Les deux frères, bien que séparés, sont comme ces chênes dont parle Thoreau dans les vers de son journal, le 8 avril 1838:
Je veux parler de deux chênes robuste qui, côte à côte,
Résistent à la tempête de l'hiver,
Et malgré vents et marées,
Croissent et font de la prairie la fierté,
Car tous deux sont forts.
Au-dessus, ils se touchent à peine mais
En remontant jusqu'à la source,
Emerveillés, vous découvrirez
Que leurs racines sont entremêlées
Inséparablement.