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Critiques de Herbjørg Wassmo (461)
La septième rencontre

deux destins qui s'entrecroisent Rut et Gorm avec comme décor le Nord de la Norvège. Deux enfants vivant dans des lieux et milieux différents, mais un jour deviennent grands.
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Le livre de Dina, tome 1 : Les Limons vides

C'est la première fois que je lis un livre comme celui-ci, et ça marque.



Dina est tellement sauvage, imprévisible et insondable...

On la comprend sans la comprendre et on l'aime en la craignant.



C'est très étrange, mais l'atmosphère qui se dégage du roman ainsi que son décor sont à l'image de l'héroïne, ils mêlent parfaitement le chaud et le froid.



Une belle lecture.
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Cent ans

La Feuille Volante n°1049– Juin 2016

CENT ANS – Herbjørg Wassmo – Gaïa.



Traduit du Norvégien par Luce Hinsch.



Comme le titre peut sembler l'indiquer, c'est une saga familiale sur quatre générations de femmes en Norvège septentrionale et plus spécialement dans les îles Lofoten. Celle de Sara Suzanne commence au milieu du XIX° siècle, suit celle de sa fille Elida puis de sa petite fille Hjørdis puis Herbjørg, l'auteure elle-même, toutes de la même lignée. C'est une chronique familiale, des vies qui se déroulent entre la mer et la ferme, mais c'est surtout un livre de femmes dont le destin est de se marier et d'enfanter. Ces portraits nous montrent des personnes courageuses, volontaires, résignées ou révoltées, avec chacune son caractère mais aussi des hommes rudes qu'elles ont choisis aimés et mérités. Ils ont fiancés époux , pères, tous marins ou paysans. D'eux sont nés de nombreux enfants (dix en moyenne par femme pour les premières générations) qui ont perpétré leur nom et leur mémoire mais de ces maternités répétées, les femmes en sortent épuisées pas forcément heureuses et souvent veuves, dédiées à une vie de labeur et de dévouement, entre prière et pauvreté, ayant abandonné leurs rêves de jeunesse et leurs légitimes aspirations de départ. Comme partout il y a des brouilles familiales et la vie qui côtoie la mort... L'amour est parfois au rendez-vous de leurs rencontres mais pas toujours. Comme on s'en doute la vie y est dure, ingrate, dans une nature hostile, parfois généreuse parfois moins, malgré la beauté rude des paysages et le progrès y arrive certes, mais plus tard et plus lentement qu'ailleurs. Ce récit n'épargne rien de ce qui est humain : amours déçus, conflits de couples, chocs de personnalités, ambitions ravalées, mariages d'amour ou de raison, deuils ...



L'auteur nous raconte cette histoire sans omettre les détails parfois les plus anodins ou les plus exceptionnels, entre plaisirs et douleurs, un récit qui se déroule depuis l'intime jusqu'à l’épique. L'écriture de ce roman m'a paru par moments assez laborieuse, à cause notamment de la chronologie difficile à suivre mais j'ai apprécié d'en connaître un peu plus sur la culture norvégienne, sur l'histoire du pays. J'avoue bien volontiers que je ne connaissais pas cette auteure.



A mon avis, écrire une saga n'est pas comme raconter une histoire romancée, c'est une démarche particulière où l'exorcisme tient une grande place et peut-être aussi la quête de réponses restées longtemps en suspens, de motivations personnelles, d'explications d'un choix particulier ... Certes il y a un souffle différent, une durée forcément plus longue, mais les finalités me paraissent autres, avec cette volonté, par le miracle de l'écriture créatrice, de porter témoignage dans un cadre familial, de donner à voir des personnages originaux, entre fiction et réalité, qui incarnent leur époque et s’inscrivent dans une lignée personnelle, peut-être aussi d'exhumer le souvenir d'hommes et de femmes, c'est à dire faire autant que possible échec à la mort et assurément à l'oubli, de rechercher des racines enfouies, oubliées ou occultées. C'est clarifier des psychologies ou des situations parfois taboues ou volontairement cachées, défendre un ancêtre injustement condamné ou rejeté de son vivant, lui prêter peut-être des sentiments qu’il n'a jamais éprouvés, éclairer un destin ou un point de sa généalogie resté obscur et s'inscrire soi-même dans cette ascendance familiale. C'est souvent parce qu'on porte en soi cette démarche particulière de l'écriture d'une saga qu'on devient écrivain, c'est à dire qu'on prend conscience de la nécessité impérative de poser cet acte qui tient, dans l'exploration d'un passé familial, à la fois de la création, du témoignage autant que de la volonté plus ou moins consciente, non pas tant d'aligner des mots, mais bien plus sûrement d'arracher quelque chose à la mort.





