John Grisham

Premier tome dont je lis cet auteur. Et je commence par la série jack brigance. C'est bien mais sans plus. Je n'ai pas été conquise par cet auteur. Je vais essayer le deuxième tome pour me faire un avis concret. Déçue de la fin. On ne sait pas si le Klan va se venger, comment jack va reconstruire sa maison, s'il ne va pas être lui même encore attaquer par le Klan.

Un livre que certains classent dans la catégorie "thriller juridique".

Aucun suspense de situation : un type haïssable au possible se fait assassiner par un jeune aimable au possible.

Tous les deux blancs pour éviter de marcher sur les platebandes du racisme ou de l'antiracisme.

"Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur" n'est pas loin, sans le suspense qui rendait ce dernier roman mémorable.

L'enquête sur le passé des relations entre le coupable et la victime ne nous apprend rien que nous n'avions déjà entrevu dès le premier chapitre. Violence, viol, tout était déjà plié.

Alors le point de focalisation? La victime était un policier. Et tuer un policier, dans l"état du Mississippi, est puni de la peine de mort.

Tout le livre n'est que la narration de la manière dont le célèbre avocat Jake Brigance, personnage récurrent de l'auteur, qui ne souhaite pas trop s'occuper d'une affaire qui ne peut lui attirer que des ennuis financiers et moraux, va être contraint de défendre l'assassin.

Sous-jacent à ce procès, un plaidoyer de l'auteur contre l'avortement et la préférence qu'il donne à l'adoption dans le cas d'une grossesse non désirée.

Cela se lit bien, est parfois un peu ennuyeux dans les descriptions des rouages de la machine judiciaire étasunienne de ce sympathique état plein de racistes, de sexistes, de victimes désœuvrées que l'ensemble des descriptions décrivent finalement sous un jour assez favorable.

Ce sont tous, comme l'auteur sans doute, des chrétiens qui pratiquent avec ferveur leur religion, la paroisse étant un lieu de socialisation important dans laquelle les règles divines (donc pas l'avortement) s'appliquent avec rigueur.

Un livre finalement, discrètement mais sûrement, engagé.

Le cyclone Léo est passé sur Camino,

Il laisse 11 morts dont l'écrivain Nelson Kerr. Ce dernier retrouvé mort à l'extérieur ne semble pas avoir été tué par le cyclone mais assassiné. Des traces de sang sont découvertes dans la maison.

La police enquête mais, bien vite, faute de piste, la recherche est mise en veille.

Kerr avait pour ami, notamment, Bruce Cable, propriétaire de la seule librairie de l'ile. Ce dernier contactera la famille et deviendra l'exécuteur testamentaire de Kerr.



Pour ceux qui ont lu l'essai de V. Castanet, Les fossoyeurs, John Grisham, reprend avec ce livre le thème des maisons de retraite et autres EHPAD. L'histoire développée par J. Grisham se rapproche beaucoup du livre précèdent, notamment ces mouroirs qui ne servent qu'à enrichir, honteusement, les sociétés et les propriétaires de ces dernières.

Cette fois-ci, l'auteur ne nous entraîne pas dans un tribunal ni dans un polar juridique, mais dans la lutte contre ce mal nauséabond.

La lecture est facile, l'écriture habituelle de Grisham, claire, aérée, nette et précise. Cela se lit bien sans ennui ni difficulté d'autant que le milieu de l'écriture et des écrivains ainsi que de ces lanceurs d'alertes est toujours intéressant.

J'ai passé un bon moment à la lecture de cet ouvrage.
Lien : https://www.babelio.com/livr..

Mon premier livre de John GRISHAM.

Je reste sur ma faim. Je n’ai pas vraiment accroché. Le livre traite de négociations pour libérer une otage.

C’est bien écrit, mais ça manque totalement d’action.

Le déroulement de l’intrigue n’en finit pas.

J’espérais autre chose.

Qui sont les oubliés ?

Ceux sont des prisonniers qui seraient innocents

On est aux États-Unis et on suit Post un avocat désabusé qui fait parti de la fondation les Anges Gardiens qui veut rendre la justice

Le livre est centré sur un condamné Quincy

Est-il vraiment innocent ? Si oui comment le prouver ?

C'est un thriller juridique captivant mais j'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs

Mitch, le héros de « La Firme », est un jeune avocat recruté par le FBI pour aider à démanteler le cabinet Bendini, impliqué dans des activités de blanchiment d’argent, risquant ainsi sa vie. Ce roman se situe plusieurs années après. Mitch a réussi à relancer sa carrière dans un cabinet prestigieux où il est devenu associé. Un litige de paiements d’honoraires avec la Libye concernant la construction d’un pont implique son nouveau cabinet. Mitch est chargé d’épauler le représentant de la succursale italienne, dont la fille est également impliquée.



