Critiques de Jean-Charles Kraehn (385)
Gil sort du comas et, sans nouvelle de Djida, part pour l'Algérie. Deuxième épisode du cycle, cet album suit essentiellement Gil St-André. Si l'action passe un second plan, la tension est omniprésente. Dessins et scénario au top pour une série de grande qualité.
Avant-dernier tome de ce deuxième cycle qui en compte trois.
En délaissant quelque peu l’intrigue liée au passé de Viviane afin de se concentrer sur l’enlèvement de la sœur de Djida, Kraehn et Vallée changent le décor de la série et emmènent Gil en Algérie. Un voyage qui permet d’en apprendre encore un peu plus sur le passé et sur les origines de Djida.
Tout en continuant d’aborder le thème du fanatisme et celui des mariages forcés, l’auteur propose un récit prenant et des personnages parfaitement développés.
Très bon !
En délaissant quelque peu l’intrigue liée au passé de Viviane afin de se concentrer sur l’enlèvement de la sœur de Djida, Kraehn et Vallée changent le décor de la série et emmènent Gil en Algérie. Un voyage qui permet d’en apprendre encore un peu plus sur le passé et sur les origines de Djida.
Tout en continuant d’aborder le thème du fanatisme et celui des mariages forcés, l’auteur propose un récit prenant et des personnages parfaitement développés.
Très bon !
Gil se réveille à l'hôpital. Il a loupé le rendez-vous avec les deux soeurs. Il ne sait pas ce qu'elles sont devenues. Il finira par sortir sans le consentement des médecins, et par prendre l'avion. En Algérie, il se fait mener au village où le mariage aura lieu.
Il découvre que Drissia va bientôt se marier avec un religieux local, et que Djida est prisonnière dans la montagne. Avec le neveu d'un homme d'affaires algérien, il se fait passer pour un photographe mais ne trompe pas vraiment son monde.
Un tome assez punch, riche en suspense, mais (nous sommes en 2004-2005) on est parfois pas trop loin du cliché dans le rendu de l'islam et des dérives intégristes.
Dessin tout juste correct. Scénario en roue libre parfois.
Il découvre que Drissia va bientôt se marier avec un religieux local, et que Djida est prisonnière dans la montagne. Avec le neveu d'un homme d'affaires algérien, il se fait passer pour un photographe mais ne trompe pas vraiment son monde.
Un tome assez punch, riche en suspense, mais (nous sommes en 2004-2005) on est parfois pas trop loin du cliché dans le rendu de l'islam et des dérives intégristes.
Dessin tout juste correct. Scénario en roue libre parfois.
Deuxième tome du triptyque où deux affaires se croisent.
Gil s'attaque d'abord au problème de Djida, seule en Algérie, aux mains d'intégristes....
Des rebondissements, de l'action, et du suspense au programme...un très bon tome !
Gil s'attaque d'abord au problème de Djida, seule en Algérie, aux mains d'intégristes....
Des rebondissements, de l'action, et du suspense au programme...un très bon tome !
Suite et fin du deuxième cycle de "Gil Saint André".
Ne disposant que d’un seul tome pour conclure leur double intrigue, Kraehn et Vallée donnent par moment l’impression de conclure certains passages de manière précipitée. Mais, malgré un cahier de charges un peu trop garni pour ce dernier volet, les auteurs parviennent tout de même à livrer une histoire rondement menée et très prenante. Peut-être qu’un tome supplémentaire aurait été nécessaire car se jouer d’un réseau terroriste en Algérie tout en démantelant un réseau de prostitution en Belgique, est peut-être en demander un peu trop à cet ancien père de famille. Surtout qu’au passage il doit également gérer ses problèmes familiaux et relationnels.
Bref, un dernier tome un peu trop chargé mais une série qui au final propose déjà deux excellents cycles.