© Hervé GAUTIER – Juin 2016. [http://hervegautier.e-monsite.com ]
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Le Livre de Dina

Comment exprimer le fait que j'ai autant adoré ce livre que j'en été dérangé. Je ne connaissais pas la littérature norvégienne, et je l'ai découvert avec cet auteur. Dina est une femme enfant indomptable, qui ne se rend pas compte de ce qu'elle reprèsente aux yeux des hommes, Dina est farouche et tentante.

Mariée de force, l'auteur laisse à penser qu'elle a tué son mari pour être enfin libre d'elle même. Elle aura un fils de son garçon d'écurie, pauvre garçon d'écurie qui souffrira de sa passion pour sa maîtresse. Dina est belle, mais Dina décide de tout et ne se laissera pas dompter si facilement! A lire de toute urgence.
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Un verre de lait, s'il vous plaît

Un sujet terrible, mais la réalité j'imagine... cru, pudique, pas racoleur, un livre qui marque.
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Le livre de Dina, tome 1 : Les Limons vides

Une belle écriture, hérissée, violente qui colle parfaitement à l'histoire intrigante de cette Dina, femme du nord, sauvageonne, hors norme, qui bouscule les convenances de la bonne société protestante de ce coin éloigné de la Norvège.
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Un verre de lait, s'il vous plaît

On sent à chaque page la colère et l'indignation justifiée d'Herbjorg Wassmö quand elle décrit minutieusement la façon dont des jeunes filles baltes sont prostituées (car elles sont d'abord violées) puis comment elles sont obligées de se prostituer pour survivre en Scandinavie où des tortionnaires esclavagismes les ont vendues.

Le roman est bien sûr extrêmement sombre parce que la lumière et l'espoir, comme l'héroïne, Dorte, on a bien du mal à l'apercevoir. Il est aussi d'une force telle qu'il laisse une empreinte profonde et un souvenir pénible mais indispensable.

Il est légitime de débattre de la prostitution mais cette histoire, à travers toutes les histoires vraies, certainement encore plus dramatiques, qu'elle englobe doit peser dans la discussion et fermer les yeux seraient bien hypocrites.

On ne retrouve pas ici le souffle des séries Dina et Tora mais cet ouvrage est une arme de combat. Une lecture de grande valeur que je recommande sans hésiter, en particulier aux très jeunes femmes de l'âge de Dorte ... et encore plus spécialement à certains hommes pour des raisons évidentes.
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Cent ans

J'y ai surtout vu une histoire d'abus sexuel sur une petite fille qui ne sera jamais exprimé mais qui jalonne tout le récit Celui-ci semble autobiographique au moins en partie. Les personnages féminins sont attachants dans leur complexité et dans leur volonté farouche de faire face aux difficultés de la vie conjugale, de l'amour, des trop nombreux enfants qui arrivent tout au long du livre comme une vague de fécondité de génération en génération. La solidarité des femmes aussi absolument vitale dans une Nord du Nord très éprouvant et où la vie ne tient qu'à un fil. Un beau livre mais l'enchaînement des chapitres qui passent sans crier gare d'une génération à l'autre est parfois problématique. Je vais lire ses trilogies.
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Le Livre de Dina

Je n’irai pas par quatre chemin pour dire que j’ai beaucoup aimé ce livre. On suit Dina à travers ses choix et ses voyages au cœur de la Norvège et de ses saisons rigoureuses. Il y a beaucoup de sensibilité et de sensualité dans la manière d’écrire de Wassmo. ....

https://bookyboop.wordpress.com/2015/12/04/le-livre-de-dina-herbjorg-wassmo/
Lien : https://bookyboop.wordpress...
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Le Livre de Dina

Le livre :



Une femme au visage atrocement mutilé est secourue. Qui est-elle ? Pourquoi ne parle-t-elle pas ? Quelques jours après on retrouve un cadavre dans un cours d’eau… L’histoire repart au début sur l’histoire de cette femme libre de tout…



Autour du livre :



C’est un livre proposé par Gwen dans le cadre du prix des lectrices.



J’ai bien aimé le style de ce roman (premier volet d’une trilogie). Je suis curieuse de comprendre l’histoire de cette femme.



Herbjorg Wassmo est une écrivain norvégienne née en 1942.
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Un verre de lait, s'il vous plaît

Difficile de parler de ce livre .. une histoire de sexe et de violence...J'ai eu envie de dire, stop ! c'en est trop..et puis, peut-être par recherche d'érotisme, de voyeurisme, de perversité inavouée, de curiosité ....., je n'ai pas lâché le roman...Est-ce purement imaginaire, la violence de notre monde atteint-elle ces sommets ?

Comme Dorte, j'ai espéré, attendu le retour de Tom, proxénète et tout à la fois homme tendre et doux dans cet univers de violence, de saleté, de lâcheté et d'humiliations. Il n'est jamais revenu...

