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Critiques de Marco Checchetto (26)
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Star Wars : Les ruines de l'empire

Les Ruines de l’Empire proposé par les éditions Panini regroupe concrètement quatre comics intitulés Shattered Empire publiés en 2015. Cet opus est en one-shot qui doit être lu après avoir vu tous les épisodes pour être pleinement apprécié.



La pratique de vouloir mettre en images, ce qui se passe entre les différentes trilogies est devenue une habitude plus au moins heureuse et nous pouvons désormais constater une grande variété des supports (films, romans, bandes dessinées, séries). Les Ruines de l’Empire exigera un investissement minimum et devrait plaire à un public assez large puisqu’il multiplie les clins d’œil.



L’histoire débute alors que la bataille d’Endor s’achève. Si les rebelles parviennent à renverser le cours de la bataille, l’empire n’est pas encore défait. Bien au contraire, car l’empereur a prévu un plan – non pas d’urgence – mais de vengeance. Pour cela, il compte bien utiliser une technologie similaire à celle de l’étoile noire et des troupes qui lui sont restés fidèles. Sa vengeance portera notamment sur Naboo, ou comme de bien entendu, Leïa est envoyée en mission sans escorte.



De nouveaux personnages font leur apparition dont Shara Bey et son mari, qui vont devenir les parents d’un certain Poe Dameron. Pour contenter tout le monde, Luke fera une apparition dans le dernier chapitre puisqu’il va devoir chercher un mystérieux colis gardé par l’empire… Bien entendu, Han Solo, Chewie, R2D2, C3PO et Lando sont de la partie avec des rôles plus au moins importants. Il n’y aura en revanche pas de grand méchant, malgré une opportunité (Le messager) qui a été inutilement sacrifiée.



Le scénario est classique. Certains passages fraient avec le ridicule. Les séquences de bataille en vaisseaux tiennent beaucoup (trop) de place notamment dans les deux premiers comics. Certaines séquences semblent assez curieuses : ainsi la seule apparition de Dark Vador, ou la mission (au final assez ridicule) de Luke. Une fois n’est pas de coutume puisque les femmes volent la vedette à leurs homologues masculins ! Si le pari est bien vu, sa concrétisation est parfois contre productive (ainsi le départ depuis Naboo pour une nouvelle bataille aérienne).



Le point fort restera ici le style graphique. Quelle claque !! Même si les séquences aériennes finissent pas lasser, il faut reconnaître qu’elles sont réussies et de toute beauté. Le démarrage se fera à Endor avec des références réussies aux films. Les personnages profitent également de ce travail et tout particulièrement les figures historiques. Ces dernières sont curieusement rajeunies et semblent nimbées d’une certaine aura.



Voici un album qui vaut le coup d’œil au sens premier du terme. L’effort particulier consenti pour les dessins devrait ravir les adeptes de la série. Même si le scénario ne brille pas par son originalité, il permet de retourner à Naboo et de retrouver l’esprit du film Le retour du Jedi.
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Star Wars : La citadelle hurlante

En possession d'un puissant artefact, Aphra s'associe à Luke Skywalker pour se rendre à la Citadelle Hurlante et y rencontrer la reine, seule être capable d,'accéder à la conscience de Rur...

Un véritable traquenard pour Luke, Aphra étant toujours aussi fourbe et capable de tout pour arriver à ses fins...

Un cross-over génial porté en grande partie par le personnage controversé du Dr Aphra !
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Star Wars : Les ruines de l'empire

Je tiens tout d'abord à remercier les éditions Panini France et Babelio pour m'avoir permis de lire ce comics dans le cadre d'une opération Masse Critique.



Star Wars : Les Ruines de l'Empire est une mini-série en quatre épisodes réalisée en 2015 par le scénariste Greg Rucka et le dessinateur Marco Checchetto.

Ce comics s'articule autour d'un personnage : Shara Bey, la mère de Poe Dameron. Shara est une pilote casse-cou, qui par son talent se verra confier des missions périlleuses en compagnie notamment de la princesse Leia ou encore de Luke Skywalker.

Les deux premiers épisodes se déroulent pendant la période qui suit la mort de l'empereur. Les forces de l'empire se lancent dans une contre attaque d'envergure, la guerre ne fait que commencer. le scénario offre ici beaucoup de possibilités et nous permet de nous projeter dans le futur de la saga.

Les deux épisodes suivants sont moins aboutis, relevant presque de l'anecdote. Une mission diplomatique qui tourne mal, et un sauvetage dans une base infesté de stormtroopers. du réchauffé.

La force de cet opus réside dans le découpage narratif, ainsi que dans les dessins époustouflants de Checchetto - au passage on notera la qualité de la représentation des icônes de la saga originale.

