Quand on aime les « poulets », on a du mal à croire qu’ils soient pourris, même quand on vous le répète. Ces vérifications dans lesquelles le préfet compte se lancer consistent d’abord à tenter de se prouver qu’ils ne le sont pas. Pas pour les accabler, mais pour éradiquer la mauvaise, la méchante rumeur. « Couper la tête aux canards », comme on dit.