John Grisham

L'histoire est très positive et donne envie de continuer la lecture et de s'y intéresser mais les mélanges de personnages, d'histoires etc. rendent une lecture qui aurait pu être très agréable un peu laborieuse et nécessite la volonté d'aller au bout du livre.

Fan de football américain, appréciant certains romans de John Grisham, je me suis laissé tenter par la quatrième de couverture de ce livre.



Hélas, j'ai passé une lecture compliquée. La première partie du livre est vraiment inintéressante, la seconde partie relève un tout petit peu l'intérêt.



Manque de rythme, des clichés, du déjà vu et lu sur la vie scolaire américaine et tout ce qui entoure les jeunes stars du football américain au lycée.



Un illustre inconnu n'aurait jamais eu son manuscrit retenu en ayant écrit la même chose...



A fuir...

Le sujet est aguicheur car il est question d’un jeune joueur de basket dont on pressent qu’il va devenir une star de son sport. Il a été détecté au Soudan par une université américaine et sa famille est menacée par les massacres qui y sont perpétrés par des milices hors la loi.

Malheureusement il n’est pas aisé de faire vivre des suites de matchs dans une histoire écrite. JG excelle dans le monde des avocats et de la justice, mais dans ce nouveau domaine il n’a pas trouvé d’intrigues très originales et il enchaîne en plus les clichés.

La fin est surprenante mais très décevante pour le lecteur.

J’ai tenu à terminer la lecture de ce roman mais les derniers chapitres ont été lus en diagonale car le style, l’histoire et la personnalité des personnages ne sont pas à la hauteur des romans habituels de JG.



Avec quelques aménagements de l’histoire et des bonnes prises de vue des entraînements et des matchs une adaptation cinématographique pourrait malgré tout faire oublier le livre.

De JOHN GRISHAM : L'INFORMATEUR



Avec ce livre nous voilà plonger dans le monde judiciaire des États-Unis.



_Lacy Stolt avocate pour le BJC, service de l'inspection judiciaire, enquête sur

les manquements d'une magistrate de l'état de Floride.

_Une juge est mêlée à la construction d'un casino sur une réserve indienne celle ci sous l'emprise de la Coast Mafia.



Cette enquête ne sera pas sans conséquences. Les rouages de l'institution des Etats-Unis ne faciliteront pas celle-ci.



Thriller passionnant et instructif.

L'intrigue commence tambour battant, avec 2 jeunes adolescents témoins bien involontaires d'une tentative de suicide. De là va découler toute l'histoire car l'homme qui se suicide était l'avocat d'un mafieux accusé d'avoir tué un haut magistrat. Et cet avocat qui connaissait des secrets compromettants est soupçonné d'avoir palé aux jeunes ados...

La suite va être parfois un peu laborieuse, moins rythmée et un peu longue à mon goût car peu de suspens (on connaît la fin dès le début..) et les procédures ne sont pas toujours passionnantes. Certains passages sont également peu crédibles pour un garçon de 11ans à mon sens, aussi dégourdi soi-il.

Cela dit Grisham sait malgré tout mener sa barque, et quelques personnages viennent rehausser le roman avec notamment le savoureux juge Roosevelt ainsi que l'avocate attachante du jeune Mark.

Bref lecture divertissante mais pas forcément passionnante de ce roman "le client" qui aurait peut-être plutôt dû s'appeler "le témoin" à mon sens..

"Suspense as usual" ... mais ma lecture reste teintée de doutes quant à la morale de l'histoire : on a ici un bel exemple de "struggle for life", "œil pour œil, dent pour dent", astuces douteuses et lucratives pour sortir du piège des arnaques légales.

Parce que ce qui est légal n'est pas forcément moral, jamais je ne l'avais perçu de façon aussi violente : quand on veut gagner de l'argent, c'est l'astuce qui prévaut, on ruse avec la loi, on paie un peu si on est découvert, et on continue, « business as usual ».

Quel ennui !

Cela fait plusieurs romans que je trouve vraiment catastrophiques !