Au final, un très beau comics dont le scénario aurait mérité d'être un peu plus abouti.

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Star Wars : Les ruines de l'empire

Après avoir détruit l'Etoile de la mort, les Rebelles continuent attaques contre l'Empire dans le but d'en finir définitivement et de retrouver la paix dans la Galaxie...

Ce ne sera pas aisé car, même en ruine, l'Empire conserve un pouvoir de destruction considérable...

Cette époque marqué aussi l'avènement d'une pilote hors pair Shara, nulle autre que la mère de Poe Dameron...

Même si je préfère la série sur Vador, ce Comics reste un très bon complément à la saga Star Wars...
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Star Wars : Les ruines de l'empire

Puisque les comics suivant la guerre des clones m'avaient si vite lassée, et pas du tout sortie de la période Star Wars qui a saisi tous les amateurs de SF avec le nouveau film, j'ai tenté ma chance avec un comics couvrant une autre période: juste après la mort de l'Empereur. Un opus assez court, à vrai dire pas indispensable, Les Ruines de l'Empire surfe, bien qu'il se passe plusieurs décennies avant, sur le nouveau film: notre personnage principale est en effet la mère du pilote Poe Dameron, personnage du dit film.

Sur un thème intéressant, c'est finalement assez bateau. En même temps, comment traiter un sujet aussi vaste, les tressauts de l'Empire, avec quatre petites histoires ? Cela manque résultat un peu de corps et je trouve assez malvenu que, pour une fois que le personnage est féminin dans ce genre de comics, les auteurs insistent aussi lourdement sur son mariage et son besoin de revenir auprès de son fils, comme si un personnage féminin ne pouvait voir qu'une parenthèse dans son engagement dans la rébellion et que son rôle de mère était bien plus important. Pas que cela ne soit pas un choix qui se défende aussi, mais vu le peu de personnages féminins....

Le dessin, quant à lui, m'a tapé dans l'oeil, et constitue l'un des points forts du volume.
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Life zero, tome 1

Encore une histoire de zombie qui se termine plutôt mal pour le genre humain dans la même veine qu'un certain Walking Dead. L'originalité de cette oeuvre vient du fait que certains codes du genre vont être détourné. Bref, on croit par exemple que c'est la morsure qui provoque la contamination et la transformation en mort-vivant mais ici, cela sera autre chose.



Le récit va nous amener à quelques surprises. Pour le reste, c'est très efficace car il s'agit de l'histoire d'un capitaine de l'armée et de son épouse à la recherche de leur petite fille perdue parmi les zombies qui pullulent dans la ville. On évitera la violence inutile bien que cela reste assez gore.
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Daredevil, tome 22 : Shadowland

Ce vingt-deuxième tome de Daredevil dans la collection 100% Marvel est consacré à l’arc intitulé Shadowland et reprend les épisodes #508 à #512, ainsi que l’épilogue « Shadowland: After the fall 1 ». Shadowland est un crossover dont l’essentiel a lieu dans Marvel Heroes Extra #7. Panini vous invite donc à vous procurer cette partie de la saga éditée en kiosque. Les plus courageux pourront même approfondir encore un peu plus leur connaissance de la saga en lisant le Marvel Monster consacré à Shadowland et les quatre épisodes de Marvel Universe Hors Série #10.



On retrouve donc Daredevil à la tête de la Main, pensant utiliser les redoutables ninja de cette organisation afin de faire régner l’ordre dans son quartier de Hells Kitchen. Ce plan foireux tourne cependant vite au vinaigre et c’est surtout la peur et la violence qui s’installent sur le quartier de New-York, tandis que notre ami Daredevil plonge encore un peu plus profondément dans les ténèbres. J’avais déjà eu beaucoup de mal avec la nouvelle orientation professionnelle de Matt Murdock lors du tome précédent, mais ici ça devient franchement ridicule. Ce Shadowland érigé en plein Hells Kitchen n’est pas du tout crédible et ces rues de Manhattan transformées en véritable champ de bataille ne tiennent pas la route. En transformant Daredevil en tueur violent, Andy Diggle dénature beaucoup trop notre justicier solitaire. L’empathie envers ce héros sombre et torturé disparaît au fil des pages et les actions de ses amis pour le ramener sur le droit chemin sont parfois assez risibles (la petite démonstration d’alpinisme de Foggy Nelson est à ce titre complètement ridicule).



Au niveau du graphisme, le travail de Marco Checchetto et Roberto de la Torre est à nouveau très bon, entièrement dans la lignée du reste de cette excellente série 100% Marvel (soulignons d’ailleurs l’excellent travail de Matt Hollingsworth au niveau de la colorisation). Un graphisme sombre et lugubre qui colle parfaitement à l’ambiance de Hell’s Kitchen et un nouveau costume tout de même assez réussi pour Daredevil.



