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Critiques de François Cheng (462)
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Assise

Où est l'intérêt de ce livre ? J'attendais mille fois mieux de F. Cheng que ce récit incolore et sans saveur de son intérêt pour Assise. Que la découverte émerveillée d'Assise ait aidé à son adhésion personnelle à l'Europe est une bonne chose pour lui, mais en quoi cela nous concerne-t-il si notre guide du jour ne nous donne même pas l'envie de visiter à notre tour la cité? Pour avoir connu moi aussi un vrai coup de foudre pour la cité et lss œuvres magnifiques de Giotto, j'ai eu bien du mal à terminer la lecture de ce livre pourtant peu épais tant il me tombait des mains.
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Assise

Ce petit recueil de pensées personnelles m’a profondément touchée. François Cheng offre à son lecteur sa vision de Saint-François d’Assise, sa rencontre spirituelle avec le moine. C’est très émouvant, c’est tellement personnel, il donne à son lecteur, la clef de la porte de son intimité. C’est d’une très belle écriture, douce, fluide qu’il se confie.



Lui qui vivait une période d’instabilité philosophique, ontologique, lui qui s’était perdu entre la Chine et la France, a ressenti, à la vue d’Assise, qu’il venait de trouver son lieu, son « Assise » sans mauvais jeu de mots !

Il va alors s’imprégner des lieux que François a parcouru, il sera en communion avec le saint, l’appréhendera, s’en pénétrera spirituellement et c’est ainsi qu’il prendra, lors de sa naturalisation, le prénom de François.

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Assise

pépite ! la foi en l'Homme et la découverte d'Assise
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Assise

Un texte limpide et sincère où François Cheng révèle son expérience intérieure: la rencontre avec le Grand Vivant, l'apparition de sa présence à Assise lors de son premier voyage dans les lieux de cette cité qui lui apparaît lumineuse et en équilibre.

Mais aussi un portrait de François, le troubadour, compositeur du Cantique des créatures.

Une goutte de lumière...
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Cantos toscans

J'ai vu qu'il n'y avait pas encore de critique de ce livre, alors je me lance. J'ai lu ce recueil dans l'édition Poésie/Gallimard sous le titre «A l'orient de tout ». A première vue, difficile de séparer ces poèmes des autres recueils. On y retrouve les thèmes chers à l'auteur comme la nature, l'unité de l'homme avec l'univers… que j'ai déjà détaillés dans la critique de ce titre. Il faut voir en quoi « Cantos Toscans » se démarque des autres titres. Comme le titre l'indique, l'auteur nous parle de la Toscane. Le titre interpelle un peu par sa consonance médiévale. Peut-être faut-il y voir une allusion à un passé immuable, un lieu où le temps se serait un peu figé ? Si la plupart des poèmes se fondent dans l'ensemble, on y trouve beaucoup de liens avec l'Italie. A travers les cyprès d'abord. Les fameux « cyprès toscans » que l'on trouve dans la poésie de D.H. Lawrence. C'est la référence première à la Toscane. Puis quelques noms de villages sont cités (Montopoli in Val d'Arno, Monterchi) - « Tours et coupoles toujours plus élevées » - , puis un nom d'artiste (Léonard de Vinci), et plus précisément la description d'une fresque particulière, des références au christianisme, aux anges… Il s'agit d'une description de la campagne toscane, avec ses collines particulièrement douces. A y regarder de plus près, François Cheng se laisse bercer par cette douceur, « les rondeurs des collines », et même « le mamelon du désir ». Mais cette nature italienne est entremêlée de notions taoïstes qui nous rappelle la Voie. Il fait magnifiquement la jonction avec les deux cultures. Pour mieux nous faire comprendre que tout se rejoint, que nous sommes dans l'Universel. Il faut prendre le temps de relire les strophes et les vers. S' imprégner de la magie de cette poésie. Voilà ce que je peux dire de ce recueil. Je vous invite à découvrir cette Toscane du Tao en suivant le guide François Cheng.
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Cinq méditations sur la beauté

Un vrai bonheur de lire lentement parce qu'elles sont ardues ces cinq méditations philosophiques sur la beauté.

