AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Dan Slott (216)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Spider-Man (v3) n°1 : Spider-Island (1/4)

Je suis de retour sur une revue classique de chez Panini Comics avec un héros Marvel des plus connus : Spider-Man. Suite à la lecture du gros volume sur Spider-Island, j’ai voulu découvrir l’histoire principale de cet arc supposé important de l’année 2011.



Le contenu est évidemment tout acquis au petit Peter Parker : un bon premier épisode d’Avenging Spider-Man, trois épisodes intéressants autour du début de l’arc Spider-Island qui fait le cœur de la revue et un épisode court complètement inutile intitulé Spider-Man : Embauché, où le consternant côtoie notre incompréhension.

Ce dernier exemple condense en lui-même les gros problèmes concernant l’édition illustrés dans ce numéro 1 du nouveau périodique sur le héros arachnéen. Car ici, préparez-vous à trouver des épisodes qui se suivent n’importe comment puisqu’Avenging Spider-Man se lit avant, mais raconte des événements postérieurs à Spider-Island. Vous trouverez aussi des éditoriaux de début et de fin toujours aussi fades (merci Christian Grasse…) et qui ont le malheur, tantôt de ne servir à rien, tantôt de dévoiler des spoilers plus ou moins. Bref, la routine pour Panini, dirait-on ! Enfin, franchement, quel intérêt de publier ce « Spider-Man : Embauché » ? C’est un mini-épisode destiné à montrer aux jeunes New-Yorkais comment trouver un emploi dans leur ville ! Quel intérêt pour nous autres Français ? Ce n’est même pas du chauvinisme, mais du bon sens !

Bon pour le reste, étant peu connaisseur des aventures de Spider-Man, je ne vais pas juger trop vite Dan Slott et Zeb Wells. En revanche, je peux le dire tout de suite : autant j’adhère aux idées et aux styles de Joe Madureira et de Stefano Caselli, autant tout ce qui touche à Humberto Ramos me passe au-dessus ! C’est bancal, parfois tirant sur le manga, parfois sur on-ne-sait-quoi, bref je préfèrerais autant l’éviter.



Bref, encore une déception éditoriale pour moi : Panini renouvelle ces énièmes relaunchs personnels (même si cela pourrait presque, notez le « presque », se justifier pour Spider-Man avec un event et une série qui débute) pour nous concocter une revue franchement bancale alors que la saga Spider-Island mérite bien mieux vu sa qualité scénaristique et graphique ! Heureusement qu’elle est là pour nous faire lire ce numéro 1 ! Et heureusement que je ne suis pas un lecteur assidu de Panini… et heureusement que j’ai choppé ce numéro en occasion…



Commenter  J’apprécie          230
Spider-Man (v3) n°2 : Spider-Island (2/4)

Avec ce deuxième numéro de Spider-Man, au moment d’une énième remise à zéro des revues Panini, nous nous retrouvons au beau milieu de l’arc Spider-Island tout en continuant de suivre l’Avenging Spider-Man (en décalage de quelques mois).



Comme le dévoile la couverture, nous avons le loisir de suivre une belle association entre Spider-Man et de Rulk. Ce dernier perd facilement de son intérêt premier à être du côté des « gentils », mais l’associer ainsi avec le célèbre tisseur compense ce malheureux état de fait. Bref, ce passage m’a plu ; Zeb Wells gère bien son affaire avec ce remake de Spider-Man Team Up, car Spider-Man ne cesse d’accueillir certains Avengers dans ses aventures en solo. Cette association toute de rouge vêtue fonctionne très bien entre malice et force pure.

Concernant l’arc Spider-Island, même s’il ne m’a pas enthousiasmé de masse, nous sommes dans la partie la plus agréable : la situation dégénère, personne ne sait encore comment réagir et nous faisons des découvertes intéressantes. Sans les tie-ins juste à côté, il y a plein d’ingrédients de l’histoire qui passent à la trappe et nous y perdons une bonne part de l’intérêt de ce récit vraiment particulier à suivre. Dan Slott fait sûrement ce qu’il peut pour maintenir tout cela à flot.



Bref, ce numéro deux se laisse lire sans déplaisir mais pêche encore par de nombreux points sans compter les choix litigieux de la part de Panini Comics…



Commenter  J’apprécie          300
Spider-Man (v3) n°3 : Spider-Island (4/4)

Je clôture ma découverte de fond de l’arc Spider-Island par ce troisième numéro du « nouveau » magazine estampillé Spider-Man, bizarrement titré « Spider-Island (4/4). En effet, un ¾ s’est intercalé avec ces numéros, puisqu’il nous faudrait, pour être complétiste, nous pencher sur le Spider-Man Universe n°3… merci Panini, ça fait vraiment magnifique dans une bibliothèque (ironie quand tu nous tiens …) !