Le plus mauvais tome de cette excellente saga !
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Star Wars : La citadelle hurlante

Ce tome peut se lire sans connaissance préalable des séries 2 séries qui s'y croisent, et avec une connaissance superficielle de l'univers Star Wars. Il comprend les épisodes Screaming Citadel 1, Star Wars 31 & 32, et Doctor Aphra 7 & 8, initialement parus en 2017. Il fait suite à Star Wars Vol. 5: Yoda's Secret War (épisodes 26 à 30, et annuel 2) et à Star Wars: Doctor Aphra Vol. 1 (épisodes 1 à 6). L'épisode Screaming Citadel 1 est écrit par Kieron Gillen, dessiné et encré par Marco Checchetto, avec une mise en couleurs d'Andres Mossa. Les épisodes 31 & 31 de Star Wars sont écrits par Jason Aaron, dessinés et encrés par Salvador Laroca, avec une mise en couleurs d'Edgar Delgado. Les épisodes 7 & 8 de Doctor Aphra sont écrits par Kieron Gillen, dessinés et encrés par Andrea Boccardo, mis en couleurs par Antonio Fabela.



Sur la planète Horox III, Luke Skywalker pénètre dans un bar, où un client lui fait tout de suite observer qu'il n'est pas le bienvenu car ce n'est pas un endroit où on sert les humains. La docteure Chelli Lona Aphra arrive pile poil à ce moment-là. Elle a droit à un accueil encore plus dur car l'un des clients la reconnaît pour avoir dérobé un objet de valeur. Il s'en suit une belle bagarre dans laquelle l'intervention de Black Krrsantan (un wookie compagnon de voyage d'Aphra) est décisive. Elle réussit à persuader Luke Skywalker de l'accompagner dans son vaisseau, avec Krrsantan et ses 2 droïdes (Triple Zéro & Beetee), pour se rendre sur la planète Ktath'atn. Sur place, elle lui a indiqué que la Reine de Ktath'atn sera en mesure de débloquer le cristal qu'elle a récupéré précédemment et qui contient la mémoire du chevalier Jedi Rur. Ce dernier devrait pouvoir aider Luke à progresser dans son apprentissage de l'utilisation de la Force.



Peu de temps après leur décollage, un autre vaisseau arrive sur Horox III. À son bord se trouvent la princesse Leia Organa, Han Solo et Sana Solo. Ils sont à la recherche de Luke Skywalker. Ils ne tardent pas à découvrir le message qu'il a laissé à leur attention et qui explique la raison de son départ. Ayant déjà eu l'occasion d'apprécier la fiabilité de Chelli Aphra, ils se mettent à sa poursuite sur le champ. Sur la planète Ktath'atn, Aphra, Skywalker et Krrsantan demandent aux gardes de les laisser pénétrer dans la citadelle pour soumettre leur demande à la reine de Ktath'atn. Les gardes accèdent à leur demande, sauf pour le wookie qui est placé en quarantaine. Tous les ans, elle reçoit des individus venus de tous les coins de l'univers, pour satisfaire leur requête sous réserve qu'ils lui aient apporté un présent qu'elle juge digne d'elle. Un fois dans leurs appartements, Luke et Aphra se changent en tenue de soirée, puis se rendent dans la salle d'audience qui est bondée de requérants.



En 2015, l'éditeur Marvel avait commencé à exploiter la licence Star Wars très progressivement, en débutant avec seulement 2 titres mensuels : l'un appelé Star Wars écrit par Jason Aaron, où le lecteur pouvait retrouver Luke Skywalker et les autres personnages emblématiques de 2 premières trilogies, et un titre consacré à Darth Vader écrit par Kieron Gillen. Progressivement, il augmenté le nombre de titres, essentiellement sous la forme de miniséries, puis ajouté celui de Doctor Aphra. L'éditeur n'a pas mis longtemps à appliquer la méthode Marvel et à organiser des histoires faisant se rencontrer 2 titres, le premier ayant été Vader down pour les séries Star Wars et Darth Vader. Afin de donner du poids à la série du Doctor Aphra, c'est à son tour de rencontrer les personnages de la série Star Wars. Le premier épisode est écrit par Kieron Gillen, et le lecteur comprend vite qu'il est à l'origine de l'intrigue, car elle repose entièrement sur les agissements et les prises de risque non mesuré du Docteur Aphra. Comme le titre l'indique, le scénariste raconte une histoire qui se déroule dans une citadelle de sinistre réputation, plaçant Luke Skywalker face à la reine de Ktath'atn. Le récit commence par ce qui n'est pas loin de s'apparenter à un enlèvement de Luke Skywalker, Chelli Aphra étant la reine de l'entourloupe. Le lecteur a bien vite compris ce qu'elle compte offrir à la reine de Ktath'atn : un jeune fermier maîtrisant la Force. Il sait aussi par avance qu'à ce stade de son histoire personnelle, Luke n'est capable que d'un usage de la Force, modéré, non maîtrisé, et pas forcément intentionnel.