Ne disposant que d’un seul tome pour conclure leur double intrigue, Kraehn et Vallée donnent par moment l’impression de conclure certains passages de manière précipitée. Mais, malgré un cahier de charges un peu trop garni pour ce dernier volet, les auteurs parviennent tout de même à livrer une histoire rondement menée et très prenante. Peut-être qu’un tome supplémentaire aurait été nécessaire car se jouer d’un réseau terroriste en Algérie tout en démantelant un réseau de prostitution en Belgique, est peut-être en demander un peu trop à cet ancien père de famille. Surtout qu’au passage il doit également gérer ses problèmes familiaux et relationnels.
Bref, un dernier tome un peu trop chargé mais une série qui au final propose déjà deux excellents cycles.
Fin du deuxième cycle. L'histoire commence en Algérie et se termine en Belgique. Pas de temps mort dans ce volume avec de nombreux rebondissements. Les dessins sont attractifs et le scénario bien huilé. Une série à suivre !
Une très belle chute à cette histoire pleine d'aventures.
Avec un rebondissement assez inattendu....
A lire ....
Avec un rebondissement assez inattendu....
A lire ....
Alors qu'ils pensent avoir partie gagnée, Gil et son compagnon se font reprnedre ainsi que les deux soeurs. Mais le père de Kader, Drissia et Djida ne s'en laisse pas conter et Kader paie de sa vie son attachement paternel. Par un coup de chance, ensuite, tous les 4 sont tirés des griffes des intégristes. Ce côté "coïncidence" me pose toujours quelques problèmes, mais la série ne brille pas par son réalisme, donc cela passe quand même.
Retour en France, puis en Belgique, car les nouvelles qui attendent Gil de retour chez lui sont catastrophiques. Les deux soeurs ont échangé leurs rôles, et c'est des mains des proxénètes belges qu'il devra extirper Sylvia.
Le scénario ménage bien l'attachement de Djida à Gil, et vice versa. C'est un bon rouage de l'histoire.
Il y a de nombreuses idées, c'est mené tambour battant. C'est glauque, au premier degré, mais le dessin ne rend pas tout cela quand même. Une bonne trilogie d'aventure.
Retour en France, puis en Belgique, car les nouvelles qui attendent Gil de retour chez lui sont catastrophiques. Les deux soeurs ont échangé leurs rôles, et c'est des mains des proxénètes belges qu'il devra extirper Sylvia.
Le scénario ménage bien l'attachement de Djida à Gil, et vice versa. C'est un bon rouage de l'histoire.
Il y a de nombreuses idées, c'est mené tambour battant. C'est glauque, au premier degré, mais le dessin ne rend pas tout cela quand même. Une bonne trilogie d'aventure.
3e cycle du tome 9 au tome 11 - le 10 vient de paraître.
On oublie Sylvia, Viviane, Djida et les autres. Nous voilà entrés dans un nouveau cycle, celui de Diane, héritière de la richissime famille Gauthier de Rochard-Haumont,, miraculeusement épargnée lors de l'explosion du yatch dont ses parents et plusieurs membres de la famille sont les victimes.
Elle est recueilli par Gil St André qui croise dans les parages à bord du voilier de son ami Didier.
Commence une aventure mêlant complot politico-financier. et mystère et manigance iéconomico-industriel.
C'est gros, ficelé de fil blanc. le héros s'en sort et s'en sortira sans doute contre les méchants mais c'est agréable.
On oublie Sylvia, Viviane, Djida et les autres. Nous voilà entrés dans un nouveau cycle, celui de Diane, héritière de la richissime famille Gauthier de Rochard-Haumont,, miraculeusement épargnée lors de l'explosion du yatch dont ses parents et plusieurs membres de la famille sont les victimes.
Elle est recueilli par Gil St André qui croise dans les parages à bord du voilier de son ami Didier.
Commence une aventure mêlant complot politico-financier. et mystère et manigance iéconomico-industriel.
