David Foenkinos

Voilà une vie et une femme qui méritent d’être racontées.

Charlotte Salomon.

La petite fille qui perdait sa mère.

L’adolescente rudement mise à l’épreuve.

La femme follement amoureuse.

L’artiste déchue.



La quête de l’auteur est captivante, et la plume est particulièrement belle dans ce livre. On y ressent tout. Le drame d’une famille sur plusieurs générations, la cruauté de la guerre, l’injustice, l’amour fou. David Foenkinos se surpasse; c’est un texte éblouissant. Le portrait saisissant d’une artiste au talent et au parcours exceptionnels, écrit d’une main de maître.

J'ai terminé ce roman il y a quelques jours....et il ne m'en reste rien . Je me souviens à peine de l'intrigue . Oui, c'est très présent à lire et je l'ai dévoré . Pourquoi pas cet histoire , ces rebondissements et cet homme qui finit pzr trouver le bonheur en proposant des simulacres d'enterrement .

Tout y est , le monde du travail , les difficultés du couple , la paternité , la relation à la vieille mère ! Parfait !

Je suis pas hyper fan de l'écriture de l'auteur, mais je dois avouer que j'ai beaucoup aimé celui-ci. Il est d'une écriture fluide et se lit assez rapidement.



J'ai beaucoup ris, et avec une fin inattendue j'ai rien vu venir.



On pars à Crozon, en Bretagne, à la bibliothèque municipale. Là-bas il y a les livres refusés.

Des manuscrits qui ont tous été refuse par les maisons d'édition. La seule condition, c'est de l'apporter soi-même.



Une jeue éditrice trouve un livre sur cette étagère le lis, et décide de le faire publier, car c'est un livre pépite à éditer ! Il reste à trouver l'auteur. Qui est Henri Pick ?



L'éditrice et son compagnon vont tout tenter pour le trouver, et ainsi surfer encore plus sur le buzz et hype que c'est créer autours de ce livre et de la bibliothèque des livres refusés.



Un filn est sortie je serai curieuse de le regarder !



Une vraie comédie, avec une réelle intrigue, j'ai passe un moment très sympa avec ce roman. C'était une belle lecture !

Un livre rempli de réflexion autour de la vieillesse, rédigé avec humour et sérieux a la fois. Des citations merveilleuses.

Cet auteur a la faculté de nous surprendre avec une plume différente à chacun de ses romans, pour autant, on reconnaît bien quand c'est lui qui écrit.

À lire et relire !

Un roman qui m’a réconciliée avec David Foenkinos!

Eric, jeune quadragénaire s’ennuie chez Décathlon. Lorsqu’il est contacté par Amélie, camarade de lycée directrice de cabinet d’un ministre, il accepte cette nouvelle vie. Mais un jour, lors d’un déplacement à Séoul, Éric bascule.

Entre sourires et interrogations , l’auteur nous pousse à réfléchir sur le sens de la vie de façon assez subtile.

Un très bon moment de lecture.

Un livre qui se lit d’un trait, qui parle de rencontres, de ce qui sépare les êtres et en fait se rencontrer d’autres et s’aimer au gré des épreuves personnelles que chacun traverse.

D Foenkinos décrit avec humanité notre quête individuelle du bonheur et de l’être, et livre avec délicatesse ;) que c’est en devenant qui l’on est qu’on peut exprimer un amour véritable.

C’est bien écrit, rythmé, certaines formules sont bien trouvées. Les personnages principaux sont consistants, plus dans leurs combats intérieurs que dans leur caractère par certains aspects agaçants, mais c’est aussi ce qui rend leur fragilité attachante et fait le terrain de l’histoire. Un vrai plaisir de lecture.

Une bonne surprise ! Mathilde se fait larguer par l’homme de sa vie et tombe en dépression révélant une nature inquiétante. Sa sœur Agathe l’accueille au sein de son foyer pour l’aider à se reconstruire mais malheureusement , cette décision sera fatale aux deux sœurs. J’ai bien aimé ce livre lu en une soirée. L’écriture comme toujours est fluide, limpide et la tension monte progressivement au sein de ce huit clos familial au sein duquel on sent que cela va mal finir mais sans savoir vraiment sous quelle forme. J’ai trouvé intéressant la métamorphose de mathilde sous le coup de la tristesse et de la dépression qui modifie le prisme de sa vision des autres , du ressenti de ses sentiments, de sa perception de la vie. J’ai bien aimé aussi la description de l état dépressif et de ses différentes étapes . Glaçant!

J'ai dévoré ce livre, n'arrivant plus à m'arrêter tellement j'étais captivée par cette histoire. C'est beau, c'est léger, simple et envoûtant.

On s'attache très vite aux deux personnages, aussi touchant l'un que l'autre dans leur singularité et dans leur frasque.

Eric après des années d'employé modèle et un bon poste chez Décathlon décide de changer de vie et accepte de travailler pour Amélie une ancienne collègue de lycée qu'il n'a pas vu depuis des années.

