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3.18/5 (sur 615 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New York , le 19/05/1962
Biographie :

Jonathan Dee est un écrivain américain.

Il écrit pour le New York Times Magazine, la revue Harper's et la Paris Review. Il enseigne l'écriture créative à l'Université Columbia.

"Les Privilèges" (The privileges, 2010) est son cinquième roman, le premier publié en France. Il a reçu le Prix Scott Fitzgerald, le 26/05/2011, et a été finaliste du prix Pulitzer.

Il publie "La fabrique des illusions" en 2012. Il a ensuite écrit "Mille Excuses" (A Thousand Pardons, 2013) et "Ceux d'ici" (The Locals, 2017).

Il vit à Syracuse, New York, avec sa femme, l'écrivaine Dana Spiotta (1966) et sa fille.



Source : www.franceculture.com
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Jonathan Dee vous présente son ouvrage "Sugar Street" aux éditions Les Escales. Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2678755/jonathan-dee-sugar-street Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube. Visitez le site : http://www.mollat.com/ Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux : Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/ Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat Linkedin : https://www.linkedin.com/in/votre-libraire-mollat/ Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/ Vimeo : https://vimeo.com/mollat
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Citations et extraits (125) Voir plus Ajouter une citation
le monde extérieur parvenait de temps en temps à toucher votre quotidien d'une façon qui n'était pas imaginaire.Ces points de contact avaient du bon et du mauvais car ils servaient à la fois à vous relier au dynamisme plus vaste dont vous rêviez, mais également à vous rappeler combien vous en étiez coupés.
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Le problème, ce n'est pas que l'amour t'aurait détruite. Le problème, c'est que tu ne te vois pas comme quelqu'un qui mérite d'être aimé. Du coup tu gaspilles tes dons.
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"Le chant d'amour. 1914. A propos, Magritte disait de ce tableau, qu'il avait vu jeune homme en visitant un musée en 1922, qu'il constituait un des événements les plus importants de sa vie. En effet, disait-il, dans un monde de cubistes et autres manipulateurs timorés de la surface plane de la toile, il avait enfin découvert quelqu'un qui rêvait, non pas d'une manière de peindre, de ce qu'il fallait peindre."
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Notre culture ne propage aucune valeur hormis cet étrange autodénigrement suggéré par ce perpétuel sourire d'ironie : nous nous abstrayons de nous-mêmes pour mieux nous protéger du terrible vide de l'existence que nous menons aujourd'hui.
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Bien sûr il est possible que ce soit la définition même d'un grand amour. Un amour si grand que tu ne réussis pas à le vivre, que les ressources dont tu disposes se révèlent dérisoires à côté de lui. Rester à la hauteur de cet amour, de manière soutenue, s'avère être un casse-tête qui dépasse tes capacités.
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La population étudiante a en permanence entre dix-huit et vingt-deux ans ; seuls ceux qui pourvoient aux besoins de cette multitude – les commerçants, les logeurs, les professeurs titulaires – sont autorisés à se regarder vieillir mutuellement
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Le monde est une ruine, et nous sommes responsables. Certains d’entre nous plus que d’autres. Pour autant, c’est vouloir s’aveugler de croire qu’on peut rendre ce monde meilleur en y apportant quelque chose de plus, en lui ajoutant quelque chose. Pour rendre le monde meilleur, la seule méthode c’est la soustraction. Rien que la soustraction.
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Le problème, c'est qye dès qu'on commence à voir à quel point tout est répétitif et sans vie, on ne peut plus s'aveugler.
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Et à un certain moment, il y a eu ce qu'on a appelé l'internet des objets, une expression dont je n'ai jamais vraiment compris ce qu'elle signifiait, mais en tous les cas je suis à présent dans l'internet des sens, qui ne peut se monétiser ou se pirater, avec une bande passante certes limitée, mais remarquable pour ce qui est de protéger son intimité.
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- Parce que tout est tellement prévisible, ajouta Ben, absolument comme si aucune autre voix ne s’était exprimée. Cela me terrifie. Le moindre petit détail de ma journée me terrifie. Le repas que je prends, le client que je rencontre, chaque fois que je monte en voiture ou que j’en descends. Ca me fout la trouille. N’avez-vous jamais éprouvé une lassitude telle que, littéralement, elle vous épouvante ? C’est ce que je ressens, tous les jours. C’est que je ressens, assis là, en ce moment précis, à cette seconde précise. C’est comme une putain de condamnation à mort, de revenir dans cette maison tous les soirs. Enfin, sans vouloir vous offenser.
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Dans la guerre des Gaules, César se remémore cette année, 52 (Avant JC) : "Le lendemain de la défaite, César, ayant assemblé ses troupes, leur reprocha leur manque de réflexion et de sang-froid : "Ils avaient décidé d'eux-mêmes jusqu'où ils devaient aller et ce qu'ils devaient faire, ils ne s'étaient pas arrêtés quand on avait sonné la retraite, et les tribuns, les légats même n'avaient pu les retenir. Il leur expliqua de quelle importance était le désavantage de la position, et quelle avait été sa pensée à Avaricum, lorsque, ayant surpris l'ennemi sans chef et sans cavalerie, sûr de la victoire, il y avait pourtant renoncé, parce qu'il ne voulait pas éprouver dans cette rencontre les pertes, fussent-elles légères, que lui aurait value le désavantage de sa position [...] Et il ne demandait au soldat pas moins de discipline et de domination de soi-même que de courage et de force d'âme."

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