Pour revenir au contenu, la fin de Spider-Island se laisse lire sans déplaisir. Nous pardonnerons pour cette fois encore les facilités scénaristiques, notamment au niveau scientifique, mais en même temps il faut bien aider les « gentils » sinon ils ne gagneraient jamais. J’ai trouvé cette résolution simple, mais efficace, un peu (beaucoup !) à l’image de l’ensemble de cet arc d’ailleurs.

Du point de vue d’Avenging Spider-Man qui passe (enfin ?) au second plan, nous retrouvons une énième association : après celle avec Rulk, voici venu le temps pour Spider-Man de s’associer temporairement à Œil-de-Faucon. Au moins, désormais, c’est établi, l’Avenging Spider-Man est un véritable Spider-Man Team Up à l’ancienne ! Pour autant, rien de très réjouissant car la dynamique entre les deux personnages n’est clairement pas motivante, en tout cas pour moi. Le résultat est franchement fade et sans intérêt.



Encore une revue Panini bancale, il faut bien le dire, ou alors c’est moi qui ne correspond plus du tout au public ciblé par ce genre d’opus. Sûrement un peu les deux…



Commenter  J’apprécie          240
Spider-man 2014 06 Spider-Verse 1/4

Voilà, le cross-over spécial Spider-man commence enfin ! Le spider-verse dont nous avons ici le volume 1 sur 4 est vraiment bien fichu. L’intrigue commence avec deux chapitres de Amazing Spider-man ou l’on voit des Spider-mens de tous les univers se réunir pour combattre Morlun, qui les traque dans chaque terre différente.

`

Ensuite quelques petits groupes se forment et partent a droite et à gauche et c’est l’occasion de les découvrir en petit comité (car plus d’une trentaine de spider-man ça fait quand même beaucoup). On suivra donc les aventures de Sider-man 2099, Spider-Woman (qui au passage lance ici son premier numéro) et Lady-Spider.



C’est bien géré, les personnages sont bien présentés et on à pour le coup un parfait point d’entrée dans l’univers du tisseur. De plus, l’intrigue est passionnante et les ennemis sont très charismatiques ! Vivement le prochain numéro !

Commenter  J’apprécie          120
Spider-man 2014 06 Spider-Verse 1/4

Les spider-lecteurs seront ravis de se plonger dans cette saga où Peter Parker, ses clones, ses homonymes, ses différentes versions doivent lutter contre Morlun et les siens !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          00
Spider-man 2014 09 spider-verse 4/4

Un numéro qui vaut surtout pour le final de Spider-Verse. Une conclusion à la hauteur de nos attentes !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          30
Spider-Man 2099 : Spider-verse

Dan Slott et ses acolytes nous régalent avec cette trame complement loufoque au départ, mais qui s'avère fascinante.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          20
Spider-Man 2099 : Spider-verse

L’événement Spider-Verse se poursuit dans ce nouveau numéro, et on retrouve toujours Dan Slott au scénario. Ce qu’il fait depuis un bon moment déjà continue ici de la plus belle des manières car il sait redonner a Spider-Man toutes ses lettres de noblesses.



Pour ce qui est des séries alternatives, il y a du bon et du moins bon, mais globalement on a beaucoup d’histoires de qualités, comme celle sur Spider-Woman par exemple.



Le Spider-Verse poursuit son bonhomme de chemin, et on prends toujours autant de plaisir lors de nos lectures.
Commenter  J’apprécie          170
Spider-man : 3/4 Spider-verse

Cette saga tient ses promesses et nous offre une série de rebondissements, de coups de théâtre et de surprises.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          00
Spider-Man : Renew Your Vows

Vraiment cool comme série! Peter Parker et Mary Jane sont mariés et ont une fille de 8 ans, Annie. Si Annie a obtenu les Spider pouvoirs de son père, MJ les a grâce à son costume qui est relié à celui de Spider-Man. Avec leurs pouvoirs, elles s’invitent parfois (genre toujours) dans les combats, ce qui cause des maux de tête à Spidy qui cherche par tous les moyens à protéger sa famille.



Le graphisme de la série est époustouflant, autant dans le dessin que dans les couleurs. On ressent l’action à plein régime et on saute dans l’histoire dès le départ.



*Le premier bonus du no.1 est hilarant!!! 😀
Lien : https://leschroniqueslittera..
Commenter  J’apprécie          00
Spider-Man : Renew Your Vows

Ce tome contient une histoire complète qui se déroule concomitamment à Secret Wars (version 2015), période pendant laquelle toutes les séries mensuelles se sont arrêtées pour laisser la place à des miniséries liées à cet événement. Il comprend les 5 épisodes de la minisérie du même nom, initialement parus en 2015, écrits par Dan Slott (alors scénariste attitré de la série mensuelle d'Amazing Spider-Man), dessinés par Adam Kubert, encrés par Jonh Dell (épisodes 1 à 3), puis Scott Hanna (épisodes 4 & 5), avec une mise en couleurs de Justin Ponsor.