C'est gros, ficelé de fil blanc. le héros s'en sort et s'en sortira sans doute contre les méchants mais c'est agréable.
Ce tome est le début d'un nouveau cycle.
A l'image du précédent cycle, c'est excellent : rythme, suspense, sentiments sont au rendez vous.
Le tout ponctué par un très beau dessin.
A l'image du précédent cycle, c'est excellent : rythme, suspense, sentiments sont au rendez vous.
Le tout ponctué par un très beau dessin.
Gil St-André se la coule douce sur un bateau en méditerranée. Vient à passer un yacht de luxe, qui explose, mais il y a une survivante. Gil pense tout de suite à un attentat... dingue !
Les événements s'enchaînent avec des mercenaires lourdement armés. Gil et son associé (accompagné de sa famille) découvrent qu'ils ont sauvé une "people", héritière d'un grand groupe français actif dans le luxe. Si Kraehn appelle le groupe GRH, on ne peut que penser à LVMH.
La belle tombe sous le charme de Gil et le couvre de cadeaux, dont il ne veut pas. A moins qu'elle ne soit à l'origine de l'explosion du yacht, et qu'elle ait comploté la mort de ses propres parents et de son frère... comme la police pense le croire. A moins que ce ne soit son cousin et sa cousine qui la haïssent et entretiennent une étrange relation incestueuse...
A moins que, à moins que... Kraehn brasse bien les cartes dans ce premier tome du troisième cycle des aventures de Gil St-André. Il y met même de la république africaine en voie de démocratisation... c'est dire si on accumule les cartouches...
Mais, mais, mais... il y a tant de "mais" que le printemps arrive et que je ne sais par où commencer... Gil change de nouveau de personnalité. On le découvre très "Largo Winch", propulsé PDG du groupe GRH. OK, la crédibilité n'est pas le point fort des scénarios de Kraehn, mais impossible également de prendre le tout au second degré (comme le fait Van Hamme dans Largo Winch). Kraehn emprunte aussi à Van Hamme les robes fendues sur des porte-jarretelles.
Si le dessin est OK au départ (Kraehn est à la manoeuvre, exit Vallée), j'ai eu l'impression qu'il se délitait un peu au fur et à mesure. La mise en couleur n'est pas top.
Ce sont chaque fois des détails, uniquement des détails. Rien de redhibitoire. Mais suffisamment pour gâcher une partie du plaisir de la lecture. Les idées sont bonnes à défaut d'être originales. Mais c'est dans la mise en oeuvre de ces idées que cela coince un peu. On n'a pas le dynamisme et la fougue de van Hamme. Les moments d'intense activité sont assez rapidement stoppés, des cassures surviennent dans le rythme qui ralentissent l'action et tempèrent le plaisir. Dommage.
Les événements s'enchaînent avec des mercenaires lourdement armés. Gil et son associé (accompagné de sa famille) découvrent qu'ils ont sauvé une "people", héritière d'un grand groupe français actif dans le luxe. Si Kraehn appelle le groupe GRH, on ne peut que penser à LVMH.
La belle tombe sous le charme de Gil et le couvre de cadeaux, dont il ne veut pas. A moins qu'elle ne soit à l'origine de l'explosion du yacht, et qu'elle ait comploté la mort de ses propres parents et de son frère... comme la police pense le croire. A moins que ce ne soit son cousin et sa cousine qui la haïssent et entretiennent une étrange relation incestueuse...
A moins que, à moins que... Kraehn brasse bien les cartes dans ce premier tome du troisième cycle des aventures de Gil St-André. Il y met même de la république africaine en voie de démocratisation... c'est dire si on accumule les cartouches...
Mais, mais, mais... il y a tant de "mais" que le printemps arrive et que je ne sais par où commencer... Gil change de nouveau de personnalité. On le découvre très "Largo Winch", propulsé PDG du groupe GRH. OK, la crédibilité n'est pas le point fort des scénarios de Kraehn, mais impossible également de prendre le tout au second degré (comme le fait Van Hamme dans Largo Winch). Kraehn emprunte aussi à Van Hamme les robes fendues sur des porte-jarretelles.