Le verre de lait a un goût bien amer !
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Le Livre de Dina

Un personnage de femme forte, violente, insolente, qui vit comme un électron libre aux mépris des règles, à une époque où les règles sont tout.

Certains lecteurs la déteste, moi elle me fascine. Elle est hors normes et on a la chance incroyable d'avoir accès à ses émotions.
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Ces instants-là

Cette critique est la plus difficile qu'il m'ait été donné d'écrire. Ce livre est un tel OVNI qu'il me serait difficile de dire si c'est un coup de coeur ou pas. Les plusieurs extraits seront d'ailleurs bien plus parlant que mon opinion.



***

Elle est jeune et belle sans doute. Elle déteste son père plus que tout bien qu'on ne sache jamais explicitement pourquoi. D'ailleurs, elle "n'aime" jamais personne et dira plus tard qu'elle n'a "pas d'âme".

Sa mère, personnage effacé et complexe est peut-être le seul être auquel elle se rattache et s'identifie.



"Elle voit les pensées de sa mère dans toutes les irrégularités sur lesquelles se reflète la lumière printanière"



La naissance de son fils alors qu'elle est encore toute jeune vient changer sa vie, même si ça ne perturbe en rien ses plans. Son fils sera toujours "le garçon". Elle laisse sa mère s'occuper des enfants tandis qu'elle poursuit des études d'institutrice.

Plus tard, elle mêle une vie de famille chaotique avec un mari adultère et des enfants que l'on voit furtivement et un boulot d'enseignante. Elle enchaîne des périodes de "crises" inexpliquées - quelqu'un parle à un moment d'épilepsie. Mais ce qui revient constamment c'est cette satisfaction qui lui échappe toujours.

Elle est en perpétuelle recherche. Serait-ce du bonheur, on ne sait pas. Tout ce qu'on comprend c'est qu'elle ne sait pas "dire" les choses, et que les "mots" - même ceux qui manquent - ont une importance primordiale. Elle ne sait qu'écrire en histoires les choses qu'elle a ressenties. D'ailleurs un de ses buts dans la vie est d'être écrivain.



Le rêve est omniprésent et se mêle parfois à la réalité si bien que l'on ne sait si ce que l'on lit se passe vraiment ou est simplement imaginé. A ces moments, des auteurs morts lui parlent et la conseillent. Plus tard elle communique avec les personnages de ses romans. Elle les aide à progresser, mais bien souvent, ce sont eux qui lui ouvrent les yeux.



***

Dès le début, j'ai été surprise par les phrases brèves et pourtant descriptives. La beauté des mots, dès les premières pages, est ce qui m'interpelle le plus.



"Elle glisse en arrière vers ce qu'elle ne sait pas.

La rosée du soir s'élève des tourbières et du lac. Comme un souffle étranger. Rend tout irréel. Se dépose sur les tolets quand elle rame. La friction des avirons se fait lointains soupirs"



Le ton est tantôt incisif, tantôt plus doux mais toujours dans une formidable recherche de poésie des mots. J'ai été souvent subjuguée par des trouvailles esthétiques et par de très belles formulations.



"Au lieu d'avoir peur du noir et des arbres hauts, on peut y chercher refuge et se cacher. Elle peut se glisser sous les larges jupes odorantes des sapins et être entièrement seule. Là, auprès des histoires les plus effrayantes, la lumière est filtrée par des barreaux d'aiguilles et de branches de sapins et à l'orée du bois, de la mousse apparaît dans toutes ses nuances comme une douce consolation, quand les choses sont au pire"



On retrouve également un humour particulier tirant sur l'ironie qui vient dérider l'atmosphère toujours froide de ce récit - on est au Norvège après tout!



"Il est maigre et a des lunettes. Beau d'une façon brute, même s'il a des cheveux bouclés de garçonnet. Ses yeux sont du verre transparent et son nez est de travers. Ce qui pourrait être le fait d'un accouchement difficile ou d'un réverbère".



Ce qui est le plus "dérangeant" c'est cette énorme distance et froideur que l'on ressent du début à la fin. Il n'y a aucun nom, l'héroine est toujours "Elle", les différents personnages sont des "ils" dont l'attitude est bien mieux décrite que le physique. Difficile de s'attacher à quiconque, nous sommes forcés d'essayer de nous accrocher à ce "elle", personnage ambigu et sans visage.



Difficile également de savoir si cette froideur est une barrière volontaire de la part de l'auteur entre le lecteur et le texte, ou tout simplement la froideur de l'héroine mêlée à une incroyable objectivité. Peut-être un mélange des deux. Le meilleur exemple de cet aspect, est quand elle se voit s'occuper des devoirs d'un petit garçon qui lui rappelle son fils : " Il remplace en quelque sorte le garçon qu'elle a à la maison".