Sur Battleworld (un monde patchwork créé par Doctor Doom, tout ce qu'il reste de l'univers Marvel), Peter Parker est en train est en train d'effectuer la maintenance sur ses bracelets lance-toile dans sa cuisine, pendant que sa femme Mary Jane donne à manger à Annie May, leur fille. Dans ce coin du Battleworld, Mary Jane et Peter sont toujours mariés. Ce dernier a noté qu'l passe de plus en plus de temps à se battre contre des supercriminels, y compris ceux de Daredevil et ceux d'Iron Fist et encore ceux de Moon Knight. Un soir qu'il est en réunion dans le manoir des Avengers et qu'il appelle MJ pendant la pause, il comprend que Venom s'est introduit chez lui.



Plusieurs années plus tard, cette zone de Batleworld est gouvernée par Regent (Augustus Roman) qui a capturé la quasi-totalité des individus dotés de superpouvoirs Il ne subsiste plus qu'une poignée de résistants (une demi-douzaine) et des anciens superhéros qui vivent dans l'anonymat. Mais quand les enfants Powers (Katie, Alex, Jack et Julia, c'est-à-dire Power Pack) sont repérés dans l'école d'Annie May, Spider-Man doit intervenir, au risque de se faire repérer.



En lisant les titres (Civil war, Old man Logan, Planet Hulk, House of M, etc.) des séries dérivées de Secret War 2015, le lecteur pouvait penser que les éditeurs Marvel avaient raclé les fonds de tiroir, en dépoussiérant tous les titres qui avaient marché dans les décennies précédentes. À la lecture de certains, il apparaît que des auteurs ont fait des efforts pour mettre à profit la liberté donnée par ce contexte essentiellement hors continuité. Il en est ainsi pour Dan Slott qui revient à une époque regrettée par certains lecteurs de Spider-Man, celle où il était encore marié à Mary Jane. Dès le départ, le scénariste ne se contente pas de reproduire un schéma passé, puisqu'il ajoute Annie May, leur fille. Il dispose de 5 épisodes pour montrer la famille de Peter Parker, dans une réalité qui s'apparente à la principale (616), avec quelques différences. Il s'agit donc d'un récit de type "Et si... ?" (What if?), avec une connexion à Secret Wars, mais qu'il est possible de lire sans avoir lu le crossover.



Dan Slott joue le jeu et il a construit une véritable histoire en 5 épisodes, pas un simple prétexte pour meubler, en attendant le nouveau numéro 1 d'une nouvelle série Amazing Spider-Man, après l'omni crossover du moment. Le lecteur a donc le plaisir de revoir la complicité existant entre les 2 époux. Il découvre rapidement une jeune demoiselle sympathique et pleine d'entrain. Le scénariste installe rapidement le contexte : un nouveau supercriminel s'installe dans ce New York, détruit tous les superhéros ou presque et obligent les quelques restants à soit se retirer, soit essayer d'entrer en clandestinité pour résister (sans succès). Rapidement, le lecteur se rend compte que Dan Slott a décidé de raconter une histoire ambitieuse, et qu'il imprime un rythme soutenu. Du coup, il est contraint de parfois privilégier les éléments de l'intrigue, aux dépends du développement des personnages.



Le scénariste raccroche son récit à Secret Wars, par l'objectif de Regent qui souhaite pouvoir être capable de tenir tête à Doctor Doom quand le temps viendra. Il raccroche son récit à l'univers partagé Marvel, avec l'apparition des Avengers (pour expliquer comment Regent s'en débarrasse), avec l'apparition des enfants Powers (Power Pack) et de D-Man (Dennis Dunphy). Il utilise avec pertinence des éléments de l'univers de Spider-Man : 2 apparitions de J. Jonah Jameson, une version des Sinister Six, et bien sûr Venom. C'est donc un régal que de voir les 3 membres de la famille Parker interagir, même si Annie May semble bien évoluée pour son âge, et si Dan Slott est obligé de prendre quelques raccourcis (en particulier le coup final contre Regent, un peu gros à avaler) pour pouvoir raconter toute son histoire dans le nombre de pages qui lui est imparti.



Adam Kubert réalise une bonne prestation du début jusqu'à la fin. Comme souvent le premier épisode est plus impressionnant que le dernier (délais obligent), mais il subsiste de belles images tout du long. Premier enjeu pour ce dessinateur : rendre la famille Parker sympathique. C'est gagné dès la première séquence, où MJ fait manger Annie May sur une table de petite taille, dans un appartement qu'on devine pas vraiment luxueux. Peter a un visage d'adulte, capable d'avoir le sourire aux lèvres, grâce à sa bonne humeur légendaire (même dans l'adversité). Mary Jane est superbe, sans pour autant avoir été transformée en bombe. Slott a pris soin de lui réserver plusieurs scènes d'action, dans lesquelles Kubert la représente vive et audacieuse, sans la barder de muscles surnuméraires.