Si le dessin est OK au départ (Kraehn est à la manoeuvre, exit Vallée), j'ai eu l'impression qu'il se délitait un peu au fur et à mesure. La mise en couleur n'est pas top.
Ce sont chaque fois des détails, uniquement des détails. Rien de redhibitoire. Mais suffisamment pour gâcher une partie du plaisir de la lecture. Les idées sont bonnes à défaut d'être originales. Mais c'est dans la mise en oeuvre de ces idées que cela coince un peu. On n'a pas le dynamisme et la fougue de van Hamme. Les moments d'intense activité sont assez rapidement stoppés, des cassures surviennent dans le rythme qui ralentissent l'action et tempèrent le plaisir. Dommage.
Nouveau cycle et changement d'ambiance. Jean-Charles Kraehn reprend la main et s'occupe du dessin en plus du scénario. Gil St-André a tourné la page Djida et de nouveaux personnages entrent dans la danse. L'intrigue se déroule dans le monde de la finance et Gil se prend pour Largo Winch. Cet album reste plaisant même s'il est un ton en dessous par rapport aux premiers volumes de la série.
3e cycle du tome 9 au tome 11 - Le 10 vient de paraître.
On oublie Sylvia, Viviane, Djida et les autres. Nous voilà entrés dans un nouveau cycle, celui de Diane, héritière de la richissime famille Gauthier de Rochard-Haumont,, miraculeusement épargnée lors de l'explosion du yatch dont ses parents et plusieurs membres de la famille sont les victimes.
Elle est recueilli par Gil St André qui croise dans les parages à bord du voilier de son ami Didier.
Commence une aventure mêlant complot politico-financier. et mystère et manigance iéconomico-industriel.
C'est gros, ficelé de fil blanc. Le héros s'en sort et s'en sortira sans doute contre les méchants mais c'est agréable.
On oublie Sylvia, Viviane, Djida et les autres. Nous voilà entrés dans un nouveau cycle, celui de Diane, héritière de la richissime famille Gauthier de Rochard-Haumont,, miraculeusement épargnée lors de l'explosion du yatch dont ses parents et plusieurs membres de la famille sont les victimes.
Elle est recueilli par Gil St André qui croise dans les parages à bord du voilier de son ami Didier.
Commence une aventure mêlant complot politico-financier. et mystère et manigance iéconomico-industriel.
C'est gros, ficelé de fil blanc. Le héros s'en sort et s'en sortira sans doute contre les méchants mais c'est agréable.
Gil prend le winch au largo
Bon alors, plus moyen de se la couler douce, maintenant ?
Pauvre Gil Saint-André...Non seulement au cours des 2 cycles écoulés, on lui a enlevé sa femme dans des conditions aussi sordides que dramatiques, on l'a baladé de Belgique en Algérie, on lui a enlevé un petit bout de membre...Voilà qu'on lui gâche ses premières vacances au soleil.
Alors qu'il panse ses blessures et paresse sur le bateau de son associé et de sa plantureuse femme, il croise sur sa route maritime un superbe yacht d'où s'envole en un impeccable saut de l'ange, une charmante naïade. Les yeux de St-André sont à peine remis, que ce sont ses oreilles qui sifflent.
Le magnifique yacht explose et tout part en fumée.
Enfin, tout...Pas la naïade qui se révèle être une héritière fortunée: Diane de Rochard-Haumont.
Complot ?...Gil est là et pas question de mettre les bouts !
J'avoue un faible particulier pour 2 séries de la collection Bulle Noire : Franck Lincoln et Gil St-André. Ce dernier est un héros assez atypique, industriel à l'esprit un peu anar et politiquement incorrect.
