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Critiques de David Foenkinos (5376)
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Je vais mieux

On m'avait vivement conseillé cette lecture, et je ne suis vraiment pas déçue.



Le mal de dos, un mal invisible et pourtant tellement réel pour ceux qui en souffrent.



Qui ne ferait pas tout, pour guérir d'un mal que personne ne comprend... Le narrateur lui, a tout essayé... Médecin, Psy, rien... Absolument rien ne lui a calmé son mal... Si ce n'est une très grande introspection...



On dit souvent "j'en ai plein le dos", sans savoir ce que cela signifie vraiment. Notre corps nous parle, à nous de savoir l'écouter...



Une lecture agréable, qui m'a beaucoup fait rire ; les situations dans lesquelles se trouve le narrateur sont tellement risibles...
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Je vais mieux

Je n'ai pas vraiment aimé cette lecture, même si je n'ai rien à reprocher au message véhiculé par l'auteur.



Le personnage principal m'a tellement énervé du début à la fin. A la limite de l'hystérie, à toujours se positionner comme une victime, au final il se remet très peu en question.

L'écriture, par le fait que le libre soit écrit en "je", me paraissait tellement d'utile, simple. Mais pouvait-on attendre quelque chose de différent, lorsque l'histoire est censée être écrite par un personnage comme décrit ci-avant ?



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La Vie heureuse

La vie heureuse ou "crise de la cinquantaine mode d'emploie". C'est mon premier Foenkinos donc je sais pas trop quoi en penser. Je peux pas dire que c'est une lecture qui m'aura marqué mais j'ai pas boudé mon plaisir. La lecture m'a pris une semaine et c'est je pense le point majeur de ce livre : ça se lit vite. Pas de grands enjeux autant au niveau vital pour les personnages que pour le monde dans lequel ils vivent, on peut pas non plus dire qu'on s'attache vraiment à eux. Par une chose que sait très bien faire l'auteur dans son livre, décrire le monde actuel et les postes à haute responsabilité.



En bref, c'est bien mais vous attendez pas à un chef d'œuvre.
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La délicatesse

J'ai dévoré ce roman, le premier que je lis de David Foenkinos. J'ai apprécié sa plume, un style très original. L'écriture est dynamique, drôle et l'usage des références est très malin.

Quant à l'histoire elle reste assez simple, mais David Foenkinos réussit à nous fasciner et nous garder en haleine jusqu'à la dernière page.

Je noterais toutefois quelques longueurs au milieu de l'histoire, mais rien qui ne gâche cette lecture délicieuse.
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Charlotte

Mon appréciation sur ce livre est un peu faussée car je l’ai lu après avoir vu un très bon documentaire sur Charlotte Salomon, Je n’ai donc pas découvert son histoire avec le livre c’est dommage. Néanmoins, le livre ne m’a pas déçue. J’ai particulièrement apprécié le mode narratif.
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Charlotte

L'écriture de Foenkinos est ce qui marque en premier lieu dans ce roman, Charlotte. Deux cent pages constituées uniquement de petits paragraphes, eux-mêmes constitués de petites phrases. Alors, quel talent littéraire faut-il pour extraire une si grande puissance d'un cadre si formel et dépourvu d'artifices ? Quel talent littéraire faut-il pour nous emmener avec autant d'intensité parcourir la vie de Charlotte Salomon ? Quel talent littéraire faut-il pour transmettre autant d'émotions, d'attachement ? Sans aucune doute, celui de David Foenkinos.
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La Vie heureuse

« La vie heureuse », utopie de solution miracle pour soulager le mal de vivre de gens riches et branchés.



Il a des romans dystopiques qui racontent les malheurs du monde, famines, guerres et bouleversements climatiques, et il y a ce roman où le malheur serait plutôt l’ennui des riches.



- Ceux qui voyagent à travers le monde en première classe.



- Ceux qui sont remerciés de leur poste, mais n’ont jamais d’inquiétudes de fin de mois, et grâce à leurs contacts, trouvent un travail plus intéressant.

- Ceux qui peuvent voir la beauté des grandes œuvres en visitant les musées en dehors des heures d’ouverture.



Bien sûr, on nous répète qu’ils ont travaillé très fort, ne comptant pas leurs heures et sacrifiant leur vie de famille. Mais ils sont aussi parfaitement égoïstes et déconnectés de la réalité.



Le héros peut même créer une entreprise et ouvrir de nouvelles succursales sans aucune anicroche, en trouvant tout le personnel de confiance nécessaire.



La prose est belle, les pages tournent facilement. L’idée de visualiser sa propre mort et de faire une sorte de deuil de soi n’est pas inintéressante, mais j’attendais davantage d’un auteur confirmé.
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La délicatesse

Imaginez, votre collègue s'appelle Marie et elle est du signe astrologique Vierge. Ça vous fait sourire ? Moi aussi. La blague est légère, mais elle fait mouche. Ce roman est rempli de petites drôleries de ce genre et ça fait du bien.