Lors d’une visite sur le site du pont, ses accompagnants sont brutalement assassinés et la fille du représentant est prise en otage. La rançon exorbitante demandée entraîne des négociations dans lesquelles la femme de Mitch se retrouve involontairement impliquée avec son mari. John Grisham délaisse ici le prétoire, où il excelle habituellement, pour nous plonger dans l’univers des prises d’otages et des exactions des factions rebelles en Libye. Bien que ce roman ne soit pas aussi captivant que ses précédents ouvrages centrés sur les procès et les plaidoiries, il parvient à maintenir un certain suspense qui tient le lecteur en haleine.

Un polar d’excellente facture mais peut-on parler de polar quand on se trouve suivre l’avocat de La Défense ?



En tout cas, une histoire prenante, une peinture au vitriol du Sud des États Unis, du système judiciaire bien particulier, les meandres de l’argumentation.



Ce fut un vrai plaisir

La Chance d'une vie de John Grisham ( L de P - 480 Pages )



Je ne suis jamais déçue par un roman de John Grisham.



Du basket je n'y connaissais rien mais en refermant ce bouquin j'ai l'impression d'avoir vécu des dizaines de matchs. J'avais presque envie de crier Sooley avec les supporters.



Sooley, jeune soudanais du sud est recruté et envoyé aux Etats Unis pour jouer au basket.



Le Soudan est déchiré par des tueries atroces. Des villages sont incendiés, hommes, jeunes garçons, enfants tués, femmes violées et tuées.



Sooley apprend que son père a été tué et sa soeur enlevée.



Son but devenir un des meilleurs pour faire venir sa mère et ses frères aux Etats Unis.



Mais y arrivera t il ?



J'ai découvert le monde des entraîneurs, des coachs.



Avec la célébrité il faut garder les pieds sur terre car une foule de faux amis déferlent.



John Grisham par certains passages signalent les dangers.



Sooley a la chance d'avoir un ami, Murray et ses parents.



Partez avec John Grisham vivre cette histoire. Vous n'allez pas vous ennuyer une minute et il vous sera difficile de poser son livre avant la fin.



Mireine

Cela faisait longtemps que j'avais envie de lire un roman de John Grisham considéré par beaucoup comme le maître du thriller judiciaire puisque la plupart de ses romans se déroulent dans les enceintes des tribunaux. Et celui-ci particulièrement m'avait tapé dans l'oeil. J'aimais en effet beaucoup le synopsis de départ, soit une femme qui traque depuis plus de 20 ans l'assassin de son père, et qui se décide à en parler aux autorités compétentes pour que justice soit rendue. Sauf que le suspect en question est un juge haut placé, et un brin taré, ce qui fait qu'elle craint aussi de voir son propre nom inscrit sur la liste de ce meurtrier.

Et? Et bien ce ne fut pas une réussite absolue.



Roman plutôt court, je pensais le lire en une journée, persuadée que je serais totalement immergée dans l'histoire. Il n'en fut rien, je l'ai quand même traîné sur pas mal de soirs, et je dois bien avouer que je n'y revenais pas non plus avec un grand enthousiasme. La faute à une écriture (ou une traduction) que je trouvais brouillon, une intrigue un brin emberlificotée, des personnages auxquels je ne me suis pas attaché, les trouvant même pour certains plutôt antipathiques (et je ne parle pas du tueur ici). J'ai trouvé aussi le roman assez daté, vieillot, alors qu'il s'agit, il me semble, du dernier de l'auteur.



Ce ne fut quand même pas un pensum, soyons honnête, mais je m'attendais à mieux, nettement mieux.



En bref, une lecture mitigée, une déception même. Il est possible que je laisse une deuxième chance à l'auteur, à voir...

Wouah, du grand Grisham comme je les aime.

Un roman qui nous emmène tambour battant dans une lutte juridique où le mal ne semble pas si mauvais que ça. On s'interroge tout du long ce que nous aussi en tant que jurés nous pourrions remettre comme jugement. Coupable ou non?

Je retrouve ici un roman proche des premiers romans que j'ai lu de Grisham.

Bref, j'ai adoré....

J'ai découvert John Grisham avec 'La firme', une des premiers 'legal thrillers' des années 80. 



J'ai beaucoup apprécié ses romans suivants, puis je me suis lassée. 



Depuis quelques années, je l'ai redécouvert au travers de ses romans 'historiques' qui replongent dans la vie quotidienne de petites villes du sud des Etats Unis, dans les années 50 et 60 au moment où la déségrégation cassait les habitudes. 



