Nous ne sommes pas contre le remboursement de certaines procédures s'il est véritablement prouvé par une équipe médicale et non militante qu'une véritable dysphorie persiste après un traitement psy. Mais si comme les militants le disent, être trans n'est pas une maladie, alors très bien, c'est un choix de vie. Et dans ce cas, ce choix de vie ne devrait pas peser sur les contribuables.