Notes de bas de pages loufoques, références culturelles tarabiscotées (saviez vous que Ulrich Voigt à remporté le championnat de puzzle en 2008), dialogues sagaces, ont chatouillé mes zigomatiques à chaque page.

Pourtant, le thème de ce roman ne prête pas à sourire au premier abord...



Nathalie est :

- d'une beauté indéniable en toutes circonstances,

- une professionnelle exemplaire,

- une lectrice assidue,

- ... veuve.



Markus a :

- un physique plutot disgracieux,

- un sens de la répartie efficace,

- un manque de confiance en lui monumental.



Ces 2 êtres semblent n'avoir qu'un point en commun : la filiale Suédoise dans laquelle ils travaillent. Pour eux, l'amour n'est plus une option, cela fait longtemps que l'idée même d'aimer et d'être aimer n'existe plus dans leur esprit.

Jusqu'au jour où un acte aussi instinctif que soudain les rapproche, lui, l'homme sur qui personne ne mise et elle, vers qui tous les regards se tournent (contre sa volonté).



La délicatesse c'est léger, touchant, drôle, parfois révoltant (#metoo avant l'heure). C'est un roman qui fait du bien, sans prétention.



Une image m'est venue en tête durant ma lecture : la scène d'introduction du film Le fabuleux destin d'Amélie Poulain. Cette façon d'accumuler les anecdotes farfelues qui mises bout à bout construisent une belle image qu'on veut regarder en boucle.



J'ai vraiment adoré cette lecture et je me suis d'ores et déjà procuré un autre Foenkinos pour réitérer l'expérience (#NumeroDeux).
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Charlotte

Une quête personnelle et particulièrement émouvante de l'auteur qui fait revivre, sous sa plume délicate, le récit tragique de la vie de Charlotte Salomon.

Ce livre bouleversant témoigne de l'amour presque identitaire de David Foenkinos pour cette artiste.

A lire absolument
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La Vie heureuse

L'histoire est originale et d'une belle fraîcheur, les personnages sont atypiques surtout le protagoniste. Le roman est bien écrit. J'ai trouvé la fin un peu trop évidente et aurais aimé quelques autres rebondissements mais je suis contente par cette agréable lecture.
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La Vie heureuse

L'année dernière, j'avais rencontré la plume de cet auteur avec "Numéro 2", que j'avais bien aimé. J'ai donc voulu continuer la découverte. Et comme le résumé était sibyllin... Je ne savais absolument pas ce que j'allais trouver dans ces pages.



L'impression finale est assez étrange.



Je n'ai pas spécialement accroché aux personnages, je suis restée un peu à distance. Au départ, malgré l'écriture agréable, je me demandais où l'auteur voulait m'emmener. Les vies d'Amélie et d'Éric me paraissaient très mornes et déprimantes, routinières, assez vides au final.



Puis vient la Corée, et ce qu'il découvre, au point d'en être changé profondément.

A partir de là, je me suis laissée portée par la narration. J'ai trouvé l'idée développée par "Happy Life" intéressante, et j'ai apprécié la manière dont l'expérience est racontée. C'est assez doux malgré le thème. Même si j'ai été un peu moins convaincue par la dernière partie, un peu plate à mon goût. Sans surprise et un peu attendue : on voit venir la fin.



Pour être honnête, je ne sais pas si je m'en souviendrai longtemps, il ne fera sûrement pas partie des romans qui m'auront marquée. Mais, le temps d'une lecture, j'ai eu l'impression de mettre sur pause dans un quotidien bien rythmé. Même si je pense que j'en attendais un peu plus, d'une certaine façon c'était un moment apaisant



Et ça n'est pas une sensation désagréable.
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Numéro deux

Quel bonheur de me replonger dans un livre de David Foenkinos ! Il a toujours cet humour, cette espièglerie pleine de tendresse pour ses personnages, ce côté doux-amer qui me charme bien souvent. Et en plus, l'idée de départ de cette fiction était vraiment alléchante, voir géniale : la malédiction de la position de second. Que faire avec ce presque succès, surtout lorsqu'il s'agit du rôle du célèbre Harry Potter qui a jeté un sort sur le petit Martin ?

Je suis tombée dans la marmite tête baissée et j'ai dévoré ce roman. Pourtant, je n'ai mis que 4 étoiles car l'auteur avait perdu sa baguette magique dans la 2eme partie du livre où l'histoire traîne un peu en longueur et l'issue est jolie mais un peu prévisible.

