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3.41/5 (sur 316 notes)

Nationalité : Allemagne
Né(e) à : Dachau , 1975
Biographie :

Leonie Swann est le nom de plume d'une auteure de polars allemande.

Elle a étudié la philosophie, la psychologie et la littérature anglaise à Munich, et vit aujourd'hui à Berlin.
Son premier roman, "Qui a tué Glenn?", s'est vendu à plus de 100.000 exemplaires les six premiers mois après sa sortie, et été traduit dans 32 langues. Son second roman, "Garou", la suite du premier, n'est pas un polar mais un thriller.


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Augustus Huff, enseignant à la célèbre université de Cambridge, est bien ennuyé : un de ses étudiants a trouvé la mort après une chute de plusieurs mètres. Tragique accident ou meurtre de sang-froid ? Augustus penche pour la seconde hypothèse, car le disparu était tout sauf un ange. Avec l'aide de Gray, le perroquet du défunt, il part à la recherche de l'assassin. Mais l'oiseau se révèle être fort en bec et l'enquêteur pas franchement doué. Rapidement, c'est Gray qui posera les bonnes questions et conduira Augustus sur les traces du coupable. Leonie Swann nous entraîne dans une enquête palpitante menée par un universitaire farfelu et le plus charmant des enquêteurs à plumes !

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Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
Le retour est toujours le chemin le plus important, racontait le feuillage, qui racontait partout la même chose.

(Poche, p. 175)
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Le lendemain matin, la situation paraissait déjà moins sombre. Réveillée par le chant d'une alouette, Agnes resta un moment à somnoler dans son lit. Sans penser à rien. Ni aux problèmes, ni aux rubans de signalisation dans le jardin. Elle était tout simplement Agnes et, pour l'heure, cela lui suffisait. Ensuite, elle s'étira et sa hanche l'élança. Elle n'était donc pas tout simplement Agnes, elle était la VIEILLE Agnes. Tous les matins, ce constat lui causait un petit choc. Comment soixant-dix-huit ans avaient-ils pu passer aussi vite sous ses yeux ? A moins que ce ne fussent quatre-vingt-sept ? Mieux valait ne pas chercher à savoir.
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Tu vas voir ça va aller, dit le maréchal pour l'apaiser. (...)
- C'est aussi ce qu'ils disent à la radio, bougonna-t-elle. En ce qui me concerne, je n'en crois pas un mot.
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Un bombyx du mûrier, papillon blanc, petit bout de soie aérienne, fit son apparition. On fabriquait la soie à partir de chenilles, d'énormes troupeaux de vers rampants. On les faisaient cuire et on leur enlevait leur enveloppe. On tondait bien les moutons. Tant que c'était blanc, tant que c'était chaud, on ne se souciait pas de savoir si l'on portait à même la peau du jus de vers ou de la laine de mouton. Tous voulaient être blancs comme des moutons, et en même temps, ils ne le supportaient pas : ils teignaient la laine et puaient. Leur nudité demeurait cependant. C'était ça, le secret, le secret à l'état brut. Les hommes sont nus face aux choses, livrés aux choses, trahis par les choses alors même qu'ils les trahissent eux-mêmes.
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Regarde Melmoth, qui parcourt le monde à la recherche de l’attention et crois-le quand il dit qu’il n’y a pas eu un jour dans sa vie où il n’ait pas appris quelque chose — et pas une nuit.

(Poche, p. 252-3)
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-Non, mon petit. L'esprit de George ne va pas revenir. Les hommes n'ont pas d'âme. Pas d'âme, pas d'esprit, rien. C'est aussi simple que cela.
-Comment peux-tu dire une chose pareille! s'insurgea Mopple. Nous ne savons absolument pas si les hommes ont une âme ou non. Il y a peu de chances, d'accord, mais cela reste possible.
-Même un agneau sait bien que l'âme se loge dans l'odorat. Or les êtres humains sentent très mal.
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De vieux livres. Usagés. Les livres d’occasion le rendaient nerveux. Cela ne tenait pas seulement aux bactéries et aux mains sales qui les avaient probablement manipulés en grand nombre dans le passé, mais aussi à l’expérience, si l’on peut dire, que possédaient ces ouvrages – l’expérience d’être lus. C’étaient des livres sûrs de soi, résolus, conscients de leur effet, qui le compareraient peut-être à de précédents lecteurs, des lecteurs plus intelligents, plus perspicaces qu’il ne le serait jamais. Bien sûr, il savait que tout cela était absurde, mais cela ne l’empêchait pas de se sentir mal en présence de tant de livres déjà lus. (p. 89-90)
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« Il n’est pas mort de maladie. Les bêches ne sont pas des virus ! » (p. 7)
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Augustus quitta le parc et se mêla à la cohue dans Bridge Street. Gray (le perroquet) attendit qu’ils fussent au milieu de la foule pour se déchaîner.
« Sexe ! Sexe ! Sexe ! »
Les gens regardaient. Naturellement. Ils regardent toujours quand il est question de sexe.

(NiL éd., p.255)
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Dans son esprit, les idées s'alignaient les unes après les autres comme les perles d'un collier, mais une fois sur sa langue, elles s'embrouillaient de plus en plus fréquemment. L'intérieur et l'extérieur s'éloignaient de manière toujours plus notable.
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