Critiques de Chrystel Duchamp (926)
Fabuleuse lecture. J’ai adoré découvrir à travers ce livre 5 personnages dont leur rôle est important dans l’histoire. Mais attention à vous, malgré tout ce que vous pourriez penser, votre cerveau va être ballotée dans tous les sens. 🤯
Je me suis faite avoir comme une bleue, et deux fois plus quand je me dis que j’avais pensé a qui était le coupable dès le début. Mais alors je ne m’étais absolument pas attendue à une telle mise en scène. Je suis subjuguée par cette façon dont l’auteur s’est jouée de moi ! Franchement chapeau. Et ça permet aussi de voir à quel point on peut être facilement manipulable et malléable ! Cetait incroyablement bien mis en place.
Je me suis faite avoir comme une bleue, et deux fois plus quand je me dis que j’avais pensé a qui était le coupable dès le début. Mais alors je ne m’étais absolument pas attendue à une telle mise en scène. Je suis subjuguée par cette façon dont l’auteur s’est jouée de moi ! Franchement chapeau. Et ça permet aussi de voir à quel point on peut être facilement manipulable et malléable ! Cetait incroyablement bien mis en place.
Mon premier rendez vous avec l'auteure.
Quelle claque!
Déjà faire de la maison une personne à part entière,j'ai trouvé ça original et excellent.
C'est d'ailleurs elle qui ouvre le bal et le termine.
La tragédie qui va se jouer à l'intérieur est rondement bien mené.
Dès le début,on sait qu'il n'y a qu'un survivant mais lequel?
Chaque chapitre est dédié à un des frères ou sœurs et entre 2 passages cruciaux le fameux rescapé mystère qui raconte son histoire de son lit d'hôpital.
Une plume addictive, de la sournoiserie,de la jalousie,des faux semblants font de ce roman une vraie tuerie sans mauvais jeu de mots 😜
Laissez vous tenter par l'histoire des Belasko ^^
Quelle claque!
Déjà faire de la maison une personne à part entière,j'ai trouvé ça original et excellent.
C'est d'ailleurs elle qui ouvre le bal et le termine.
La tragédie qui va se jouer à l'intérieur est rondement bien mené.
Dès le début,on sait qu'il n'y a qu'un survivant mais lequel?
Chaque chapitre est dédié à un des frères ou sœurs et entre 2 passages cruciaux le fameux rescapé mystère qui raconte son histoire de son lit d'hôpital.
Une plume addictive, de la sournoiserie,de la jalousie,des faux semblants font de ce roman une vraie tuerie sans mauvais jeu de mots 😜
Laissez vous tenter par l'histoire des Belasko ^^
Après le sang des Belasko ( un huis clos intrafamilial que j'ai adoré ) et Délivre nous du mal ( que je n'ai pas aimé ) , l'ile des disparus est le 3eme livre que je lis de l'autrice .
Delphine est issue d'une famille très conservatrice , et elle est loin d'être aussi sage que le pensent ses parents .. le soir , elle traine dans les bars et les discothèques et enchaîne les relations . Elle cache son homosexualité à ses parents, orientation sexuelle qu'elle a du mal à assumer au grand jour, même si elle sort d'une relation passionnelle à laquelle elle a mit fin , ce que son ex n'a pas supporté et va harceler Delphine
Un soir , elle va être enlevée à la sortie d'une discothèque.
Elle va être rejointe au bout de quelques jours par une personne à laquelle elle ne s'attendait pas
Une des deux va réussir à s'échapper , l'autre va mourir
Une intrigue qui partait bien , mais assez vite il ya une baisse de rythme, dû notamment au fait qu'il y a une grande part accordée à la vie des différents personnages ( victimes / enquêteur/ profiler et psychotraumatologue) , et comme c'est un roman court ( à peine 300 âges) , il ne reste plus grande place pour l'action et l'enquête , même si l'île des souvenirs est un thriller psychologique .
Le résumé évoque l'intervention d'un profileur et d'une psychotraumatologue, mais j'ai trouvé qu'ils apparaissent tard ( à la moitié du roman pour le premier, encore plus tard pour la deuxième ) .
L'auteure s'attarde beaucoup sur l'histoire personnelle des personnages, plus ou moins intéressantes , et parfois un peu caricaturales , néanmoins ils manquent d'épaisseur . A part pour les victimes , je n'ai ressenti de sympathie particulière envers eux .