Dans ce "Le cas Nelson Kerr", c'est le vide intersidéral. Des longeurs, des personnages insipides, une écriture carrément simplette, des répétitions à n'en plus finir à chaque chapitre pour nous re-re-re-décrire des scènes déjà lues.

Je ne peux pas imaginer qu'un éditeur puisse accepter ce genre d'ouvrage, saut si bien sûr, grâce au nom de l'auteur, il est assuré de ventes correctes.

Mais là je trouve qu'on touche le fond.

Je sais que les éditeurs doivent vivre et que pour cela il faut vendre, mais là, trop c'est trop !- Quel regret immense d'avoir acheté ce roman. Je vais vraiment surveiller mes prochains achats pour ne pas encourager ce genre de littérature où on se moque clairement du lecteur.

C’est une histoire agréable à lire mais qui n’a que bien peu de surprise, si ce n’est le décès d’un des personnages, on sait tout de suite plus ou moins comment ça va se terminer et finalement ce n’est pas si grave, car l’important dans L’ombre de Gray Mountain, ‘est pas vraiment la finalité mais le chemin que va prendre Samantha qui va évoluer en tant qu’avocate et aussi en tant que personne !!
Lien : https://mellecupofteabouquin..

Tout à fait Grisham. Un roman de gare, un roman de plage, un roman pour passer le temps quoi! L’auteur maîtrise la formule pour nous tenir en halène, même si la fin est un peu prévisible. Le style est direct, concis. On ne se perd pas dans une multitude de personnages. Certes ce n’est pas de la grande littérature et c’est une traduction de l’américain. Mais on ne s’ennuie pas et c’est ce qui compte. 7/10

Une histoire très sombre dans le sud de l'amérique en fin de 2ème guerre mondiale. Pete de retour de la guerre du Pacifique est blessé et très diminué.

Peu après son retour il fait interner sa femme et tue le pasteur méthodiste.

Qu'est-ce qui a bien pu le pousser à cette extrémité .

J'ai récemment tourné la dernière page de "A Time for Mercy", et le sentiment prédominant est un plaisir renouvelé face à l'art narratif de Grisham.



L'auteur nous offre ici un récit profondément tragique centré sur un acte désespéré : un adolescent accusé d'avoir tué son beau-père, un policier violent après une altercation particulièrement brutale qui a laissé sa mère entre la vie et la mort.



Il n’a théoriquement aucune chance d’échapper à la peine de mort.



Ce qui rend ce roman d'autant plus passionnant est le retour du charismatique Jake Brigance. Les fidèles de Grisham se rappelleront de ce personnage emblématique, ayant déjà marqué de sa présence des oeuvres antérieures telles que "A Time to Kill". Brigance, bien que commis d'office pour cette affaire avec une promesse de remplacement imminent, démontre une fois de plus son habileté hors pair dans le rôle de défenseur.



Grisham brille particulièrement dans sa description détaillée du système judiciaire. À travers la préparation du procès nous découvrons les rouages de la justice, des phases préliminaires aux échanges tendus en salle d'audience. La phase de sélection des jurés, par exemple, est un voyage éducatif à travers les stratégies complexes du métier d'avocat.



Si l'issue du procès est attendue avec fébrilité, le dénouement du récit pourrait laisser certains lecteurs un brin insatisfaits. Toutefois, cette légère déception n'entache en rien l'expérience globale, qui mêle habilement distraction et initiation au système judiciaire américain.



En somme, "A Time for Mercy" est une preuve supplémentaire du talent de Grisham. Et, il y a fort à penser que cette oeuvre trouvera prochainement sa place sur grand écran.

Un des plus beaux livres que j’ai lu.Il faut je pense être fan de basket ball pour apprécier pleinement ce roman. Lu en 2 jours.Livre qui nous fait voyager entre les continents, les pays.

L’argent malheureusement ne fait pas le bonheur. Il faut savoir garder les pieds sur terre. À faire lire à tous les jeunes sportifs qui rêvent du plus haut niveau.

Un mot, un seul pour résumé ce roman : « Waouh » !