Le comportement et les postures de MJ la montrent en mère jeune et dynamique, sans pour autant la transformer en un sosie de Black Widow (malgré une couleur de cheveux identique). Adam Kubert hérite de la tâche délicate de faire exister Annie May en tant que jeune enfant dans un premier temps, puis à 8 ans ensuite. Il s'en acquitte bien avec une morphologie réelle d'enfant sans exagération. Par contre, il ne peut faire autrement que de représenter ce que prévoit le scénario, c'est-à-dire une utilisation de ses superpouvoirs comme si elle était déjà une adolescente de 15 ou 16 ans. Cela fait partie des raccourcis utilisés par le scénariste pour terminer son récit dans le temps imparti. Kubert joue bien le jeu avec une apparence juvénile, ce qui fait ressortir le caractère exagéré du parti pris de Slott. C'est également raccord avec l'âge moyen des enfants composant le Power Pack.



Au fil du récit, Adam Kubert doit représenter plusieurs éléments de l'univers partagé Marvel, pour lesquels il dispose d'une petite marge de manœuvre pour légèrement modifier leur apparence. Spider-Man est agile sans être trop svelte. Venom est massif à souhait, sans être aussi répugnant que la version dessinée par Mike Deodato junior dans les Thunderbolts de Warren Ellis. Les Sinister Six (à vous d'en découvrir la composition) sont légèrement modifiés, avec une apparence très sympathique pour certains d'entre eux, à la fois menaçante et efficace. Kubert a également conçu l'apparence de Regent qi évoque fortement l'apparence initiale de Nimrod, un ennemi des X-Men (une sorte de super-sentinelle).



Cette histoire de Peter Parker fournit un bon quota de divertissement, avec le plaisir de le retrouver marié à MJ pleine de caractère et de courage. Dan Slott fait largement plus que le minimum syndical, en utilisant avec intelligence les personnages secondaires de la série, en introduisant un nouvel ennemi, et en se rattachant à l'omni crossover. Néanmoins il raconte son histoire de manière très rapide, étant obligé de sacrifier en crédibilité (pour une histoire de superhéros), et parfois en développement des personnages. Adam Kubert réalise des planches efficaces, et assez denses pour que le lecteur puisse se projeter dans cette version particulière de New York sous la botte d'un dictateur des plus puissants. Entre 3 et 4 étoiles en fonction du niveau d'attente du lecteur, et de sa capacité à accepter quelques licences narratives.



Ce tome comprend également un extrait de 3 pages de Spider-Verse 2, dans lequel 2 Spider-Man issus de réalités différentes papotent le temps de recharger leurs cartouches de fluide. C'est écrit par Dan Slott et dessiné par Ty Templeton. C'est sympathique et sans prétention.



En fin de volume, se trouvent l'ensemble des couvertures variantes, au nombre de 11, réalisées par Skottie Young (toujours impeccable dans sa représentation enfantine des héros, avec une touche d'humour faisant émerger l'une des qualités du récit, ici l'affection que se portent MJ et Peter), J. Scott Campbell (avec MJ les jambes ramenées sous elle, assise dans une canapé, une évocation d'une autre de ses couvertures les plus célèbres), Humberto Ramos, John Tyler Christopher (pour un facsimilé d'Action Figure dont il a le secret), Mike Deodato, Ryan Stegman, Sara Pichelli, Gabriele dell'Otto, Yusuke Murata, Nick Bradshaw, et Joe Quesada (dans une image évoquant le mariage de MJ et Petr dont il fut le responsable de la dissolution). En regardant la liste de ces artistes, le lecteur est frappé par leur qualité, attestant que les éditeurs Marvel ont investi dans cette minisérie.
Commenter  J’apprécie          30
Spider-Man : Spider-Island

Cette fois on passe du côté de l’écurie Marvel, une valeur un peu plus sûre pour moi d’autant plus quand il s’agit de l’araignée. Et néanmoins, là encore la lecture a été une déception. Cet event est pourtant très bien noté. C’est pour cela que je m’attendais à du grand Spiderman mais j’ai trouvé que le scénario manquait de moments forts, dramatiques ou effrayants. Peter n’est jamais en réel danger. Le fil narratif le plus intéressant est celui de Venom et Anti-Venom. La trame de l’homme araignée est elle assez plate et j’avais parfois l’impression de lire une sitcom comique un peu tchip. On ne s’attache pas du tout à la nouvelle petite amie de Peter, Carlie, et de ce fait on ne tremble pas pour elle. Cependant, le concept reste original et permet de dévorer de très belles planches où les nombreux Spiderman envahissent les bulles. D’autre part, le fait de voir Jonah Jameson se transformer en ce qu’il déteste le plus au monde est assez jouissif. Un bilan mitigé.
Lien : http://www.mouton-curieux.fr..
Commenter  J’apprécie          00
Spider-Man : Spider-Island

Sur un coup de tête et une belle opportunité, j’ai craqué pour ce Marvel Monster de chez Panini réunissant plusieurs tie-ins (récits dérivés) de la saga Spider-Island éponyme.