Le récit repose donc sur la duplicité du docteure Aphra, de ses revirements de prise de position, de son absence totale de maîtrise des situations, de son incapacité à anticiper les risques qu'elle prend. Donc ce qui peut mal tourner va mal tourner. Derrière, Leia Organa, Han Solo et Sana Solo vont faire de leur mieux pour rattraper leur retard et récupérer Luke sain et sauf. Les intentions de la reine de Ktath'atn s'avèrent assez basiques, et peu originales, pas très éloignées d'une forme de vampirisme. Kieron Gillen s'amuse à faire en sorte que chaque fois que Luke Skywalker et les autres sont attaqués, ils gagnent une bataille, mais leur victoire est de courte durée, et parfois illusoire. Il sort une vilaine bestiole de son chapeau pour pimenter le tout, un parasite dénommé symbiote Abersin capable de prendre le contrôle du corps d'un individu et d'imposer sa conscience. Le lecteur constate rapidement que ces possessions ne laissent pas de séquelles, et il comprend qu'il ne s'agit que d'un dispositif narratif artificiel pour faire durer l'histoire. Il se désintéresse de l'intrigue à la fin de la première moitié du récit car il sent bien que les auteurs rendront les personnages dans l'état où ils étaient quand le récit a commencé, sans aucune conséquence, même à court terme.



Même si le lecteur a du mal à s'investir dans l'intrigue, il apprécie à sa juste valeur la mise en scène des personnages des films. Il reconnaît sans aucun difficulté Luke Skywaker, la princesse Leia et Han Solo, grâce à leur costume, et aussi grâce à une ressemblance satisfaisante avec les acteurs. Les scénaristes savent placer des réparties appropriées au bon moment que ce soit le manque de fiabilité de Han Solo, ou les origines de garçon de ferme de Luke Slywalker. Ils gardent sous le coude l'utilisation du sabre laser, jusqu'à la deuxième partie du récit. L'usage de la Force est hésitant et spectaculaire. Les différents dessinateurs reprennent avec fidélité des conceptions visuelles issues des films, de manière patente comme le Faucon Millénaire, de manière plus discrète comme l'armure portée par Bombinax.



Pour le premier épisode, Marco Checchetto réalise de dessins avec une forte densité d'informations visuelles, ce qui permet au lecteur de se projeter aussi bien dans ce bar qui n'est pas pour les humains, que dans les fastes de la réception organisée pour l'audience auprès de la reine de Ktath'atn. Le lecteur reconnaît sans peine l'aéroglisseur utilisé par Skywalker sur Horox III. Il détaille les bâtiments en préfabriqué d'Horox III, et il peut les comparer aux bâtiments en pierre de Ktath'atn. Il voit l'environnement désolé et désertique d'Horox III, contrastant avec le site beaucoup plus construit et fastueux du palais de la reine, la citadelle hurlante qui donne son nom au récit. Le lecteur apprécie la sophistication de la complémentarité entre les dessins et la mise en couleurs. Andres Mossa ajoute les variations d'intensité lumineuse, sur chaque surface, définit une teinte majeure pour chaque séquence, et utilise les effets spéciaux avec pertinence et élégance. En particulier il sait reproduire l'effet du passage en hyperespace, et il donne une sensation humide à la pluie très convaincante.



Le lecteur (re)découvre ensuite les dessins très léchés de Salvador Laroca, avec une mise en couleurs qui sculpte et polit les dessins. Laroca donne l'impression de réaliser des photographies, avec des traits de contour délicats et précis, un degré de détails savamment pesé et des poses évoquant celles d'acteurs. Il utilise de manière quasi systématique des cases de la largeur de la page pour donner l'impression d'un écran de cinéma. Edgar Delgado parachève les reliefs de chaque forme, avec une mise en couleurs très minutieuse. C'est un régal pour les yeux, et le choix des cadrages évite une impression trop figée. Andrea Broccardo ne démérite en ce qui concerne le degré descriptif, mais ses dessins n'ont ni la vivacité de ceux de Checchetto, ni l'apparence cinématographique de ceux de Laroca. Le lecteur retrouve une sensation plus porche des comics classiques, tout en restant de bonne facture, et ne respectant les caractéristiques visuelles des films Star Wars.



