C’est l’histoire d’une véritable nébuleuse du crime écologique, d’un industriel à la morale aussi basse qu’un méchant de James Bond mal écrit. Monsanto commet ses méfaits en plein jour, aux yeux de tous, et on ne fait rien, ou si peu. Ceux qui n’ont pas la main verte, ne connaissent peut-être le géant de l’industrie agrochimique qu’à travers la publicité sur le produit phare de la compagnie, Round Up le désherbant qui « n’abîme ni la terre, ni l’os de Médor ». Et si les chiens ne se sont jamais plaints, leurs maîtres ont très rapidement fait le lien entre une santé chancelante, l’apparition de cellules cancéreuses et l’utilisation des produits de la firme.
Jadis, les footballeurs me faisaient rêver, maintenant c’est leurs salaires.
D’abord on sauve la banque, la banquise ensuite