Le propos nous éclaire sur un concept qui souvent nous interroge,celui de la beauté ,dans ses facettes multiples , à travers la nature,l'art, l'être humain.François Cheng illustre sa pensée en s'appuyant sur des exemples pris dans la culture occidentale et dans la culture chinoise, en croisant les regards ,et cette approche rend le texte plus accessible au lecteur.L'auteur s'interroge: la beauté objective existe-t-elle ?Le fil conducteur est que la beauté implique un entrecroisement entre une présence qui s'offre à la vue et un regard qui la capte.

Dans la première méditation,l'auteur développe les liens entre beauté et mal qui sont tous deux un mystère.

Dans la deuxième méditation,recherche de critères qui définissent la beauté de la nature,puis dans la méditation suivante,il déroule comment l'art a célébré depuis l'Antiquité la beauté physique.

Dans la dernière méditation, François Cheng interroge la beauté dans l'art.Le beau est quelque chose que l'on éprouve, que l'on ne peut pas prouver.Il s'attarde sur le génie de Cézanne.
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Cinq méditations sur la beauté

Le libraire qui m'a vendu ce petit livre m'a dit simplement "il y a, comme ça, des êtres de lumière.." Cela résume bien l'impression que m'en a laissé la lecture, pas si différente d'ailleurs des autres ouvrages de François Cheng même si, là, ses pensées sont directement adressées à notre compréhension, sans être distillées dans l'ambiance d'un roman. Et c'est un vrai bonheur de s'imprégner de ces réflexions... Qui ne s'est pas un jour interrogé sur le sens profond et intrinsèque de la perception du Beau ? Sujet de tant de controverses argumentées par les notions des différentes civilisations, qui s'achèvent inévitablement par un apaisant "chacun ses goûts !". Eh bien non ! Merci à vos précieuses méditations Monsieur Cheng, enrichies des concepts de l'Occident autant que de l'Orient, de nous délivrer de cette commode (mais rageante) tempérance : la beauté n'est pas qu'une affaire de goût des hommes, mais se situe à un "niveau plus élevé, plus en amont, plus proche de la source même de la Création". Et la Beauté a sans nul doute éclairé le chemin de votre âme pour guider votre plume.
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Cinq méditations sur la beauté

Voilà avec ce livre cinq méditations sur la beauté, cinq réflexions qui mêlent la philosophie occidentale et la philosophie chinoise avec ses traditions de pensée, cela est dû bien entendu à son auteur François Cheng, d'origine chinoise dont le talent d'érudition n'a de cesse de me surprendre et de m'étonner. La première méditation est l'une des plus courtes aussi, et celle à mon sens qui se laisse le mieux cerner, c'est avant tout une réflexion ou plutôt un constat sur le rapport qu'entretient la beauté et la notion d'unicité sans laquelle elle ne peut exister. Plus on avance dans la lecture de l'ouvrage, plus le talent de l'auteur de déploie et rend aussi un peu plus complexe la compréhension de sa réflexion ; avec la deuxième méditation on entre dans la dimension temporelle et son appel à un nécessaire et constant renouvellement sans lequel elle disparaîtrait à jamais : « …chaque expérience de beauté rappelle un paradis perdu et appelle un paradis promis… » La troisième méditation nous rappelle l'anthropologie et l'évolution de l'homme qui par la station debout a vu émerger le visage humain, « ce trésor unique que chacun offre au monde » et on peut ajouter : « auquel le monde s'offre pareillement » et de là on en arrive à Saint Augustin ; « la beauté résulte de la rencontre de l'intériorité de l'être avec la splendeur du cosmos » et pour en définir la nature un lien indissociable est fait avec la bonté : « la bonté est garante de la qualité de la beauté / la beauté irradie la bonté et la rend désirable », enfin cette méditation s'achève avec la beauté comme rédemption, avec pour illustration la « Pieta d'Avignon » d'Enguerrand Quarton, peinture du XVème siècle (1455), cette conclusion est aussi étayée par les réflexion de Dostoïevski et de Romain Gary : « Il faut racheter le monde par la beauté : beauté du geste de l'innocence, du sacrifice, de l'idéal ».