Ce qui est amusant (sauf pour l'acteur) c'est que la carrière de Daniel Radcliffe n'a jamais véritablement décollée et qu'il n'a jamais pu faire disparaître l'image de ce héros : Harry Potter l'a donc ensorcelé lui aussi !
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Le mystère Henri Pick

J'avais beaucoup aimé "La délicatesse", été très touché par "Charlotte", mais cette fois, honnêtement je n'ai pas accroché avec le roman. Alors pourquoi me direz vous ? Les personnages ne m'ont pas fait rêver par une bonne description de leurs aspects extérieurs ni aucune mention de paysages, de mer En se promenant sur la plage dans les environs de Crozon une fille ne peut-elle pas ôter ses chaussures , me faire rêver en marchant pieds nus, le sable entre ses orteils non ? Je pense que ça m'a manqué, sinon l'intrigue est bien écrite arrivé à la fin, bien expliquée. Je n'ai mis que trois étoiles.
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Charlotte

Une relecture 10 ans plus tard ! Bouleversante, passionnante, admirative. Un roman sur le destin tragique d'une jeune femme juive allemande, née dans un excellent milieu, père médecin renommé, belle-mère cantatrice célèbre, bonne éducation. Hélas les fées n'ont jamais dû se pencher sur son berceau, les schémas ancestraux sont violents, suicide de sa mère, de sa tante, plus tard de sa grand-mère, l'époque ne l'est pas moins, grandir et arriver à 20 ans en pleine montée du nazisme, et de l'antisémitisme d'abord insidieux, puis, hélas, nous connaissons la suite. Ce roman m'a scotchée littéralement. Pas uniquement en raison du parcours de Charlotte, mais par la façon de nous le raconter : tout s'entremêle, l'histoire, la création, les relations entre les êtres, l'horreur de la négation de certains qui ne méritent pas de vivre pour qui pour quoi, l'amour, la relégation, l'anéantissement, la recherche de l'auteur sur cette vie brisée, la simplicité du langage pour nous relater une existence sans doute pas celle de tout un chacun. Avec quelques plages paisibles grâce à la bonté, l'altruisme de certains qui ont permis à Charlotte de s'exprimer dans son art.Un roman qui se lie à plusieurs niveaux, dont le plus important me paraît être celui de la création quelles que soient les circonstances. Un grand roman à tous points de vue
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La délicatesse

Cette romance contemporaine raconte l’histoire de Nathalie, qui après avoir vécu une vie maritale de plusieurs années avec François, devient veuve. Elle fait son deuil de par elle-même et semble intouchable par les autres hommes. Jusqu’à ce que Markus, qui paraissait invisible aux yeux de tous, entre dans sa vie et dans son cœur.



Ce fut une œuvre qui me fit sortir de ma zone de confort puisque la romance est loin d’être mon genre de prédilection. Alors que j’ai été agréablement surprise au début de ma lecture, mon avis a dégringolé au fur et à mesure que les pages défilaient… Le résumé me laissait entendre une véritable séduction, petit à petit, doucement et délicatement. Pourtant, j’ai trouvé que cet amour arrive trop brusquement, presque grotesquement. C’était si peu délicat à mes yeux et je n’ai pas aimé cette “spontanéité” que j’ai trouvée peu crédible, juste une facilité. Peut-être que j’ai trop cette idée de l’amour qui se construit petit à petit ?



Cependant, j’aime beaucoup l’écriture de Foenkinos. Tout du moins, au début. La manière dont il décrit ses personnages, les petites anecdotes disséminées çà et là. Il aborde des thèmes forts tels que le deuil et les répercussions d’une mort. J’ai trouvé qu’il écrivait avec beaucoup de vérité les choses, que ce soit ces petites spécificités sur les couples, sur les gens.



Néanmoins, alors que je m’étais attachée aux personnages dès le début, je m'en suis détachée au fur et à mesure de ma lecture. L’histoire et ses personnages sont devenus de moins en moins touchants. Cela aurait été probablement différent, si Markus avait été mieux présenté et construit avant d’entrer dans le vif du sujet. J’en viens même à préférer l’histoire d’amour entre Nathalie et François, qui dure quelques pages, que celle principale entre Nathalie et Markus.



Personnages, qui ont aussi cessé d’être intéressants à mesure que je les ai découverts. Je me suis retrouvée au début en Nathalie : sa joie de rire et de lire, mais en préférant les histoires tristes, une enfance sans heurts. Mais j’ai trouvé Markus si peu intéressant, limite agaçant avec sa transparence et sa banalité qu’il ne cessait de mentionner comme étant son seul trait de caractère. Ou encore Charles et sa lourdeur, son irrespect qui laisse transparaître un manque d’amour.



En conclusion, une grande déception à mesure que je tournais les pages. Des attentes de délicatesse et de patience, mais un amour que j’ai trouvé brutal et grotesque. Les personnages qui au début avaient mon cœur, ont fini par ne plus m’intéresser et me toucher. Pourtant, j’ai aimé l’écriture de Foenkinos.

