Joaquín Arias a été éditeur d'ouvrages d'histoire, de philologie et de sciences, et travaille actuellement comme écrivain, rédacteur et dramaturge.
Il écrit sur l'histoire, l'art, les voyages, le divertissement, les questions sociales et culturelles et collabore régulièrement avec des éditeurs d'essais, tels que Crítica et Península.
Il a publié plusieurs romans sur la mythologie classique comme « La Folie d'Oreste », « La Malédiction d'Œdipe » ou « La Fondation de Thèbes » (Gredos-RBA), et le livre illustré pour enfants « Atlas d'Espagne » (Lonely Planet), en plus de mettre en scène diverses pièces de théâtre telles que « La vida en blues ».
Il vit à Barcelone.
Il suffit d'un seul coup d'oeil pour découvrir le danger qui planait sur Midgard et de véritabes montagnes de glace flottaient sur la mer. Les températures ne cessaient de baisser, le froid était de plus en plus glacial. Tôt ou tard, une couche de glace finirait par vaincre la furie des eaux et recouvrir l'océan. Le moment viendrait où il serait possible d'effectuer à pied la traverrsée entre Jotunheim et Midgard.
Sa nature divine l'aviat doté d'une vue perçante qui lui permettait de voir distinctement au loin et dans l'obscurité. Hélas, la nuit sans fin qui s'était abattue sur le monde était si sombre et le paysage si brouilé par les tempêtes et la brume qu'il lui était désormais impossible de distinguer quoi que ce soit. Il n'y voyait guère mieux qu'un simple être humain.
Un jour, ils assitèrent à l'émergence de personnages remarquales, des héros qui ne craignaient pas d'affronter des ennemis plus redoutables que les habitants de Midgard. Plusieurs héros humains, notamment Beowulf ou encore Siegfried, celui qui ne connaissait pas la peur, affrontèrent et vainquirent des créatures venues d'autres mondes.