Son archet, parfois doux comme une voix céleste, à d'autres moments vibrant et robuste, produit de telles combinaisons de voix et de tons qu'il semble que la caisse de résonance de son violoncelle contient le secret magique d'harmonies sublimes capricieusement transformées par le contact de sa main [...], la muse la plus inspirée, l'intuition la plus artistique [...], son violoncelle semble parler, gémir, murmurer [...], pousser des soupirs et chanter.
Critique parue dans le journal Al Alcance en 1894 à propos du jeu de Pablo Casals.