La quatrième méditation m'a rapproché d'un récent essai que j'ai lu sur l'art, celui de Markus Gabriel « « le pouvoir de l'art », dans ce dernier écrit l'auteur écrit : « Les oeuvres d'art n'existent pas hors interprétation » car afin de percevoir une oeuvre d'art on doit l'interpréter, autrement dit « la performer » et on se rapproche alors du principe de « chiasme » développé par Merleau-Ponty : la beauté objective qui ne serait pas perçue serait alors pure perte…Cette quatrième méditation se termine par une digression sur la création, ou plus exactement le créateur comme principe transcendant, à cela j'ai moins adhéré et je trouve qu'il s'agit là d'un développement plus personnel de son auteur, sans réelle portée universelle, car pourquoi penser ‘'transcendance'' et pas ‘'immanence'' ? Rien n'est de toute façon démontrable en la matière, alors…Je n'ai pas aimé la dualité créateur / créature, ce concept ne me satisfait pas et au fond j'ai tendance aussi à le trouver un peu primaire (mais cela n'engage que moi) l'auteur a pourtant choisi de conclure cette méditation par cette idée.

Enfin la cinquième méditation nous rappelle Emmanuel Kant (dont on trouvait aussi des rappels dans le petit essai de Markus Gabriel) avec sa réflexion sur le beau, mais sont abordés aussi des exemples liés à Cézanne, Heidegger, à la pensée chinoise, l'auteur s'interroge sur la finalité du beau et en propose son interprétation : la finalité du beau c'est de donner à vivre » là encore on est en pleine réflexion personnelle, on aborde Confucius et Lao Tseu, le Yin et le Yang et la voie du milieu, mais rien ne peut jamais se démontrer en matière d'art ; tout est affaire de perception et de ressenti, la cinquième et dernière médiation se termine par une très belle réflexion sur la peinture qui doit donner à voir "l'image par-delà les images", ce que les théoriciens chinois nomme le xiang_wai-zhi-xiang, aussi nommée « illumination » par la spiritualité Chan.

En résumé, la pensée chinoise apporte un éclairage au regard de la philosophie occidentale, à laquelle des auteurs contemporains comme des penseurs antiques sont conviés ; cette réflexion sur l'art forme la trame de ces cinq médiations, certains passages sont très personnels et le lien entre eux n'est pas toujours aisés à cerner, mais l'ensemble est tout de même lumineux en ce sens qu'il porte l'art comme étant une valeur indissociable de la vie et de sa dimension spirituelle, cette dimension qui nous grandit et appelle à nous élever.

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Cinq méditations sur la beauté

Difficile de noter le livre de François Cheng.

J'ai aimé lire ces 5 méditations sur la beauté, mais au prix d'une concentration extrême. Attention ne croyez pas que vous lirez dans le bus entre deux stations! Il faut être au calme et avoir du temps devant soi pour apprécier cette lecture. Vous aurez également besoin d'un dictionnaire.



Mais si vous êtes persévérants n'hésitez pas, surtout en ces temps où la beauté semble se cacher.
Lien : http://wp.me/p9im1Z-Z
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Cinq méditations sur la beauté

le propos est plus philosophique plus que poétique.

c'est tentant pour sortir de la grisaille , mais je ne devais pas être disposé à recevoir ces réflexions car je me suis arrêté en route.... mais avec le sentiment d'une beauté cachée qui reste à découvrir...
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Cinq méditations sur la beauté

Avec des mots simples F Cheng nous fait découvrir la peinture chinoise;son esprit , son actualité , son esthétisme ce pourquoi cette peinture nous touche ,
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Cinq méditations sur la beauté

Quand François Cheng se penche sur la question de la beauté, il nous entraîne dans une réalité pluridimensionnelle. Partant de l'univers dans lequel « nous sommes la conscience éveillée, le coeur battant de la matière », il explore la Beauté en s'appuyant sur les trois Idées platoniciennes - le Vrai, le Bien, le Beau - . Loin d'une vision angélique, pour le philosophe, la beauté n'exclue pas le mal puisqu'elle en est le pendant extrême.



