Et pourtant, les immigrés sont toujours là pour effectuer les travaux pénibles qu'aucun français ne veut plus faire : la cueillette des fruits dans la vallée du Rhône ou de la Loire, le nettoyage des villes au petit matin, les durs chantiers de travaux publics ou de du bâtiment sous la pluie ou sous la neige; la désormais sacro-sainte sécurité privée dans les lieux publics recevant du public etc...
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