En effet, ne vous attendez pas à découvrir dans ces quelques centaines de pages l’histoire principale de cet arc (il faut fouiller dans les revues Spider-Man et Spider-Man Universe pour cela). Non, ici nous retrouvons des personnages bien (trop même souvent) secondaires par rapport aux aventures du fameux Tisseur. Mais bon, qu’à cela ne tienne, ce sont des histoires dérivées de cette fameuse histoire de Spider-Island alors je m’y suis lancée ! Evidemment comme dans tout recueil de tie-ins comme celui-là, il y a du bon, du moyen et du très mauvais (s’il y avait eu du très bon, il aurait été publié dans une revue, voyons !…).

Avec certaines histoires, on se demande quand même, il faut bien le dire, dans quel but elles ont été vraiment écrites, à part pour occuper des auteurs. Heureusement que le récit sur La Cape et l’Épée est très profond, que celui sur le Maître du Kung-Fu est utile pour l’histoire principale et que celui sur le Chacal est au moins distrayant, car sinon le reste fait parfois pâlir d’ennui, tant au niveau des rebondissements scénaristiques quasi inexistants que de l’originalité graphique totalement absente. Le découpage en de toutes petites mini-séries est ridicule et l’incorporation uniquement commerciale du Punisher est aberrante. Spider-Girl et Spider-Woman (malgré leurs noms assommants) s’en sortent avec les honneurs, notamment cette dernière dans un combat très intéressant contre la Chose.



Bref, peu de cohérence de style, peu d’utilité scénaristique, l’ensemble est vraiment moyen, donc note moyenne ! Panini n’arrange pas les choses avec ce format mi-Select mi-Deluxe : la faible qualité et l’absence de bonus du Select pour le prix élevé du Deluxe, cherchez l’erreur ! Ça m’apprendra à céder devant une aussi magnifique couverture…



Commenter  J’apprécie          300
Spider-Man : Spider-Island

Ce volume vient compléter l'autre volume qui contient l'histoire de Spider-Island. Ici, des personnages secondaires sont mis à l'honneur. On retrouve donc, entre autres, Spider-girl, la Cape et l'Epée, Misty Knight .... bref des personnages que l'on ne retrouve souvent que pour quelques épisodes ou au sein d'une équipe bien définie.

Les histoires ne sont pas toutes d'une qualité égale. Je pense que l'intérêt pour le personnage concerné y fait beaucoup. On apprécie pourtant l'effort des auteurs pour qu'elles forment un tout cohérent avec l'histoire principale de Spider-Island. Une bonne façon de compléter sa connaissance de l'événement.
Commenter  J’apprécie          00
Spider-Man : Spider-Verse

Sans être la grande saga sur Spider-Man, Spider-Verse reste une très bonne surprise, une très bonne lecture et est un excellent divertissement.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          00
Spider-Man : Spider-Verse

Après l’excellent SPIDER ISLAND voici un nouveau « event » de qualité consacré à Spiderman qui, d’ailleurs, servira de base au formidable film d’animation SPIDERMAN NEW GENERATION (« Into the Spider Verse » en version originale).

Après une introduction consacrée au Superior Spider Man (autrement dit Octopus dans le corps de Parker à cette époque), nous entrons dans le vif de sujet avec une patrouille nocturne de Spiderman et Silk, alias Cindy Moon. Cette dernière est une création récente, une jeune fille mordue par la même araignée que Peter et disposant de pouvoirs quelque peu différents. Longtemps prisonnière d’un bunker censé la protéger de Morlun le chasseur « d’araignées », Silk a pris depuis peu son indépendance. Mais soudain surgit une foultitude de héros venus de dimensions parallèles : Mayday Parker (la fille de Peter venue d’un futur alternatif), Spider UK, Spider Woman, Spider Girl, le destroy Spider Punk, le Spider Man Jap’ et son robot géant Leopardon, Gwen (venue elle aussi d’un monde parallèle) et même l’indispensable Spider Cochon. Morlun et sa famille (des sortes de vampires tueurs « d’araignées ») se sont, en effet, lancé dans une entreprise de massacre systématique des différents spidermen. Spider Moon Man (le Parker de la lune) et Bruce Banner (Spiderman, pas Hulk) ont déjà succombés. Pour vaincre Morlun et les autres Héritiers, les spidermen ont besoin d’un Elu (« comme dans Matrix ») et celui-ci n’est autre, évidemment, que « notre » Spiderman, ce bon vieux copain du quartier de notre réalité (la Terre 616 de l’univers Marvel). Une armée se rassemble, comprenant notamment Ultimate Spider Man, Spider Man Noir, Spiderwoman, etc. Mais qui en sera le chef ? Parker ou Octavius, alias Superior Spider Man ?