Mais, j'ai eu la surprise de retrouver Mitch et Abby McDeere, les protagonistes de LA firme dans ce nouvel opus, dont l'action se déroule en 2005. 



On retrouve Mitch avocat new yorkais, aux horaires improbables (9h _ 18h) , qui accompagne ses jumeaux à l'école chaque martin et, de fait, refuse toute réunion avant 9h (je doute de la vraisemblance, mais bon) 



Le responsable du bureau italien, grand avocat italien doit défendre les intérêts  un client turc, qui n'arrive pas à se faire payer les dernières factures d'un projet pharaonique qu'il a construit en Lybie.  L'italien gravement malade demande à Mitch de le remplacer pour un voyage en Lybie, et, tat qu'à faire de partir avec sa fille, jeune avocate du bureau de Londres. 



Et ce qui devait arriver arriva. 



Giovanna se fait enlever par un groupe terroriste, Mitch remue ciel et terre : les gouvernements américain, anglais et italien, le client turc, les associés réticents de sa firme ... pour réunir la rançon, tout en parcourant le globe en jet privé, en planquant ses enfants dans une île du Maine où ils sont nourris (quasi exclusivement) de homard. 



Un roman que j'ai terminé ... parce que je voulais connaitre le sort de Giovanna ... 



Mais, des longueurs à tous les étages, des invraisemblances dans tous les recoins du roman, des retours sur les mésaventures post dénonciation de ses premiers employeurs m'ont fait craindre leur réapparition dans cet opus très décevant ! 



Bref, c'est certainement le roman de trop de l'auteur qui ferait mieux de profiter d'une retraite dorée ! 



Je remercie NetGalley et les Editions Jean Claude LAttès qui m'ont offert cet ouvrage 



#Leréseau #NetGalleyFrance
Lien : http://les-lectures-de-bill-..

Excellent Grisham



Une écriture très tonique qui tient le lecteur en haleine. Mais là n’est pas le plus important.

Bien que cela soit une fiction, « Le résultat n’est pas très loin de la réalité. ».



En effet ce livre pose beaucoup de question sur le fonctionnement des USA.



La justice est elle libre et indépendante?

L’argent ne permet il pas tout?

L’humain a-t-il encore une place face au pouvoir de l’argent?

Les résultats d’élection sont ils honnêtes ou manipulés par ceux qui en ont les moyens?

Y-a-t-il encore une place pour l’éthique, pour l’honnêteté, pour la justice ?

Les USA sont ils si éloignés de notre société?



Ce livre écrit en 2007 fait incroyablement écho avec l’actualité pour qui veut voir plus loin que le simple récit.

J'ai lu de nombreux livres de John Grisham et je suis tombé sur celui-ci qui semble être l'un des premiers écrits. L'histoire est bien bâtie, l'intrigue bien menée même si le lecteur perçoit progressivement l'issue. Les personnages sont attachants. J'ai bien aimé la personnalité du juge Atlee.

Encore une fois conquis par cet auteur. Plongez dans le monde des avocats d'un centre législatif public au cœur des Appalaches. Entre problèmes de couples, arnaque à grande échelle et peine de coeur, John grishman signe ue nouvelle super histoire !

Bonne lecture !

vraiment ennuyeux. Rien à voir avec le Grisham que l'on aime. Aucun plot, aucun rebondissement, aucune action, aucune enquête.

Pour remplir des pages, Grisham nous indique ce que mange les enfants de Mitch. Le livre se résume à la quête de Mitch pour trouver des supports. Vraiment nul.

Je possède plusieurs ouvrages assez anciens de John Grisham dans ma PAL. J'en sors un lorsque je suis en panne de lectures "fraîches" et généralement je ne suis pas déçue. Cette fois-ci, hélas, "L'héritage" ne restera pas parmi mes meilleurs souvenirs.



Spécialiste du thriller juridique américain, l'auteur entraîne une fois de plus le lecteur dans un univers qu'il maîtrise d'ordinaire à la perfection. La succession du juge Atlee ne va pas se passer sans heurts. Pourquoi cet homme droit et altruiste dissimulait-il trois millions de dollars en liquide dans sa vieille maison ? C'est ce que découvre Ray un de ses fils, professeur de droit, en arrivant sur les lieux. Doit-il avertir le fisc, doit-il partager avec son frère Forrest, bon à rien et drogué notoire ? Avant de prendre sa décision, Ray va tenter d'enquêter sur le passé de son père. A moins qu'un troisième intéressé par le magot ne s'invite à la danse et change le rêve en cauchemar ? Autour de feu le juge Atlee, dont l'intégrité ne semble faire aucun doute, gravitent des personnages bien cupides ; voilà une intrigue construite autour de l'attrait de l'argent qui manque cruellement de rythme à mon goût. Entre les voyages de Ray de son domicile à celui de son père et ses tentatives pour dissimuler l'argent, l'ennui m'a gagné. Forrest n'est pas un personnage qui attire la sympathie, de ce fait, j'ai eu du mal à croire au revirement final.