La solitude de l'héroine, même quand elle est en groupe nous confirme sa singularité et nous fait nous demander si elle n'a pas plus souffert qu'on ne nous l'a montré.



"La solitude n'est pas dangereuse. Tant qu'on est seul"



Un personnage difficile à cerner (pourtant on a 399 pages pour le faire), si bien que par moments on a juste envie de lui mettre une claque. Mais malgré tout, sa détresse apparente nous fait finalement nous attacher à ce que l'on connaît d'elle, en espérant apprendre ce qu'on ignore.



"De proche en proche, elle commence à se manquer à elle-même. Elle a plus de place, mais ne sait ou se mettre."



Son rapport privilégié avec la littérature, illustré par des conversations étranges et imaginaires avec Simone de Beauvoir, ou avec un des héros de Dostoievsky ou même ses discutions sur Meursault et sur l'absurde, viennent égayer et illustrer ce long récit.



" Celui qui est abandonné est son propre vide"

***

Je ne peux que vous conseiller de le lire pour vous faire votre propre avis. Je ne vous promets pas d'adorer l'histoire en elle-même, mais je pense que personne ne peut résister à cette poésie onirique et ces splendides paysages du grand nord.



Merci à Priceminister et aux éditions Gaia, grâce auxquels j'ai découvert ce roman.
Lien : http://www.izabeletseslivres..
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Cent ans

agréable mais pas plus
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Cent ans

beaucoup de mal à entrer dans ce roman. de nombreux personnages, qui vivent à des périodes différentes mais qui se mélangent. A la fin du livre, une fois les personnages enfin bien situés, j'ai reparcouru tout le début pour essayer de comprendre. Ce "lui", qu'a-t-il fait?

Des tranches de vie intéressantes, mais je n'ai pas vraiment accroché.
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Un verre de lait, s'il vous plaît

Après la mort de son père, Dorte, seize ans, part vivre en Lituanie accompagnée de sa mère et de sa soeur. La vie y est rude. La multiplication des petits boulots ne suffit pas à payer les factures. Face à une menace d'expulsion, Dorte décide d'accepter la proposition d'une amie. Elle lui propose d'aller en Suède où un travail de serveuse dans un restaurant l'attend. Elle y voit ici, une opportunité de gagner beaucoup d'argent. Cependant, elle est loin d'imaginer que ce voyage va la conduire directement dans un réseau de prostitution. Violentée, forcée, endettée et sans passeport, elle se retrouve prise dans une spirale sans issue. La mémoire de son père et son attachement à la religion deviennent presque son seul soutien.

Wasmo explique le problème de la traite des blanches à travers le portrait de Dorte, un portrait de femme très dur voire très cru. La violence de son écriture reflète celle de la réalité. Dur mais superbe.
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Le Livre de Dina, tome 2 : Les Vivants aussi

Ce 2è tome m'a davantage plu. Dina, bien que toujours poursuivie par ses démons et hantée par ses morts, devient quelqu'un. Elle se bat contre elle-même, contre les vivants et les morts, pour enfin exister. Le personnage devient attachant car elle commence à briser sa carapace et à se révéler tout en restant LA femme de caractère qui n'obéira jamais qu'à elle-même.
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Le livre de Dina, tome 1 : Les Limons vides

J'ai reçu cette trilogie en cadeau. Ce n'est pas forcément mon style de lecture et il est probable que je ne l'aurais jamais lue de moi-même. Ceci étant, j'ai apprécié ce premier tome des aventures de ce personnage atypique qu'est Dina. J'ai bien accroché au style de l'auteur et me suis laissée embarquée par la poésie, le fantastique, la spiritualité qui s'en dégagent. Je serais assez tentée par la découverte du film qui en a été tiré, ne serait-ce que pour mieux visualiser les paysages incroyables de la Norvège -pourtant très bien dépeints par l'auteur- mais trop atypiques pour que je puisse m'en faire une juste représentation.
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Cent ans

La saga sur quatre générations d' une famille de gens simples à la vie très rude dans cette NORVÈGE brumeuse. Un TRÈS BEAU LIVRE.
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Cent ans

Une épopée formidable, un roman comme on n'en trouve plus à l'heure actuelle. La vie, pas après pas, de cinq femmes qui de générations en générations vont vouloir vivre la vie qu'elles rêvent de mener.

L'auteur sait nous captiver en décrivant le quotidien de ces femmes, de leur famille, de leurs espoirs et attentes de la vie tout en faisant des flash backs sur la vie passée des mères afin de mieux pouvoir comprendre celle de leurs filles.

Un très gros coup de coeur !
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