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La délicatesse

C'est le troisième et sans doute le dernier livre de David Foenkinos que je lirai car vraiment je n'apprécie pas.

J'avais vu le film tiré de ce livre il y a quelques années, je connaissais donc l'idée centrale.

Mais c'est surtout le style de l'auteur qui ne me plait pas. L'écriture est pleine de "tics" qui alourdissent le texte, c'est pataud, lourd, bête.

Il y a d'abord ces remarques insipides qui figurent comme des notes de bas de page. Exemple : ... la nostalgie de Nathalie. Note de bas de page : "j'ai d'ailleurs remarqué que les Nathalie sont souvent nostalgiques".

Et, plus que régulièrement, des "inter chapitres" niais qui n'apportent de mon point de vue rien à l'histoire, inutiles, souvent très bêtes (la recette du risotto aux asperges, la liste des chansons que John Lennon aurait pu écrire, etc.).

Et enfin, il y a tout au long du texte, des banalités affligeantes, des remarques insipides :

"Markus était fragile. Mais cette fragilité pouvait aussi être sa force".

Quant à l'histoire ... je regrette que ses personnages soient surtout des personnages fantasmés et pas des "vraies" personnes. En particulier, les femmes. Nathalie est belle, mince, discrète, charmante. Même quand elle vit un drame horrible. Au contraire, la tristesse "aggrave considérablement son potentiel érotique". Malgré le chagrin et le malheur, elle continue de se maquiller "il suffit parfois de se maquiller pour paraître vivante".

Cet auteur n'aime pas les femmes, il aime l'idée qu'il s'en fait, bref un fantasme.

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Vers la beauté

Ce livre est construit autour de deux histoires traitées successivement : celle d'un professeur d'histoire de l'art qui abandonne bizarrement son métier pour celui de gardien de musée ; celle d'une très jeune femme qui se passionne pour la peinture. Les deux personnages sont reliés par une tragédie.

Foenkinos reprend les thèmes de Charlotte : la peinture face aux épreuves de la vie, l'art comme consolation ou comme rédemption. Pourquoi pas ? Mais il traite ce sujet de façon appliquée, scolaire et convenue. Des notes de bas de page absurdes, un gag récurrent lourdingue sur le nom du personnage principal et des aphorismes qui tombent à plat transforment ce voyage vers la beauté en une balade dans un paysage mille fois exploré et un peu monotone.
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La délicatesse

J'ai lu ce livre en Février mois de l’amour … l’occasion pour moi de lire un 2ème roman de David Foenkinos (et oui je découvre cet auteur très tardivement).

Celui ci est bien à l’image de son titre, une histoire toute en délicatesse et finesse. Avec une petite note d’humour et quelques « digressions » très atypiques. Un bon moment de lecture
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La Vie heureuse

La vie heureuse de David Foenkinos est un bon roman qui se lit rapidement.

C'est l'histoire d'Eric, divorcé et père d'Hugo, son ex-femme gère tout , lui est accaparé par son travail à Decathlon où il a gravit les échelons au détriment de sa vie personnelle.

Une ancienne camarade de lycée lui propose de la rejoindre dans son équipe au sein du cabinet du secrétaire d'état au commerce extérieur. Beaucoup de déplacements et lors d'un voyage à Séoul, sa vie va être bouleversée par une expérience de confrontation à la mort avec un enterrement fictif.

Il change alors totalement de vie et va créer un institut du même style en France.

La première partie est un peu longue mais ensuite c'est un plaisir de lire cette histoire captivante.
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Charlotte

Comme 5ème livre de David Foenkinos, affriolé par le synopsis, et conforté par les critiques dithyrambiques, j'ai opté pour "Charlotte".



Immédiatement surpris, puis très vite agacé, par le style "point à la ligne" de chacune des phrases, j'ai vérifié que ce style allait perdurer jusqu'à la dernière page, et décidé, à regret, d'abandonner Charlotte à ses déboires.



Pourtant, l'ennui de plusieurs lectures abandonnées m'a conduit à reprendre celle de Charlotte et... bien m'en a pris : quand, insidieusement, l'auteur explique au lecteur le pourquoi de ce style si particulier, ce fut l'apothéose !



La biographie de Charlotte Salomon, totalement inconnue de moi, soeur de coeur d'Anne Frank, mondialement connue par son journal, est un vrai bonheur de lecture ! Tout en conservant la froideur de son style télégraphique, qui est sa marque de fabrique, l'humour en moins, l'auteur nous rend son héroïne terriblement attachante.



Comme beaucoup de lecteur qui ont apprécié cette performance d'auteur, je vais tenter de me procurer "Vie ? ou théâtre ?" de cette artiste au destin si tragique.



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