Le dessin de Kraehn (revenu aux commandes après l'intérim très correct de Vallée) est sans génie particulier, mais sans tare non plus. La période de vacances l'a même bonifié. Le scénario sait suffisamment se renouveller pour rester agréable. La fin est un peu abrupte.
Une série qui continue donc sur une bonne lancée.
La suite sera plus chaotique.
Bon alors, plus moyen de se la couler douce, maintenant ?
Pauvre Gil Saint-André...Non seulement au cours des 2 cycles écoulés, on lui a enlevé sa femme dans des conditions aussi sordides que dramatiques, on l'a baladé de Belgique en Algérie, on lui a enlevé un petit bout de membre...Voilà qu'on lui gâche ses premières vacances au soleil.
Alors qu'il panse ses blessures et paresse sur le bateau de son associé et de sa plantureuse femme, il croise sur sa route maritime un superbe yacht d'où s'envole en un impeccable saut de l'ange, une charmante naïade. Les yeux de St-André sont à peine remis, que ce sont ses oreilles qui sifflent.
Le magnifique yacht explose et tout part en fumée.
Enfin, tout...Pas la naïade qui se révèle être une héritière fortunée: Diane de Rochard-Haumont.
Complot ?...Gil est là et pas question de mettre les bouts !
J'avoue un faible particulier pour 2 séries de la collection Bulle Noire : Franck Lincoln et Gil St-André. Ce dernier est un héros assez atypique, industriel à l'esprit un peu anar et politiquement incorrect.
Le dessin de Kraehn (revenu aux commandes après l'intérim très correct de Vallée) est sans génie particulier, mais sans tare non plus. La période de vacances l'a même bonifié. Le scénario sait suffisamment se renouveller pour rester agréable. La fin est un peu abrupte.
Une série qui continue donc sur une bonne lancée.
La suite sera plus chaotique.
Quoi qu’il en soit, ce premier volet complet et plein de promesses de « L’Aviateur » annonce une suite qui devrait séduire les amateurs d’aventure, d’exotisme et d’aviation.
Lien : http://bdzoom.com/100686/bd-..
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Avec "L’Aviateur", Jean-Charles Kraehn nous propose de découvrir la vie d’un personnage secondaire mais attachant de la série "Tramp", à travers un récit initiatique et qui renoue avec la grande aventure.
Lien : http://www.actuabd.com/L-Avi..
Lien : http://www.actuabd.com/L-Avi..
Une agréable surprise, une belle lecture que je vous recommande sans hésiter un instant !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Une excellente bande dessinée. J'ai eu la chance de rencontrer l'un des auteurs qui m'a dédicacée ce tome.
Plus il y a de titre de bd, plus il est difficile de concocter un récit vraiment original. L’aviateur n’a rien de vraiment innovant mais il possède d’autres qualités qui sont indéniables.
On va commencer par le dessin qui est réellement envoutant avec pour cadre l’Afrique de la Savane. J’avoue avoir été subjugué autant par les animaux (par exemple le lion réaliste de beauté), par les personnages fort bien dessinés et surtout reconnaissables (ce qui est aujourd’hui une qualité) et par le décor.
Il y a comme un parfum du film oscarisé Out of Africa que j’avais adoré durant ma folle jeunesse. Bien sûr, on pourra reprocher de nombreux raccourcis scénaristique qui font sourire comme le fait que notre héros tombe très vite amoureux de sa belle ou qu’un homme n’hésite pas à tuer suite aux bons conseils d’un pasteur.
Dans le même genre, je n’avais pas aimé L'Aviatrice que j'avais d'ailleurs posté ici même. Quelques mois plus tard sort l’aviateur. Vous remarquerez là encore le manque d’originalité des titres. On fait comme si les autres œuvres n’existaient pas ce qui traduit une méconnaissance totale de ces professionnelles travaillant dans les maisons d’édition. Mais bon, passons !