Beauté de la Nature, beauté de l'être humain, beauté de l'art, beauté que François Cheng définit comme « le désir de chaque être de tendre vers la plénitude de sa présence au monde », une « présence rayonnante et reliante ». Parce que chaque être est unique et irremplaçable et qu'il porte en son sein cette capacité à la beauté, s'impose à lui un rapport au temps et à l'espace où la notion d'éphémère le renvoie à sa condition de mortel.



Ainsi la beauté conduit chacun à s'élever, se dépasser, se transfigurer. Elle ne se réduit pas à une beauté apparente, superficielle, artificielle destinée à séduire, manipuler, dominer. La Beauté est régie par une force bien plus puissante qui est le principe de vie, jaillissant du plus profond de l'Etre. En cela elle est reliée au sacré. La vraie beauté se nourrit de bonté. Elle y puise sa noblesse et la force de son rayonnement. La beauté inclue naturellement l'amour, la compassion, le sens de la justice, la dignité.



Enfin sur le plan de la création artistique, fort de sa double culture occidentale et chinoise, François Cheng, s'appuie sur ces deux grandes traditions esthétiques afin de dégager des critères pour juger de la beauté d'une oeuvre, l'art étant le résultat d'une rencontre, « d'un entrecroisement entre une présence qui s'offre à la vue et un regard qui la capte ».



Ces cinq méditations se dégustent avec délectation. Elles imposent la lenteur de la lecture, le temps suspendu de la pause, permettant de mieux goûter, la saveur du texte, l'intelligence des idées. Le regard se porte alors sur ce qui s'offre à sa vue, et peut saisir la beauté éphémère de l'instant…

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Cinq méditations sur la beauté

Un essai philosophique, très dense, sur la beauté, découpé en cinq méditations, et dont la lecture n'est pas toujours aisée, du moins ne l'a pas toujours été pour moi. De très beaux passages, et d'autres plus ardus, relus plusieurs fois et dont la compréhension m'a parfois échappé.

J'ai beaucoup aimé les passages évoquant la beauté artistique dans la peinture, "tout tableau chinois, relevant d'une peinture non naturaliste mais spiritualiste, est à contempler comme un paysage de l'âme", dans la poésie, ou encore la beauté du monde, de la nature qui justifie finalement notre existence sur terre.

«De tout temps en Chine, poètes et peintres sont avec la nature dans cette relation de connivence et de révélation mutuelle. La beauté du monde est un appel, au sens le plus concret du mot, et l'homme, cet être de langage, y répond de toute son âme. Tout se passe comme si l'univers, se pensant, attendait l'homme pour être dit.»

«Je ne tarde pas à découvrir la chose magique qu'est l'art. Les yeux écarquillés je commence à regarder plus attentivement la peinture chinoise qui recrée si merveilleusement les scènes brumeuses de la montagne. Et découverte parmi les découvertes ; un autre type de peinture. [...] Nouveau choc devant le corps nu des femmes si charnellement et si idéalement montré : Vénus grecques , modèles de Botticelli, du Titien, et surtout, plus proches de nous, de Chassériau, d'Ingres. La Source d'Ingres, emblématique, pénètre l'imaginaire de l'enfant, lui tire des larmes, lui remue le sang.»

L'auteur évoque et détaille parfois scrupuleusement certains tableaux ou paysages, et permet à l'esprit de s'évader, suscite le questionnement, la méditation ... un cheminement vers la spiritualité.

«La terre est une vallée où poussent les âmes.» Keats

«En tant que présence, chaque être est virtuellement habité par la capacité à la beauté, et surtout par le « désir de beauté »

«La beauté nous paraît presque toujours tragique, hantés que nous sommes par la conscience que toute beauté est éphémère.»

