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Invité : Gérald Kierzek
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La vraie cause de cette crise Covid, ce n’est pas le virus qui a un taux de létalité extrêmement faible. Pourquoi en Afrique, il ne se passe rien? Parce qu’il n’y a pas de maladie chronique et puis parce que l'espérance de vie est plus faible donc il y a des populations jeunes. Pourquoi aux Etats-Unis, a contrario, il y a beaucoup plus de morts? Parce qu’il y a énormément d’obésité. Et donc les deux vraies causes de cette crise Covid, c’est d’abord l’état de santé de la population. Et deuxièmement, c’est la crise structurelle de l’hôpital. Et si on se cache derrière le Covid, on fait deux erreurs majeures. C’est de ne pas voir à court terme ce qu’il faut faire, c’est-à-dire rhabiller l’hôpital et le système de santé, et puis miser sur les générations futures en misant sur la prévention. ("Grandes Gueules", RMC Story, 17/02/2022)
[Concernant la gestion du Covid] Globalement il faut arrêter la stratégie avec des mesures généralisées pour tout le monde (confinement, vaccination pour tous etc) pour passer à une stratégie personnalisée. Cela doit se gérer entre le médecin et son patient. On sait globalement que au dessus de 65 ans il y a plus de risques et puis les gens fragiles, les gens immunodéprimés. L'obésité, c'est un facteur de risque majeur. Mais en tout cas il faut arrêter de prendre de prendre des mesures qui concernent tout le monde. Il faut revenir à la médecine de bons sens, la balance bénéfice risque...Dans la balance bénéfice risque il y a des gens qui se sont vaccinés pour rien. ("Fin du masque, du pass, remontée des cas... la mise au point du docteur Gérald Kierzek", TPMP du 15/03/2022)
Le vaccin était une nécessité médicale pour protéger les plus fragiles, mais sa généralisation et sa quasi-obligation via le pass était une mesure politique... Le vaccin protège - à titre individuel, et non collectif - les patients les plus fragiles avec comorbidités. Ce sont ces patients qu'il fallait cibler... De même que l'instauration des restrictions a été politique, leur levée suit de facto un calendrier électoral, le gouvernement s'appropriant au passage le bénéfice de la régression naturelle de l’épidémie.. (Gérald Kierzek sur la fin des restrictions sanitaires: «Je crains une génération spontanée d'hypocondriaques», Figaro, 15/02/2022)
Quand on cherche on trouve. Plus vous testez plus vous trouvez. Si lors de la première vague et deuxième vague, qui étaient des vagues de saturation hospitalière, on avait eu des tests et qu'on avait testé, peut-être que l'on aurait eu les mêmes chiffres. Donc plus on trouve, plus on panique et ça a un vrai effet négatif de paniquer les gens, les médias et les politiques. Alors qu'il serait souhaitable de relativiser... Ce n'est pas parce que vous êtes positif que vous êtes malade...Alors arrêtons de paniquer les gens... D'abord on a compté les morts, ensuite on a compté les réanimations, puis les hospitalisations et maintenant on compte les cas. Le seul indicateur pertinent ce sont les gens malades et pas du tout les gens positifs. Et là quand on regarde les soins critiques il y a moins de 4.000 malades... Quand on est en pleine vague épidémique, ça n'a plus de sens de tester parce qu'on ne peut plus tracer les cas... Sanitairement, ça fait des semaines que l'on aurait pu se dire qu'il ne fallait pas restreindre et contraindre les gens parce qu'on avait les exemples de l'Afrique du Sud, du Royaume-Uni ou du Danemark et on a compris qu'Omicron était plus contagieux mais moins sévère. D'autant que les indicateurs hospitaliers ne bougent pas... Le comprends la prudence du gouvernement mais c'est une prudence politique, voire un calcul politique, et pas en tout cas un rationnel médical puisque l'on sait maintenant scientifiquement qu'Omicron ne conduit pas à l'hôpital ou très peu. (Europe Matin, 20/01/2022)