaucoup trop simpliste. Mais dans l’ensemble, un avis plutôt positif quand même.

Le vingt-huitième jour – Catherine Barry: J’ai relativement bien ri sur celle-là, même si par moment, c’est quand même poussé à l’extrême. Mais sur certains passages, c’était tellement réaliste, je n’ai eu aucun mal à me reconnaître. Des envies de tout dévaster et de mordre! C’est tout à fait moi, ça! :p

Week-end entre filles – Marisa Marckle: Relativement sympa comme nouvelle, bien contée du début à la fin et même si c’est plus que prévisible, l’histoire n’en reste pas fraîche pour autant. Je n’ai pas beaucoup de choses à en dire au final. Le résumé parle de lui-même et l’essentiel a été dit dans la phrase précédente.

Un homme de terrain – Tina Reilly: Je suis partagée pour cette nouvelle: j’ai trouvé l’héroïne au début pitoyable, aussi nulle que naïve; et puis par moment, j’ai quand même bien rigolé. Et la fin, je ne la raconte pas, mais… fun! ^^
Lien : http://psylook.kimengumi.fr/..