Son nouvel emploi va le mener jusqu'à Séoul ou sa vie ça prendre un grand tournant. Un sujet auquel je ne m'attendais pas du tout, original et surprenant. J'aime beaucoup la plume de Foenkinos et je n'ai pas été déçue. Un sujet qui fait réfléchir sur le sens de notre vie et surtout sur nos actions.

Malgré son titre, ce roman n’a rien d’un feelgood et on le comprends assez rapidement.

Mon ressenti est assez partagé.



D’un côté une analyse assez juste de notre société moderne, de ce rythme qu’on s’impose, de nos choix de vie… de leurs conséquences.

De l’autre un « concept » thérapeutique qui personnellement m’a totalement dépassé.



L’écriture est fluide et on se laisse comme toujours facilement emporté, mais ce ne sera pas mon préféré de Foenkinos.

Dans ce livre, on suit en parallèle l’histoire de la famille Martin et l’histoire de l’auteur (pourquoi/cmt il écrit ce roman, comment ça résonne avec son histoire…).

C’est donc très original dans sa forme narrative. Certains passages m’ont fait beaucoup rire. Il se lit très facilement !

La plume de Foenkinos est une de celles que je préfère.

Il a le don de déposer au fil de ses récit des phrases qui m'élèvent, qui me donnent une expérience de lecture comme peu réussissent à le faire. Foenkinos a le talent de savoir séduire avec ses mots. Un auteur qui serait capable de me faire tomber amoureuse s'il s'y mettait.



Avec la famille Martin, j'ai cherché cette cette sensation, cet emballement par les mots... Rien. Je n'ai pas été séduite. Le récit ne surprend pas, il est prévisible, tout est un peu plat. Je n'ai pas réussi à trouver dans les personnages comme chez le narrateur, ce petit je ne sais quoi qui accroche.

J'ouvrirai quand même son prochain livre sur ma PAL avec enthousiasme.

Une promesse, mais qui ne m’a pas enthousiasme à toutes les pages.

Plusieurs parties dans ce livre. La première est intéressante. On trouve quelques longueurs dans les autres. Et on se réconcilie avec la fin.

Une lecture qui se fait facilement, mais je reste septique. Cela n’en reste pas moins un bon sujet: être le numéro deux. Un thème qui parle à tout le monde à un moment dans leur vie

Adolescent, Éric se tord la cheville lors d'un match de tennis. Il demande alors à son père de venir le chercher. En chemin, ce dernier trouve la mort dans un accident. Éric se considère comme responsable pour le reste de sa vie, d'autant plus que sa mère le lui rapproche constamment.

Éric est devenu un adulte toujours soucieux d'autrui et de l'image qu'il donne. Il arrive à un moment de son existence où il se sent proche du burn-out. En gravissant les échelons de l’entreprise, il en est devenu le directeur. A présent, alors qu'il s'investit toujours autant, il a l'impression d'avoir atteint une limite. Aussi, lorsqu’Amélie, une ancienne condisciple, lui propose de venir travailler avec elle au ministère, il se jette à l'eau et accepte ce défi. Il se lance à corps perdu dans cette nouvelle fonction jusqu'à épuisement.

Son épouse le trouve trop investi dans son travail et pas assez dans sa famille. Il traîne toujours son spleen. Alors elle le quitte pour un autre.

Lors d'un voyage professionnel à Séoul, Éric va vivre une expérience initiatique et ésotérique qui le bouleverse. La proximité de la mort pourrait-elle nous révéler à nous-mêmes ? Réussir à changer le regard que l'on porte sur les êtres, les choses et sur soi ? Pousser à s'accorder l'attention que l'on s’est toujours refusée ?

Il plaque tout à Séoul, laissant sa supérieure en plan avec d'éventuels investisseurs qu’il devait informer. De retour en France, et s'inspirant de l'expérience vécue en Corée, il va créer une entreprise similaire qui rapidement connaîtra un engouement .

J'ai beaucoup aimé ce superbe roman dont l'auteur a une très belle écriture.

"oui, la beauté apaise"... dit Camille, l'héroïne du livre !!!

Dans ce roman, l'abjection d'un professeur s'opose à la bienveillance de tous les autres personnages... Ce livre décrit, à travers la recherche de la beauté dans l'art, et la recherche d'absolu de Camille, une histoire tragique où deux enseignants mettront leur talent, l'un au service du mal et l'autre à l'épanouissement de l'élève...

Un roman court, fort qui nous emmène dans les tréfonds de l'âme humaine rappelant peut être le cri de Munch.

Je poursuis mon rallye littéraire « Foenkinos » avec beaucoup d’enthousiasme !



Malgré quelques longueurs, j’ai apprécié l’histoire ainsi que ses protagonistes. Un « morceau de vie » raconté avec beaucoup d’authenticité, d’humour et d’émotions.



Un roman qui parlera sans aucun doute aux quadragénaires en crise (rires)

L’auteur nous plonge dans l’histoire de Charlotte Salomon avant même que celle-ci vienne au monde.

