Il y a un Bon Dieu pour les poètes !
Il est de ces lieux qui gardent ouvertes leurs plaies.
Il demanda à Quentin s'il n'avait pas vu ses boîtes de Munsters .
_Si tu parles de tes chaussures , pour une fois le terme est approprié .Je les ai mises dehors , sur le rebord de la fenêtre , afin de dissuader les moustiques d'entrer . Va voir .... et compte les cadavres !
dans notre famille, on ne se suicide pas, on de divorce pas mais, hélas, on tue...
Judith est la proie de ses ombres. Cette jeune artiste-peintre a pourtant tout pour être heureuse : une vie dorée, un mari brillant et attentif, une véritable passion pour son art.
L'anniversaire de mariage de ses grands-parents paternels va offrir l'occasion à notre parisienne de renouer avec l'île Chevalier où, très jeune, elle passait ses vacances. Elle ne conserve de ce lieu magique que peu de souvenirs. Et pour cause... Trente années auparavant, ses célèbres parents y avaient trouvé une mort aussi tragique qu'énigmatique. L'enfant, témoin du drame, s'était alors réfugiée dans la béance de l'amnésie.
Mais le passé vous rattrape là où vous ne l'attendez pas. La maison rose et tendre de l'enfance peut se transformer en prison mentale. Judith n'aura d'autre alternative que de se battre ou de sombrer dans la folie...
Livre que j'ai lu d'une traite grâce à l'enquête policière qui est mené à travers l'ésotérisme et les différentes cartes du tarot de marseille retrouvées auprès des cadavres. La fin est véritablement époustouflante à mon goût je n'étais pas parvenu à imaginer ce dénouement.
Ah non ! Tu ne vas pas me parler d'amour ! gloussa la rousse d'une mimique dégoûtée. J'ai déjà donné dans la princesse qui embrasse un crapaud ! Le mien ne s'est pas transformé en prince charmant ! Il est resté crapaud et, qui plus est, m'a refilé de l'urticaire !
Quand ils revirent sur la terrasse , tous les invités agglutinés près de la desserte avaient déjà pillé les premiers plats, illustrant le vieil adage qu'il y a autant de poux sur la tête d'un chauve que de gens civilisés autour d'un buffet.
Avec la dose d'alcool qu'il avait ingurgitée, il reviendrait sûrement au monde des vivants avec la tonicité d'un chamalow et la vivacité intellectuelle d'une majorette.
Salades que l'on dégustait cuites au moyen âge, haricots de toutes sortes et choux, puisqu'ils avaient l'insigne honneur de pousser à la lumière de Dieu, étaient réservés aux nobles et aux dignitaires ecclésiastiques. En revanche, les racines comme les carottes, les poireaux où les raves, qui ne connaissaient que les ténèbres du monde souterrain, servaient de nourriture au peuple.