Ce crossover entre les séries Star Wars et Doctor Aphra constitue une aventure qui reprend les personnages et l'univers Star Wars de manière appropriée et pertinente, pour un récit mettant Luke Skywalker inexpérimenté face à la reine de Ktath'atn qui souhaite l'ajouter à sa collection. L'histoire suit une trame classique, à base de confrontations successives contre la reine de Ktath'atn, avec un symbiote particulièrement vicieux par là-dessus, mais finalement curieusement inoffensif. Les dessinateurs reproduisent les designs des films avec une certaine habileté, et leur donnent vie, avec un panache certain pour Marco Checchetto et Salvador Laroca. Le lecteur fan de Star Wars y voir une bonne occasion de retrouver ses personnages préférés mis en scène avec respect et conviction, 4 étoiles. Le lecteur de passage apprécie la narration visuelle, mais se désintéresse de l'histoire dans sa deuxième moitié, 3 étoiles.
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Star Wars : Les ruines de l'empire

Tout d'abord, je tenais à remercier Babelio, et les éditions Panini Comics, pour m'avoir permis de découvrir cet ouvrage, se situant en fait entre Star Wars 6 et 7.



L'empereur n'est plus, et l'étoile de la Mort a été détruite. Toutefois, l'Empire refuse la défaite, et à travers l'opération Cendre, souhaite se venger sur différentes cibles, notamment Naboo. Mais, l'Alliance ne se laissera surement pas faire, et va affronter l'Empire rapidement. Pour cela, nous suivons les aventures de Shara Bey, une pilote de chasse très douée (qui est respectivement la mère de Poe Dameron, personnage mis en scène dans le film Star Wars 7).



En ce qui concerne les personnages, nous faisons la connaissance de Shara Bey donc. Très douée, et dévouée à l'Alliance, elle souffre tout de même de l'éloignement de sa famille. Pourtant, les deux semblent impossible à concilier. Cependant, toujours volontaire pour intervenir dans les opérations de l'Alliance, Shara est en fait un personnage très important.

Nous retrouvons également avec plaisir dans cet opus Han Solo, Chewbacca, la princesse Leïa, et Luke Skywalker par exemple. Fidèles à eux-mêmes, j'ai beaucoup aimé les retrouver, sans compter sur le charisme de Luke et de Leïa.



Dans le détail, je dirais que j'ai bien aimé découvrir ces aventures. Elles complètent assez bien l'univers Star Wars, et j'ai été ravi de revoir certains personnages. Mention spéciale à l'illustrateur qui a fait de l'excellent travail ici. Les dessins sont très détaillés, précis, colorés, pour notre plus grand plaisir.

Ce tome est en fait divisé en quatre petites histoires, qui présentent diverses opérations de l'Alliance,qui s'oppose fermement au retour de l'Empire. Dans celles-ci, nous suivons un couple de pilotes, acharnés à lutter pour la liberté.



En conclusion, cet ouvrage complète encore un peu plus l'univers vaste de Star Wars. L'héroïne principale est attachante, et les opérations présentées sont agréables à découvrir. Les dessins sont très réussis et m'ont permis de bien visualiser l'histoire, ainsi que les lieux qui sont magnifiques (notamment Naboo).

Néanmoins, je dirais que cet opus reste relativement court, et méritait un peu plus de développement, quand on sait les multitudes de possibilités que nous offrent l'univers Star Wars. Merci pour cette belle découverte.
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Star Wars : Les ruines de l'empire

Dans cet album, nous découvrons que le combat pour les rebelles n’est pas terminé et que les restes de l’Empire sont toujours aussi vaillants. Le récit nous fait suivre un couple de pilotes que les missions emmènent d’un bout à l’autre de l’univers.

Le récit est assez décousu et n’apporte pas beaucoup d’éléments à la saga Star Wars. Il y a pas mal d’actions, c’est assez épique et le graphisme est assez bien réalisé. Pour un comics, il y a beaucoup de détails et le dessin est agréable.

Mais l’ensemble est assez mitigé, entre un récit très moyen et un graphisme bien réalisé. Un Star Wars uniquement pour les fans de l’univers.

Je remercie Babelio et Panini Comics pour ce partenariat.
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The Punisher

The punisher est en train de devenir mon petit chouchou dans l'univers des comics. A la suite de la mort tragique de sa famille assassinée sous ses yeux, ce marine décide de devenir The Punisher est de faire justice lui même. Il prend souvent de vitesse les inspecteurs de police qui arrivent sur des lieux de crime où tous les méchants se sont fait assassiner. Pas facile à ce moment là pour interroger les suspects. C'est lui même un méchant qui tue de sang froid et pourtant on ne peut que s'attacher à lui. Il amène les autres personnages et surtout nous lecteurs à nous poser des questions de morale pas facile car oui il tue de sang froid mais il tue des méchants. Grosse réflexion métaphysique pour nous et c'est ce que j'aime car la culture n'est elle pas là pour nous amener à réfléchir en plus de passer du bon temps ?