Mais comment fait-il, ce John Grisham, pour se renouveler à chaque fois tout en restant sur son terrain de prédilection : le droit, la justice, la défense des « petits », victimes d’injustices ?



Une fois encore il suffit de débuter la lecture pour se faire happer par l’histoire. Ici le roman est centré sur les « oubliés » à savoir les innocents en prison, condamnés injustement depuis de longues années, soit à cause de tout-puissants corrompus ou/et des avocats complices ou incompétents.



Dans ce magnifique roman, Post Cullen membre des « Anges-Gardiens », s’emploie à prouver leur innocence (à titre gracieux), parfois au péril de sa vie. Il doit se battre car les puissants d’hier sont souvent encore très puissants aujourd’hui. De même, le Système a bien du mal à reconnaître les erreurs du passé. La compassion pour les victimes est rarement à l’ordre du jour ; il faut tomber sur un juge honnête prêt à donner un coup de pied dans la fourmilière.



Les romans de John Grisham ne se lisent pas vite, ils sont denses et passionnants. On n’est jamais lassés malgré les descriptions des procès, les passages au tribunal, les rencontres avocats / justiciables. Il a le secret d’accrocher le lecteur du début à la fin du livre qui devient rapidement un page-turner.



« Les oubliés » est pour moi l’un des meilleurs sinon LE meilleur des 31 Grisham que j’ai eu le plaisir de dévorer !



A consommer sans modération !

J'ai laissé S. King de côté pour un tout petit instant histoire de revenir à mon sujet de prédilection : le thriller et cette fois, mon choix s'est de nouveau porté sur un bon thriller juridique. Le titre résume toute l'histoire. Le lecteur est bien manipulé mais cela se laisse lire. J'en viens à presque plaindre ce pauvre Nathan dont le sort est franchement bien préparé par Malcolm. Ce livre est excellent. Il y a un petit truc qui me chiffonne : est-ce que Malcolm est si innocent que cela dans son affaire en voyant comment il parvient à mettre son plan en pratique avec un brio déconcertant.

J'ai été happée par le livre dès la première ligne. Cet auteur sait vraiment attraper le lecteur ! L'histoire s'enchaîne tellement bien, je suis scotchée devant le talent de certains auteurs, et John Grisham en fait clairement partie. Il a le talent de créer des rebondissements tout à fait inattendus, à la fois si simples mais où trouve-t-il cette inspiration ?? Bref, un très bon moment de lecture, une histoire d'avocat promis à un grand avenir professionnel et qu'une prise d'otage fait changer de voie par les prises de conscience qu'elle entraîne: la mort peut arriver à tout moment, comment vivre dans ce monde en ignorant ceux qui sont dans le besoin et en ne pensant qu'à gagner toujours plus d'argent, par des façons guère morales? J'ai aussi aimé les réflexions sur la vie qui parsèment le roman. Un livre qui se lit tout seul ^^

Un thriller efficace, d'abord un peu sociologique qui mêle très vite l'aventure et l'espionnage. C'est l'histoire d'un jeune presque diplômé en droit qui se fait recruter par un cabinet juridique fiscaliste discret avec des conditions qu'on ne peut refuser. Très vite bien sûr on se demande qui manipule qui ? La firme, le FBI ou le jeune avocat ?

Tom Cruise y était parfait dans la version ciné et on se demandait d'ailleurs a l'époque si ce n'était pas un clin d'oeil a l'église de scientologie.

Le roman a bien vieilli, mis à part quelques invraisemblances (que devient le chien ? Ils n'ont pas de plan b après l'évasion ? Les agents du FBI sont bien naïfs, la mafia n'a pas d'autres agents que ses avocats au col blanc pour les recherches ?

Mais dans l'ensemble ça se lit très très bien.

J'adore le basket. Et par hasard, en déambulant dans la bibliothèque, je tombe sur cette couverture qui forcément m'a tout de suite attiré. Le résumé m'a également mis l'eau à la bouche. Malgré le fait que je sois encombré de nombreux livres, je me dis que cette lecture pourra être plutôt sympathique et assez prenante pour m'assurer de bonnes vacances.