Un 10/20 pour clore cette lecture où le suspense n'était pas vraiment à la hauteur.

On ne présente plus John Grisham. Depuis plusieurs dizaines d’années, il est devenu le spécialiste des polars juridiques. Grâce à lui et à ses procès détaillés, les portes des cabinets d’avocats et des tribunaux nous sont grandes ouvertes. On assiste aux rouages de la justice que ce soit du côté de Goliath ou plus souvent du côté de David. Alors quand a été annoncé l’arrivée de la suite de « La firme », son bestseller, je n’ai pas caché mon enthousiasme.



Le lecteur reprend contact avec Abby et Mitch McDeere qui, quelques années après leurs aventures mouvementées, ont réussi à retrouver une vie sereine. Mais un acte terroriste va replonger le couple dans la tourmente. Un contre-la-montre est alors lancé pour trouver une sortie heureuse.



Je suis d’ordinaire assez fan des livres de l’auteur américain. Ce sont des thrillers sobres et efficaces, qui manient avec dextérité les subtilités du système judiciaire. Je prends un certain plaisir à combattre les illégalités à ses côtés et à voir la justice triompher de la loi du plus fort.



Malheureusement, dans « Le réseau », je n’ai rien retrouvé des éléments qui font sa force. Cette histoire d’enlèvement est plutôt banale et monotone. Les scènes sont plates, répétitives au point que j’ai eu l’impression de tourner en rond dans ma lecture. La recherche de fonds pour la rançon est le seul fil conducteur. Aucune péripétie, aucun retournement de situation, aucune surprise ne vient animer le scénario. J’ai donc laissé dérouler sous mes yeux les voyages et les dialogues des protagonistes, sans jamais être emporté par les péripéties.



Cette chronique emplie de déception ne reste que mon humble avis. Je vous laisse le choix de vous faire votre propre opinion. Je n’en tiendrai bien sûr pas rigueur à l’écrivain qui m’avait jusque-là toujours enchanté !
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Retrouvailles avec Mitch et son épouse Abby, découverts dans La Firme. Leur couplé va encore se trouver dans une situation complexe et stressante suite au travail de Mitch mais, cette fois, Abby jouera un rôle de 1er plan. Très bon livre. Bien écrit

Mon premier livre de John Grisham. 768 pages d’un polar judiciaire, et pas un moment d’ennui. Une écriture fluide, intelligente, qui dépeint une Amérique dans ce qu’elle a de très sombre : son rapport à la peine de mort, dans les états qui la pratiquent encore. On se rend compte que cette machine judiciaire implacable n’a rien d’une vraie justice. Être passible de la peine de mort c’est déjà être condamné avant toute forme de procès, aux yeux d’une population très intolérante et sectaire.



Le coupable, Drew un ado de 16 ans, va en faire les frais, ainsi que Jake l’avocat commis d’office, car bien sûr aucun avocat ne veut la publicité d’un procès où la peine de mort est en jeu.



La victime, un policier, une brute violente, alcoolique, raciste et corrompue, qui laisse sa femme pour morte devant ses enfants, se retrouve érigé au panthéon des hommes remarquables, un bon gars du sud, pour justifier la peine de mort.



Le shérif qui est élu par ses administrés et qui ne veut surtout pas faire de vagues et protège la réputation de la victime, car oui le shérif est noir et dans le sud, tout peut si vite basculer.



Le procès n’est qu’une mascarade, un théâtre, où les jurés sont choisis par les avocats selon des critères de races, de genres ou sociaux qui les arrangent.



Franchement ce livre se lit d’une traite sans un seul moment d’ennui. Mais il y a quand même un bémol : la fin que j’ai trouvée un peu bâclée et qui m'a laissée sur ma faim (!) et surtout le deuxième procès parallèle que l'on suit aussi et dont nous ne connaissons pas le dénouement.

Je pense avoir lu tous les livres de JG mais je n'aurais jamais dû ouvrir celui-là



banal, sans fin, des RV pour des rançons à droite et à gauche etc etc.

Du mauvais roman de gare et qui coute cher. Faut bien payer la rançon..

En résumé, l'otage c'est le lecteur.

Pour ceux qui connaissent le jet lag, prenez soin de faire les calculs d'avions pris par notre héros, d'ouest en est et d'est en ouest.; toute cette histoire est invraisemblable et ne tient pas.

Puissiez vous faire remonter les critiques aux personnes chargées de diffuser ce navet en France.