Et pour ne rien gâcher au plaisir, il a sacrément la classe !!
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Star Wars : Les ruines de l'empire

Sans être sensationnel, ce petit bonus permet de reprendre là où s'arrêtait la Trilogie (même un petit peu avant) en annonçant de loin la Postlogie.

L'histoire semble trop courte, et je me demande si quelques éléments prendront un sens particulier dans les épisodes 8 et 9...

En tout cas, ce tome plaira forcément aux fans puisqu'il permet de retrouver nos personnages préférés dans des décors connus (avec un dessin étonnamment fidèle, ce qui change des trop nombreux comics où on reconnait à peine les acteurs).

Si le comics n'a évidemment pas l'ampleur des films, ça reste une très bonne histoire dérivée pour patienter jusqu'à l'épisode 8, et un bon moyen de combler les trous dans l'Histoire StarWarsienne !
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The Punisher

Une vision du Punisher différente de celle de Garth Ennis moins sombre et irrévérencieuse qui tire beaucoup plus sur l'action et la recherche stylistique. Cette nouvelle generation est elle aussi beaucoup plus imprégnée par l'univers Marvel. Nous suivons l'enquête de deux policiers (dont un ressemble énormément à Morgan Freeman dans Seven ) qui interviennent sur les scènes de crime du Punisher. Cela commence par un carnage perpétué lors d'une cérémonie de mariage orchestré par une organisation mafieuse et le Punisher va essayer de la démanteler à sa façon. Le justicier ne fait toujours pas dans le détail et est toujours aussi efficace même si la violence est moins mise en avant que les histoires de G.Ennis. Il pourra aussi s'épauler sur plusieurs individus pour atteindre ses objectifs et quelques guest stars tels que Daredevil et le Vautour feront des apparitions.

Pour résumer, très bon scenario, un Punisher toujours aussi charismatique et des planches vraiment de toute beauté.

Si comme moi vous êtes fan du justicier à la tête de mort, précipitez vous sur ce tome que j'ai trouvé remarquable et innovant.
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Star Wars : La citadelle hurlante

J'ai relu aujourd'hui cette BD Star Wars, qui est un croisement avec le Docteur Aphra dont je n'ai encore rien lu.



Nous suivons Luke et le Docteur Aphra qui se rendent sur la Citadelle Hurlante afin de rencontrer la Reine qui pourrait être en mesure de réactiver un vieux cristal trouvé par le docteur Aphra et qui contiendrai les souvenirs d'un ancien Maître Jedi.



Bien que cette histoire semble faite sous l'égide de Disney, je l'ai trouvé sympathique! J'aime les dessins, on y retrouve bien les traits des acteurs, et cela reste assez coloré.



Je pense que le scénario est assez prévisible si vous connaissez bien les personnages, mais lors de ma première lecture j'avais été très surprise.

Le côté sombre de l'humain est incarné par certains personnages, et tous n'ont pas le même objectif.



En bref j'ai passé un chouette moment :)
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Star Wars : Les ruines de l'empire

J'ai toujours apprécié l'univers Star Wars mais sans en être un grand fan. C'est la série Mandalorian qui m'a vraiment donné le goût pour cette licence.



Depuis que j'ai vu les 2 premières saisons de cette série, j'ai envie d'étendre mes connaissance dans cet univers, je me suis donc lancé dans le revisionnage des films, le visionnage des séries animées, et la lecture de quelques comics ( parmi lesquels il y a du bon et du moins bon).



Pour cet album, les Ruines de l'Empire, ça fait parti du moins bon... Bien que les dessins de Marco Checchetto soient excellent, le récit qui n'est pas mauvais, est tout de même vraiment anecdotique, aussitot après l'avoir lu, je l'ai oublié...

Le fait que l'histoire soit centrée sur des personnages que je ne connait pas n'en est pas la seule cause, j'ai lu d'autres récits Star Wars sur des personnages que je ne connaissais pas et que j'ai trouvé bien meilleur (cf Star Wars Kanan).



Petit résumé rapide du peu que je me rappelle, l'histoire se déroule entre Star Wars VI - Le Retour du Jedi et Star Wars VII - Le Réveil de la Force, cela se passe juste après la bataille d'Endor, après la victoire de l'Alliance rebelle. Cependant, la victoire n'est pas totale. Si l'Empereur a bien été vaincu, ses généraux voient une place à prendre et tentent de reprendre le pouvoir. On va suivre une Pilote (me rappelle plus son nom x) ) dans les différentes missions qu'elle effectue pour l'Alliance Rebelle.