Bien m'en a pris puisque j'ai effectivement passé un agréable moment de lecture.

Dans les points forts, je dirais que l'aspect politique avec les révoltes, la guerre qui se déroulent au Soudan du Sud permet d'amener un contexte intéressant. On découvre donc Samuel, protagoniste principal de l'intrigue qui adore le basket et qui voit l'opportunité d'aller aux Etats-Unis pour peut-être embraser une carrière de basketteur. Le rêve pour un bon nombre de jeunes adultes. Encore plus pour lui qui vit dans la précarité et qui grâce à cette bourse aux Etats-Unis pourraient voir les soucis de guerre derrière lui et pourquoi pas faire venir sa famille et leur assurer un bel avenir.

Sans rentrer dans les détails, le parcours de Samuel est chaotique. On est pris dans le feu de l'action. On alterne les chapitres entre sa vie à lui et celle de sa famille qui vit l'enfer au Soudan du Sud.

On voit progressivement Samuel gagner en notoriété pendant que c'est de plus en plus dur pour sa famille. Le parallèle est terrible mais reste cependant une réalité globale. Une minorité de personne dans le monde vit de manière aisée pendant qu'une majorité essaye de survivre chaque jour qui passe.

Comme on le sait la plume de John Grisham est fluide, aucun souci avec ça. Le seul bémol et il me semble l'avoir lu dans d'autres critiques réside dans la traduction qui par moment est moyenne concernant les termes de basket-ball. Il est dommage car pour ma part j'aime beaucoup lire ce genre de résumé de matchs ou l'action est prenante et ça gâche un peu de voir des erreurs flagrantes au niveau des termes techniques. Je chipote un peu bien sûr mais je trouve ça dommage à ce niveau là...

Cela reste cependant un bon livre, plaisant à lire que l'on aime le basket ou pas.

Jubilatoire: les déboires d'étudiants en droit victimes de la politique gouvernementale des prêts aux écoles que les étudiants devront rembourser leur vie durant alors qu'ils n'ont pas le niveau pour obtenir leur diplôme; les victimes se transforment en faux avocats talenteux et arnaquent les banques;

Roman astucieux de John GRISHAM, édité en 2012, et qui manipule tout le monde y inclus le lecteur dont on suit avec intérêt les pérégrinations intellectuelles de Malcolm Bannister détenu modèle et qui à l’aune du meurtre du juge Fawcett, celui là même qui l’a condamné arbitrairement, voit une occasion de négocier sa sortie de prison avec les honneurs et beaucoup d’argent.

Un jeu de dupes s’installe avec les agents du FBI dont on se demande avec intérêt comment ce jeu va évoluer et qui va gagner ou perdre à la fin.

Malcolm étant lui-même avocat, il saura manipuler le FBI et négocier tout en évitant les pièges qui lui sont tendus.

Roman qui associe intrigue et humour ce qui le rend plaisant à lire.

Luther a fait les comptes: Noël coûte beaucoup trop cher, en argent et en stress. Cette année, sa fille unique ne sera pas là, partie pour un an au Pérou. Alors il a convaincu sa femme: ils ne fêteront pas Noël. Ni guirlandes, ni sapin, ni mondanités : ils partiront en croisière à la place. Mais c'est sans compter sur la ténacité des traditions sociales dans les banlieues de la classe moyenne américaine, et leurs voisins voient d'un très mauvais œil leur petite rébellion.

Trouvé dans une boîte à livres sans couverture par une copine qui pensait lire un roman policier comme cet auteur nous y a habitué, elle me l'a vite recommandé pour la surprise. Et effectivement, c'est un régal. Une chronique de Noël acerbe sur le poids des obligations sociales et sur les relations si hypocrites des voisins. La course aux décorations, à qui aura la maison la mieux illuminée, à qui recevra cette année, tout est soigneusement orchestré et vécu avec trahison lorsque l'un d'eux ose y déroger. Avec un twist final absolument savoureux qui sonne à la fois comme une happy end et comme un sourire jaune. Mordant et savoureux.