L’aviateur est une bonne série qui démarre et qui a la particularité de se baser sur un personnage secondaire de la série Tramp qui apparait seulement dans les derniers titres. Il serait la caricature d’un certain Tanguy et Laverdure. C’est franchement dommage de ne pas l’avoir totalement crée sans forcément le rattacher à une autre série peu connue du grand public. Je pense que cela aurait donné encore plus d’épaisseur au personnage. Mais là encore, ce sont des erreurs de débutant.
En conclusion et malgré toute ma critique incisive, j’ai aimé et j’accorde allègrement le 4 étoiles pour une œuvre certes classique mais bien réalisée. On notera également que le divertissement est assuré avec un fond historique assez intéressant car méconnu. C’est sans doute le contexte des colonies allemandes africaines qui constitue la véritable originalité de ce récit.
On va commencer par le dessin qui est réellement envoutant avec pour cadre l’Afrique de la Savane. J’avoue avoir été subjugué autant par les animaux (par exemple le lion réaliste de beauté), par les personnages fort bien dessinés et surtout reconnaissables (ce qui est aujourd’hui une qualité) et par le décor.
Il y a comme un parfum du film oscarisé Out of Africa que j’avais adoré durant ma folle jeunesse. Bien sûr, on pourra reprocher de nombreux raccourcis scénaristique qui font sourire comme le fait que notre héros tombe très vite amoureux de sa belle ou qu’un homme n’hésite pas à tuer suite aux bons conseils d’un pasteur.
Dans le même genre, je n’avais pas aimé L'Aviatrice que j'avais d'ailleurs posté ici même. Quelques mois plus tard sort l’aviateur. Vous remarquerez là encore le manque d’originalité des titres. On fait comme si les autres œuvres n’existaient pas ce qui traduit une méconnaissance totale de ces professionnelles travaillant dans les maisons d’édition. Mais bon, passons !
L’aviateur est une bonne série qui démarre et qui a la particularité de se baser sur un personnage secondaire de la série Tramp qui apparait seulement dans les derniers titres. Il serait la caricature d’un certain Tanguy et Laverdure. C’est franchement dommage de ne pas l’avoir totalement crée sans forcément le rattacher à une autre série peu connue du grand public. Je pense que cela aurait donné encore plus d’épaisseur au personnage. Mais là encore, ce sont des erreurs de débutant.
En conclusion et malgré toute ma critique incisive, j’ai aimé et j’accorde allègrement le 4 étoiles pour une œuvre certes classique mais bien réalisée. On notera également que le divertissement est assuré avec un fond historique assez intéressant car méconnu. C’est sans doute le contexte des colonies allemandes africaines qui constitue la véritable originalité de ce récit.
Je suis une grande fan de la série Tramp et j'avais repéré le personnage marqué qu'était Tanguy-la-vie-dure.
C'est un peu par hasard et avec beaucoup de joie que j'ai découvert cette spin-off de la série maritime consacrée à ce pilote et c'est avec énormément de plaisir que j'ai lu ce premier tome.
Le scénario est bien construit, le rythme est maitrisé, les personnages sont bien cernés et le contexte, comme toujours dans les Bd scénarisées par Kraehn, parfaitement documenté, voire même didactique.
Le dessin est très bon également, plutôt classique mais efficace avec des paysages à couper le souffle. Les représentations animales sont, également, particulièrement réussies.
C'est un peu par hasard et avec beaucoup de joie que j'ai découvert cette spin-off de la série maritime consacrée à ce pilote et c'est avec énormément de plaisir que j'ai lu ce premier tome.
Le scénario est bien construit, le rythme est maitrisé, les personnages sont bien cernés et le contexte, comme toujours dans les Bd scénarisées par Kraehn, parfaitement documenté, voire même didactique.
Le dessin est très bon également, plutôt classique mais efficace avec des paysages à couper le souffle. Les représentations animales sont, également, particulièrement réussies.
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