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Daredevil, tome 21

Ce vingt-et-unième tome de Daredevil dans la collection 100% Marvel regroupe les épisodes #501 à #507 de la saga US. Rappelez-vous qu’on était passé à la numérotation originelle lors du fameux épisode #500 (380 épisodes de la première série + 120 de la deuxième).



Cet album contient deux arc, « The Devil's Hand » (4 épisodes) et « Left Hand Path » (3 épisodes). Le premier est l’œuvre d’Andy Diggle au scénario et de Roberto de la Torre au dessin, alors que le second est écrit par Andy Diggle et Antony Jonhston et dessiné par Marco Checchetto.



Le tome précédent marquait la fin du run d’Ed Brubaker ("Gotham central", "Criminal", "Incognito") et de Michael Lark ("Gotham central") sur la série Daredevil, sur une conclusion qui marqua les esprits. Si Brian Michael Bendis avait déjà fait très fort en emprisonnant Matt Murdock à la fin de son run, le cliffhanger proposé par Brubaker lors du tome précédent avait également de quoi surprendre les fidèles de DD. Tout le monde était donc très curieux de voir comment Andy Diggle (Hellblazer, Thunderbolts) allait exploiter le nouveau statut de Daredevil lors de ce tome. Si le héros proposé par Diggle demeure sombre et torturé, sa nouvelle orientation professionnelle chamboule tout de même solidement le personnage.



Le premier arc se déroule dans un New-York dirigé par Norman Osborn et montre un Daredevil à la tête de la Main, tentant de combattre des forces de l’ordre corrompues. Si la pilule sera plus facile à avaler pour les lecteurs de «Dark Reign : The List», les autres auront plus de mal à s’habituer à ce nouvel environnement Marvel. J’ai personnellement un peu de mal à me faire à l’idée d’un DD combattant les forces de l’ordre avec une telle violence et transformant les rues de Hell’s Kitchen en véritable champ de bataille. Déstabiliser l’organisation ninja de l’intérieur, ça passe encore, mais attaquer des policiers (certes corrompus) en compagnie d’une bande d’assassins et les mettre en cage, là, ça dénature un peu trop ce justicier solitaire.



Le second arc se déroule au Japon en compagnie du Tigre Blanc et montre un DD tentant de mettre les différents clans de la Main sur la même longueur d’onde. Dans cette histoire rythmée par les luttes intestines qui divisent la Main, Matt Murdock essaie d’imposer son autorité auprès des différents Daimyos. Un récit qui permet de mieux comprendre l’organisation de la Main et ses desseins.



Mais au final, malgré un héros un peu trop dénaturé, Andy Diggle livre un personnage sombre et torturé, dans la lignée de ses prédécesseurs, et continue de mettre à mal les personnages secondaires tels que Foggy Nelson et Dakota. Et puis, au niveau du scénario, cet album sert surtout à la mise en place de Shadowland, le prochain arc/cross-over à venir.



Au niveau du graphisme, le travail de Roberto de la Torre (dont le nom ne figure étrangement pas sur la couverture) est excellent, entièrement dans la lignée du reste de cette excellente série 100% Marvel. Un graphisme sombre et lugubre qui colle parfaitement à l’ambiance de Hell’s Kitchen. Malgré un décor nippon, le travail de Marco Checchetto est également bon. Et il faut une nouvelle fois souligner l’excellent travail de Matt Hollingsworth au niveau de la colorisation.



Un bon album, à cheval entre le cliff-hanger de Brubaker et l’arc de Shadowland !
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Star Wars : La citadelle hurlante

Situe juste après le premier tome des aventures du Docteur Aphra, celle-ci fait équipe avec Luke pour aller sur la citadelle hurlante pour y rencontrer la Reine. Le Docteur Aphra veut que la reine active le cristal qu’elle a récupérée de sa précédente aventure et en tirer le meilleur prix, pour Luke c’est l’occasion de parler avec un véritable Jedi, enfermé dans ce cristal... mais pour la Reine, il faut également une compensation !

Une aventure très originale, pleine d’action et avec une Docteur Aphra au top, à l’humour noir, aux trahisons et au style si immanquable. Les deux droïdes sont aussi excellents avec ce duo qui est l’antithèse de R2D2 et C3PO : des droïdes sadiques et mortels à souhaits mais non dénués d’humour... noir.

Un récit vraiment original, qui dénote un peu dans l’univers Star-Wars, je n’irai pas jusqu’à dire que cet album se rapproche de l’horrifique mais il en prends les codes et donne un épisode fascinant.