La première partie va nous permettre de comprendre pourquoi sa mère va choisir ce prénom mais aussi la difficulté certaine de devoir le porter. Je me suis d’emblée dit que cette petite Charlotte partait dans la vie avec un certain nombre de bagages et une lourde histoire. Elle portera à vie le fardeau de ce poids.

Son histoire à travers la Seconde Guerre Mondiale m’a beaucoup touchée.

Elle n’aura pas eu la vie facile. En plus de l’époque, elle s’est retrouvée à vivre dans un environnement de mensonge - elle n’apprend que très tard les conditions de la mort de sa propre mère -, de pression constante quant à la santé mentale de sa grand-mère chez qui elle se réfugie.

La merveilleuse édition que j’ai eu la chance d’acheter au salon du livres de Paris m’a littéralement transporté à travers les peintures de Charlotte - ses peintures qui retracent toute son histoire, ses ressentis. Le fait de les ajouter au roman m’a permis de me projeter totalement dans son histoire. L’écriture est fluide, le choix d’écrire une phrase par ligne rend la lecture aérée et vraiment très agréable.

J’ai beaucoup aimé découvrir ce titre à travers l'édition illustrée.

Intriguée par l’histoire de ce « Numéro deux », celui qui aurait pu être Harry Potter, je me suis intéressée à ce roman (en bonne fan de HP ).





Mais je n’ai pas du tout accroché à ce personnage, malmené par son auteur du début à la fin. 

Je n’ai pas réussi à entrer dans l’histoire, qui a pourtant un certain potentiel. 


Martin devient insupportable au fil des pages, cet « échec » qu’il ressasse tout au long de sa vie devient pénible, ce qui rend l’histoire peu crédible au final.





L’auteur donne l’impression d’avoir surfé sur la vague Potter pour donner un peu d’intérêt à son livre.





Je n’ai donc, au final, eu que peu d’intérêt pour cette lecture, que j’ai failli abandonner à plusieurs reprises. 


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Après avoir beaucoup entendu parler de David Foenkinos comme étant l’un des romanciers contemporains incontournable, j’ai eu envie de le découvrir afin de me faire mon propre avis. Malheureusement, je n’aurais peut-être pas dû commencer par « Deux sœurs » dont le thème au premier abord me touchait particulièrement. Ce fut une lecture difficile que j’ai eu du mal à terminer, malgré sa petite taille (moins de 200 pages).



Dans ce récit nous assistons à la descente aux enfers de Mathilde, jeune professeure de français qui avait tout pour être heureuse. En couple depuis cinq ans, elle allait enfin se marier avec l’homme qu’elle aime tant. Mais tout bascule lorsqu’Étienne décide de la quitter sans lui donner de véritables explications. Les événements se suivent alors rapidement, Mathilde perd son emploi et se voit contrainte de quitter son logement.



L’analyse psychologique liée à la rupture est intéressante, nous suivons Mathilde durant différentes phases telles que le choc, le déni ou encore le marchandage. Tout personne ayant déjà vécue une rupture peut se reconnaître dans certaines réactions, ce qui apporte du réalisme au roman. Cependant, Mathilde va rapidement sombrer avant de se rapprocher de la folie. C’est une dimension qui m’a dérangée et que j’ai trouvée malaisante, voire oppressante à certains moments.



Comme son titre l’indique, ce roman aborde également la relation fraternelle qui lie Mathilde et sa sœur Agathe. J’ai néanmoins été déçue car je trouve que leur rapport aurait pu être plus développé. En effet, c’est seulement dans la deuxième partie du livre que Mathilde emménage chez sa sœur, tandis que la première moitié est dédiée à la mise en place du contexte.



La plume de David Foenkinos est quant à elle très singulière et je peux comprendre l’engouement qu’elle génère. Pour ma part, j’ai eu besoin d’un temps d’adaptation car je n’ai pas l’habitude de son style d’écriture qui lui est propre : une narration à la troisième personne, des notes de bas de page pour apporter des précisions ou des touches d’humour (ce qui n’était pas nécessaire à mon sens). J’ai aussi été surprise par la longueur des chapitres qui sont très courts. Seulement une phrase pour certains ! C’est assez particulier, mais on s’y fait vite.



En résumé, je n’ai pas adhéré à cette lecture pour des raisons subjectives. Je pense qu’il est préférable de découvrir cet ouvrage lorsque l’on est dans un bon état d’esprit pour réussir à l’apprécier à sa juste valeur. Pourquoi ne pas retenter l’expérience avec l’un de ses romans plus lumineux pour ne pas m’arrêter sur cette fin ?



2/10

Par le récit de David Foenkinos, replonger dans le phénomène Harry Potter à travers le regard de celui qui a bien faillit incarner le célébre sorcier.

L'histoire est bien écrite et de nombreux bonus (article interview) ancre le récit dans une certaine vraisemblance.

Pour autant, malgré ma passion pour d'autres de ces livres, j'ai trouvé ce livre intéressant mais sans plus.