Les clochettes d’alertes résonnent presque aussitôt alors que les hommes du Bataillon 29, non équipés de masques à gaz, se mettent à paniquer. Ils se jettent tous vers le dépôt, un bunker un peu plus grand que les autres ou reposent les réserves de première ligne. Là, le sergent Cloarec est déjà en train d’éclater les caisses de masques pour les jeter aux disciplinaires qui se ruent vers lui dans une panique générale et incontrôlable.
Mais cette fois, la mort est bien plus perfide, accompagnant des obus de 77mm, des obus mous de gaz déversent leur chlore nocif avec dans l’air déjà poisseux. Les clochettes d’alertes résonnent presque aussitôt alors que les hommes du Bataillon 29, non équipés de masques à gaz, se mettent à paniquer. Ils se jettent tous vers le dépôt, un bunker un peu plus grand que les autres ou reposent les réserves de première ligne. Là, le sergent Cloarec est déjà en train d’éclater les caisses de masques pour les jeter aux disciplinaires qui se ruent vers lui dans une panique générale et incontrôlable. Déjà, ceux qui n’arrivent pas à atteindre le dépôt assez vite s’écroulent en se serrant la gorge et en pleurant jusqu’au sang. Ceux qui ont déjà saisi des masques accourent vers leur camarade au sol pour les en équiper. Cheval a pris Jegu par le col dès les premiers sons de clochettes et ils sont dans la mêlée à l’entrée du dépôt pour avoir leurs masques. Le sergent Cloarec n’a pas le temps de s’en saisir que les disciplinaires les lui arrachent des mains.
Déjà, ceux qui n’arrivent pas à atteindre le dépôt assez vite s’écroulent en se serrant la gorge et en pleurant jusqu’au sang. Ceux qui ont déjà saisi des masques accourent vers leur camarade au sol pour les en équiper. Cheval a pris Jegu par le col dès les premiers sons de clochettes et ils sont dans la mêlée à l’entrée du dépôt pour avoir leurs masques. Le sergent Cloarec n’a pas le temps de s’en saisir que les disciplinaires les lui arrachent des mains.
Ceux qui ont déjà saisi des masques accourent vers leur camarade au sol pour les en équiper. Cheval a pris Jegu par le col dès les premiers sons de clochettes et ils sont dans la mêlée à l'entrée du dépôt pour avoir leurs masques. Le sergent Cloarec n'a pas le temps de s'en saisir que les disciplinaires les lui arrachent des mains.
Les clochettes d’alertes résonnent presque aussitôt alors que les hommes du Bataillon 29, non équipés de masques à gaz, se mettent à paniquer. Ils se jettent tous vers le dépôt, un bunker un peu plus grand que les autres ou reposent les réserves de première ligne.
Là, le sergent Cloarec est déjà en train d’éclater les caisses de masques pour les jeter aux disciplinaires qui se ruent vers lui dans une panique générale et incontrôlable.
Mais cette fois, la mort est bien plus perfide, accompagnant des obus de 77mm, des obus mous de gaz déversent leur chlore nocif avec dans l’air déjà poisseux.
Des morceaux de pierres et de terre retombent lourdement sur le casque de Muller.