À part Leïa et Han que j’ai trouvé fades, tous les autres personnages sont excellents, même Luke que je trouve assez niais dans les autres comics, ici il joue un rôle important et plutôt proche du véritable Jedi que du simple(t) fermier de Tatooine.
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Star Wars : La citadelle hurlante

Second cross over dans l’univers STAR WARS, cette fois entre la série mère et la petite nouvelle, DOCTOR APHRA. Pour ceux qui ne suivent pas cette dernière, Aphra est un peu l’équivalent d’Indiana Jones version féminine (et lesbienne) accompagnée de deux droïdes psychopathes (décalques évidents de C3PO et R2D2), Triple 0 et BT. Un peu à l’image de Han Solo, Aphra est une racaille sympa : elle trahit tout le monde, s’attire toujours les pires ennuis mais, finalement, on l’aime bien quand même. Même Luke l’apprécie et pourtant elle l’expédie toutes les vingt pages dans les griffes d’une reine complètement cinglée. Le fermier s’en offusque t’il ? A peine puisqu’il insiste « c’est mon amie ». Avec des amis comme ça…

Bref, Aphra possède un cristal dans lequel est enfermé « l’âme » d’un Jedi et Luke, toujours aussi naïf, accepte de l’aider en se rendant sur une planète perdue où vit la reine Ktath’atn, laquelle offre une forte récompense, chaque année, à qui lui apportera une « curiosité ». Bien sûr, un fermier pouvant manipuler la force se révèle un bon candidat.

A partir de ces prémices déjà zarbies, l’intrigue part dans tous les sens : des symbiotes extraterrestres vaguement inspirés d’Alien prennent possession d’Han et de Luke pour les transformer en zombies agressifs, un wookie retourné à l’état bestial dévaste une citadelle (hurlante donc) et une méchante reine fume du Jedi (si, si ! prends c’est de la bonne !) pour aspirer la force vitale de Luke à la manière d’un vampire, le récit n’étant pas avare de références au cinéma d’épouvante gothique rétro.

Ni très cohérent ni très vraisemblable (les réactions des personnages paraissent souvent forcées ou peu crédibles mais nécessaires à l’avancée d’une histoire bien… fumeuse), LA CITADELLE HURLANTE multiplie les coups tordus, les rebondissements incroyables de fin de chapitres et les trahisons. Quelques bons passages, des scènes « WTF » rigolotes et les considérations humoristiques (qui n’évoluent guère mais restent amusante) de nos droïdes meurtriers occupent ces 120 pages d’un intérêt discutable mais globalement divertissantes.

Au niveau des dessins, l’album se montre, là aussi, fort inégal : on apprécie le très beau travail de Marco Checchetto qui propose une ambiance futuriste pluvieuse avant d’alterner entre le photo réalisme de Salvador Larocca (avec ces visages douteux) et le trait beaucoup moins précis, proche du cartoon, d’Andréa Broccardo.

Ce crossover s’est attiré bien des critiques pour son intrigue déjantée qui s’éloignerait trop du « canon » STAR WAR. Personnellement je trouve qu’il s’agit plutôt d’une qualité avec son mélange d’aventures pulp, de science-fiction déjantée et de passages horrifiques. Quoique le récit n’aura aucune véritable conséquence (à la manière des vieux STAR WARS CLASSICS jadis publiés dans Titan) sur l’intrigue globale développée par ce nouvel univers étendu il n’est pas déplaisant pour autant avec ses références diverses (ALIEN, DRACULA,…), ses dialogues souvent amusant et son rythme soutenu. On a lu bien pire dans les comics récents (LA GUERRE SECRETE DE YODA par exemple) et l’ensemble, certes vite lu et vite oublié, reste donc distrayant et plaisant en dépit de ses défauts. Pas si mal !


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Daredevil, tome 22 : Shadowland

Voilà pourquoi j'ai arrêté Marvel, leur crossover de merde, si tu veux comprendre faut lire 50 trucs du coup ce tome y a des énormes trou vu que j'ai pas les autres magasines. Donc c'est ptet bien si on lit tout mais si on lit juste ce tome c'est nul.
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Daredevil, tome 21

Voilà le truc chiant de Marvel, leur putain de crossover toutestlié, ici il manque des trucs pour tout capter (comment Osborn est devenu boss d'une organisation, à quoi sert Hawkeye, Pourquoi on voit plus Hood) mais heureusement on part très vite sur l'intrigue Murdock boss de la main et le voir avec son armée de ninjas est quand même bien classe après clairement toute la partie au Japon est un peu osef mais y a des planches qui tuent
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