Scénarisé par le très réputé Dan Slott, cet « event » bénéficie des dessins d’Olivier Coipel et de Giuseppe Camuncoli, lesquels livrent un boulot impeccable en proposant un grand nombre de Spider Men, certains connus, d’autres nettement moins et quelques-uns anecdotiques (de la chair à canon pour les Héritiers). Le grand moment d’émotion surgit lorsqu’apparait le vieillissant Spider-Ben ayant oublié ses fameux principes concernant les grands pouvoirs et les grandes responsabilités.

Le principal méchant de l’intrigue, Morlun, avait précédemment effectué un tour de piste contre Spider-Man (au tout début du XXIème siècle) durant le fameux run de Straczynski. Nous le retrouvons ici accompagné de sa famille et Dan Slott approfondi la mythologie jadis mise en place concernant les Totems. Ezekiel apparait d’ailleurs également.

En plongeant le lecteur directement dans l’action et en multipliant les sous-intrigues avec un tel nombre de protagonistes, SPIDER VERSE réussit parfaitement son pari de divertissement bien ficelé et inventif. Si le lecteur peut se contenter du copieux sommaire de cet épais recueil, les plus acharnés se tourneront sur les fascicules kiosque d’époque incluant les très nombreux épisodes de liaisons d’un intérêt variables (ceux de Spiderwoman et de Spiderman 2099 étant particulièrement réussis).



• Edge of Spider-Verse - Superior Spider-Man #32 (2014)

• Edge of Spider-Verse - Superior Spider-Man #33 (2014)

• Staging Ground-Free Comic Book Day (2014)

• Edge of Spider-Verse - Amazing Spider-Man #7 (2014)

• Edge of Spider-Verse - Amazing Spider-Man #8 (2014)

• Edge Of Spider-Verse - Spider-Man 2099 #5 (2014)

• Spider-Verse - Amazing Spider-Man #9 (2015)

• Spider-Verse - Amazing Spider-Man #10 (2015)

• Spider-Verse - Amazing Spider-Man #11 (2015)

• Spider-Verse - Amazing Spider-Man #12 (2015)

• Spider-Verse - Amazing Spider-Man #13 (2015)

• Spider-Verse - Amazing Spider-Man #14 (2015)

• Spider-Verse - Amazing Spider-Man #15 (2015)


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          10
Spider-man Human Torch: I'm With Stupid

Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre, mais pas complètement de la continuité des personnages. Il comprend les 5 épisodes de la minisérie, initialement parus en 2005, écrits par Dan Slott, dessinés par Ty Templeton. L'encrage a été réalisé par Mark Nelson (épisode 1), Mark Nelson & Tom Palmer (épisodes 2 & 3), Drew Geraci & Tom Palmer (épisodes 4 & 5). La mise en couleurs a été réalisée par le studio Sotocolor (épisodes 1 à 3) et par John Rauch (épisodes 4 & 5). Les couvertures ont été réalisées par Paul Smith.



Épisode 1 - Les Fantastic Four viennent de mettre une pâtée à Mole Man (Harvey Elder) et Johnny Storm a fait parvenir une belle photographie de lui au Daily Bugle avec la promesse que ce haut fait fera l'objet de la une du lendemain. Lorsqu'il ouvre son journal, il constate que J. Jonah Jameson a privilégié un article incendiaire contre Spider-Man, s'étant supposément associé à Mysterio (Quentin Beck). Dans le bureau de Jameson, Peter Parker est en train de se faire mettre minable par Jameson qui refuse ses nouvelles photographies de Spider-Man contre Mysterio. Il quitte son bureau furax, sans même entendre Betty Brant en train de l'appeler. En rentrant chez sa tante May Parker, il trouve Johnny Storm en train de discuter avec elle. Human Torch souhaite embaucher Parker pour faire des photographies de ses combats, afin de redorer son blason dans les pages du Daily Bugle. Premier ennemi : Pierre pot de Colle (Pot Paste Pete, Peter Petruski). Épisode 2 - Human Torch se retrouve en plein ciel face à Vulture (Adrian Toomes) dont il a tôt fait de brûler les ailes, le neutralisant ainsi sur le champ. Peu de temps après, Johnny Storm retrouve Crystal dans le café où se retrouvent également Flash Thompson, Peter Parker, Gwen Stacy et Mary-Jane Watson. Après une petite discussion, Spider-Man accepte de prendre la place de Human Torch dans une mission des Fantastic Four, pendant que Human Torch le replace dans une enquête sur un trafic de drogues.