Un essai de qualité, que je lirai de nouveau, très certainement, pour en saisir toute la grandeur.
Lien : https://seriallectrice.blogs..
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Cinq méditations sur la beauté

Je n'ai pas lu ce livre, mais plutôt écouté le livre audio. D'un coté je le regrette car le livre m'aurait permis de revenir sur les passages plus complexes, et il y en a plusieurs! Par contre j'ai bien apprécié entendre la voix de l'auteur car non seulement cet accent chantant mais parfaitement compréhensible charme, mais l'enthousiasme, les convictions et les interrogations ressortent avec ferveur.



Quant au fond, les réflexions sont denses, des liens originaux sont créés et les références dénotent une culture immense, impressionnante. De la Joconde à la rose, de Platon à Confucius, de la création de l'univers à l'âme humaine, du bouddhisme à la voie du Chan, tout alimente, nourrit et illustre ces profonds propos. Les ponts qu'il construit entre l'Occident et la Chine sont lumineux. Ces méditations dépassent de loin l'esthétique et même l'étique , elles nous convient à une exploration tous azimuts à partir du concept de beauté. Et c'est un beau voyage.
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Cinq méditations sur la beauté

Un baume de sagesse bienfaisant pour un voyage intérieur.
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Cinq méditations sur la beauté

méditation brillante mais n'ai pas réussi à méditer avec Monsieur Cheng
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Cinq méditations sur la beauté

Toujours aussi subtil que l'esprit de Monsieur CHENG , quel plaisir de le lire, avec sa maestria épistolière habituelle sur un sujet intéressant : la beauté. Il nous livre sa digression avec tellement de clarté, cette promenade philosophique qui me fait regretter de ne pas l'avoir croisé sur les bancs de l'école.!



Quelle magistrale poésie dans son propos ! chers profs de philo, seriez vous jaloux pour ne pas nous le conseiller ou l'étudier ?

Pendant ma lecture j'ai repensé comme un écho à un roman amusant d'Eric Emmanuel Schmitt "et si j'étais une oeuvre d'art"..; dans notre société où le PARAÎTRE et tellement plus important que le "PAS ÊTRE"...et les "canons de beauté" tellement relatifs ! Différents de l'Orient et de l'Occident, du Nord au Sud..



"La beauté de l'âme l'emporte sur la beauté physique"

Georges SAND

Je vous recommande cette lecture.
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Cinq méditations sur la beauté

Belles méditations sur la beauté à partir d'un regard croisé sur l'art occidental et chinois.
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Cinq méditations sur la beauté

Après la découverte des Cinq méditations sur la mort que j'avais trouvé très intéressantes, j'avais vraiment hâte de découvrir ces Cinq méditations sur la beauté.



Dans ces cinq méditations, François Cheng fait appel à des références classiques occidentales comme orientales qu'elles soient littéraires, artistiques, religieuses ou philosophiques pour mieux éclairer cette notion quelque peu énigmatique.



S'il est vrai que la lecture de cet essai était intéressante, celle-ci me fut plus difficile que l'autre ouvrage de François Cheng à cause des trop nombreuses digressions qui donnent une impression de construction bancales et perdent le lecteur. À l'issue de cette lecture, on a certes quelques pistes, mais on est pas très sûr de savoir où l'auteur à voulu en venir.

De plus certains aspects de la question m'ont paru trop développées (compte tenu de ce qu'elles amenaient au développement) alors qu'à l'inverse, certains arguments que je trouvais très intéressants ont été trop vite expédiés à mon goût.
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Cinq méditations sur la beauté

Il y a un avant CHENG.

Et il y a un après CHENG. Et cet après est.... lumineux!!

Un livre qui demande relecture, un livre extrêmement dense.

"La beauté ne respire qu'en durée. Le Mal n'expire que dans le temps, Merci Mr CHENG de nous l'avoir rappelé"

Astrid SHRIQUI GARAIN

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