Épisode 3 - Spider-Man se tient sur le pont de George Washington et s'adresse dans sa tête à Gwen Stacy, décédée depuis peu. Puis il se rend au Baxter Building, où il pénètre en tant que Peter Parker, car il a décroché un stage auprès de Reed Richards, en même temps qu'une deuxième stagiaire Nina Pushnikov. Johnny Storm fait tout ce qu'il peut draguer cette dernière, et se fait rembarrer sèchement à chaque fois. Le soir, Human Torch et Spider-Man se retrouve pour tester la Spider-Mobile dans les rues de New York, bien que Peter Parker n'ait pas son permis. Épisode 4 - Il y a des années de cela, Walter Hardy avait essayé de dérober le masque de cérémonie de T'Chambwe, le premier chef du culte de la Panthère. Au temps présent, Black Cat (Felicia Hardy) demande à Spider-Man de l'aider à voler ledit masque à l'occasion d'une exposition à New York à laquelle sera présent Black Panther (T'Challa). Il refuse, mais Human Torch qui passait par là accepte. Épisode 5 - Comme souvent, Human Torch et Spider-Man se retrouvent au sommet de la statue de la liberté pour papoter, et évoquer le bon vieux temps, sauf celui où c'était le clone de Spider-Man. Aujourd'hui, ils évoquent la prise d'otages qui s'est déroulée le jour même à l'école publique 108, en leur présence, Peter Parker en tant que professeur de chimie, Johnny Storm en tant qu'intervenant extérieur pour évoquer ses propres études.



En 2005, Dan Slott n'a pas encore pris en main la destinée de Spider-Man ou d'autres superhéros comme Silver Surfer. Il hérite donc de cette minisérie, puis d'une série (en 8 épisodes sur The Thing, rééditées dans The Thing & The Human Torch by Dan Slott. Étant devenu un scénariste populaire par la suite, l'éditeur en profite pour rééditer ses œuvres précédents. Cette minisérie est construite d'une manière un peu différente des récits habituels : son thème principal est la relation entre Spider-Man et Johnny Storm, chaque épisode se déroulant à une époque différente. Il reste possible d'envisager cette lecture sans rien connaître au préalable des personnages. Dans cette optique, le lecteur assiste alors à autant d'aventures que d'épisodes, un peu simples, avec un côté enfantin assumé. Spider-Man utilise une stratégie simpliste pour déjouer Doctor Doom, et il se conduit comme un gamin lors de l'expédition avec les Fantastic Four. Les ennemis du troisième épisode semblent sortir d'une autre époque, un groupe de super-singes. D'épisode en épisode, Johnny Storm se conduit comme un dragueur de plus en plus lourd, parfois naïf, par exemple lorsqu'il accepte d'aider Felicia Hardy à commettre un vol. L'amitié qui lie les deux compères Spider-Man et Human Torch est un peu vache, mais finalement très gentille, et souvent touchante.



Pour accompagner ces aventures rapides, Ty Templeton réalise des dessins descriptifs et réalistes (sauf pour les éléments superhéroïques bien sûr), avec un petit degré de simplification. Il ne vise donc pas le photoréalisme, et réalise des planches tout public. Dans le même temps, l'artiste n'est pas dans l'hommage servile : il ne cherche ni à dessiner comme Steve Ditko, ni comme John Romita senior, ni à reproduire des cases apparaissant dans les comics originaux d'où sont tirés certains événements. L'encrage évolue d'un épisode à l'autre, en passant de Mark Nelson à Tom Palmer, puis à Drew Geraci, là encore sans chercher une évocation nostalgique des années 1960 ou 1970. Enfin il n'y a que dans l'épisode 3 que le coloriste se limite à des aplats de couleurs uniformes, mais avec un nuancier beaucoup plus large que ce qui existait dans lesdites décennies. Éventuellement, le lecteur peut estimer que la narration montre des points communs avec celle des années passées, dans la mesure où Templeton ne s'appuie pas sur des cases où les superhéros sont en train poser, ou sur des effets pyrotechniques qui en mettent plein la vue. Il privilégie de raconter l'histoire.



Au fil des épisodes, le lecteur se rend compte qu'il s'agit d'une narration plus dense que la moyenne et qu'il lui faut une fois et demi le temps nécessaire pour lire un numéro contemporain. S'il ne tombe pas en arrêt devant le spectacle pyrotechnique d'une case, ou devant l'intensité mélodramatique d'une autre, il apprécie régulièrement des cases pour ce qu'elles montrent : la masse des monstres de Mole Man plaquant Human Torch au sol, l'aménagement du petit pavillon de tante May, le fou rire inextinguible de Spider-Man face à Pierre pot de colle, l'évidence de la défaite de Vulture dont les ailes sont en train de brûler, la tristesse de sincère de Peter Parker parlant à haute voix sur le pont George Washington, le mépris sur le visage de Nina Pushnikov, les soubresauts de la Spider Mobile, le déguisement inattendu de She-Hulk pour une soirée, ou encore l'incompréhension qui se lit sur le visage de Johnny Storm lorsque Peter Parker lui fait des signes d'intelligence. Ty Templeton ne réalise pas des planches démonstratives ou pyrotechniques, mais ses pages sont en phase avec la tonalité du scénario de Dan Slott.



S'il dispose d'une connaissance des aventures de Spider-Man jusque dans les années 1980, le lecteur découvre un récit thématique qui comprend de nombreuses références auxdites aventures, ainsi que quelques-unes à l'univers partagé Marvel. Dan Slott évoque la première rencontre entre Spider-Man et Doctor Doom, la première visite (non sollicitée) de Spider-Man au Baxter Building, le costume noir, le clone, etc. Il n'effectue pas de rappels en plusieurs cases. Le lecteur observe juste les circonstances qui lui permettent de situer quand se déroule tel épisode en particulier. Il y a quelques éléments qui servent de trame à l'intrigue comme l'existence de la Spider Mobile, la relation de Spider-Man avec Black Cat, ou encore la découverte par Johnny Storm de l'identité secrète de Spider-Man. Le lecteur peut également découvrir de discrets clin d'œil à l'univers partagé Marvel. Par exemple, il sourit forcément en voyant apparaître le nom de Danny Ketch (alors enfant) émerveillé par la Spider Mobile se déplaçant à la verticale sur les murs. Il se sent dans le cercle des initiés également quand Dan Slott met en scène Dorrie Evans, apparue pour la première fois dans le numéro 113 de Strange Tales en octobre 1963.



De séquence en séquence, Dan Slott dresse le portrait de ses deux personnages principaux en les opposant, ou en les faisant se compléter. Le premier épisode permet d'établir leur rivalité, et la jalousie de Johnny Storm vis-à-vis de Peter Parker qui semble avoir une vie de rêve. De manière plus subtile, il apparaît, dans le deuxième épisode, que Peter ne peut qu'envier la vie d'insouciance de Johnny Storm n'ayant pas d'écrasantes responsabilités à assumer, mais bénéficiant également d'aventures auprès d'un scientifique de renommée mondiale. Le lecteur pourrait trouver le comportement de cavaleur de Johnny Storm un peu outré ou trop systématique, mais le scénariste fait bien attention à le rapporter à la quantité de déconvenues qui sont les siennes. La réaction de Johnny en découvrant l'identité secrète de Spider-Man est également très juste et très sensible, et son utilisation du terme de Chance de Parker (Parker's Luck) arrive pile entre les 2 yeux.



Dan Slott et Ty Templeton racontent l'histoire de l'évolution de l'amitié entre Spider-Man et Human Torch, avec une réelle sensibilité, sans passéisme. Ils sont en phase pour une narration dense centrée sur l'objectif de raconter une histoire complète par épisode, et de dresser ainsi le portrait de cette relation par touches successives. Le lecteur néophyte en univers Marvel peut y voir une suite d'histoires gentilles, avec une forme un peu désuète. Le lecteur cultivé en Marvel savoure cette façon de voir les choses, qui ne repose pas sur une nostalgie stérile, ni sur des gros coups de rétro-continuité tombant dans le sensationnalisme. Il peut éventuellement trouver que les auteurs donnent parfois l'impression de se livrer à un exercice de style, honnête avec un soupçon de bons sentiments tout public.
Commenter  J’apprécie          30
Spider-Man nº5

Le final de cette saga nous ouvre de nouvelles perspectives concernant l'avenir du tisseur. Les dessins de Jim Cheung sont fabuleux. Ceux de Camuncoli, toujours aussi efficaces.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          00
Spider-Man, tome 10 : Spider-Verse

Dingo, ce récit complet Spider-man.



Faut imaginer un nombre infini d’univers parallèles chacun avec un spider différent (le Spider-Verse), et une espèce de famille de mangeurs de spidey qui les chasse partout où elle les trouve.

Dan Slott et Olivier Coipel s’en sont donné à cœur joie pour créer des variations de spidey : un spider-Noir issu d’un roman de Raymond Chandler, un spidey cow boy, un spidey cosmique, une Spider Gwen Stacy et même un spidey Porky Pig. Il y en a un nombre incroyable, une vraie fourmilière d’araignées.

Évidemment notre Peter Parker national (comment, il est pas français ?) va être amené à prendre la tête de la cohorte comme Xénophon à la tête des Dix Mille. Ce n’est pas gagné car un autre Spider plus vicieux, un Parker dont la personnalité a été remplacée par un Doc Octopus, compte bien diriger à sa manière et pour son propre intérêt.



C’est fendard. Je l’ai lu d’une traite.

Commenter  J’apprécie          221
Spider-Man, tome 10 : Spider-Verse

Un dernier tome prenant et intéressant, réunissant plusieurs Spiders dans une grande aventure. De l'action, de l'humour, de très belles illustrations. Une chouette série qui se termine, et qui nous en apprend plus sur Spider-Man à travers les années...
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Dan Slott (415)Voir plus

Quiz Voir plus

Patrick Modiano

Né en ...

1925
1935
1945
1955

12 questions
80 lecteurs ont répondu
Thème : Patrick ModianoCréer un quiz sur cet auteur

{* *}