Le dénouement se veut original, et il l'est , mais malheureusement pas crédible sur le fond, tiré par les cheveux , je ne suis pas certaine que ce soit que parce que la thématique ne m'intéresse pas particulièrement , et sur la forme , je ne suis pas convaincue sur la manière dont l'auteur est pris à parti .
Pour finir sur une note plus positive , le style d'écriture est plaisant, et l'intrigue ,et le dénouement, sort des sentiers battus.
Delphine est issue d'une famille très conservatrice , et elle est loin d'être aussi sage que le pensent ses parents .. le soir , elle traine dans les bars et les discothèques et enchaîne les relations . Elle cache son homosexualité à ses parents, orientation sexuelle qu'elle a du mal à assumer au grand jour, même si elle sort d'une relation passionnelle à laquelle elle a mit fin , ce que son ex n'a pas supporté et va harceler Delphine
Un soir , elle va être enlevée à la sortie d'une discothèque.
Elle va être rejointe au bout de quelques jours par une personne à laquelle elle ne s'attendait pas
Une des deux va réussir à s'échapper , l'autre va mourir
Une intrigue qui partait bien , mais assez vite il ya une baisse de rythme, dû notamment au fait qu'il y a une grande part accordée à la vie des différents personnages ( victimes / enquêteur/ profiler et psychotraumatologue) , et comme c'est un roman court ( à peine 300 âges) , il ne reste plus grande place pour l'action et l'enquête , même si l'île des souvenirs est un thriller psychologique .
Le résumé évoque l'intervention d'un profileur et d'une psychotraumatologue, mais j'ai trouvé qu'ils apparaissent tard ( à la moitié du roman pour le premier, encore plus tard pour la deuxième ) .
L'auteure s'attarde beaucoup sur l'histoire personnelle des personnages, plus ou moins intéressantes , et parfois un peu caricaturales , néanmoins ils manquent d'épaisseur . A part pour les victimes , je n'ai ressenti de sympathie particulière envers eux .
Le dénouement se veut original, et il l'est , mais malheureusement pas crédible sur le fond, tiré par les cheveux , je ne suis pas certaine que ce soit que parce que la thématique ne m'intéresse pas particulièrement , et sur la forme , je ne suis pas convaincue sur la manière dont l'auteur est pris à parti .
Pour finir sur une note plus positive , le style d'écriture est plaisant, et l'intrigue ,et le dénouement, sort des sentiers battus.
J'ai beaucoup aimé la structure de ce roman. On découvre dans les prologues trois histoires, 3 personnages à une année d'intervalle entre chacun.
Puis l'histoire en trois parties racontent l'enquête de Thomas Missot, ces trois années-là. Enfin, le dénouement se fait avec trois personnages féminins qui nous racontent leur histoire.
L'écriture est soignée, les phrases bien rythmées, les mots choisis avec justesse.
On découvre Thomas l'enquêteur dans sa vie professionnelle mais aussi sa vie personnelle. Contrairement à bien des enquêteurs qui sont des loups solitaires, ce commandant est un papa divorcé qui élève son adolescente avec des hauts et des bas. (et débats aussi ^^).
Concernant le récit, suspense et mystères sont au rendez-vous. L'autrice traite des violences faites aux femmes. Elle mêle avec adresse fait de société, fait divers et enquête romanesque. On ne s'ennuie pas une seule seconde et les personnages sont bien croqués.
J'ai aimé lire ce roman de Chrystel Duchamp et suis impatiente de lire ses autres romans.
Si je mets cinq étoiles au roman mais que je ne vais pas jusqu'au coup de cœur, c'est que le dénouement final est trop violent pour moi. Chrystel Duchamp décrit à la perfection la folie du monde. Le retournement de situation est bien trouvé d'un point de vue narratif mais peu plaisant pour ma sensibilité.
Ça ne m'empêchera pas de suivre les parutions de l'autrice.
Je vous conseille vivement ce roman.
Puis l'histoire en trois parties racontent l'enquête de Thomas Missot, ces trois années-là. Enfin, le dénouement se fait avec trois personnages féminins qui nous racontent leur histoire.
L'écriture est soignée, les phrases bien rythmées, les mots choisis avec justesse.
On découvre Thomas l'enquêteur dans sa vie professionnelle mais aussi sa vie personnelle. Contrairement à bien des enquêteurs qui sont des loups solitaires, ce commandant est un papa divorcé qui élève son adolescente avec des hauts et des bas. (et débats aussi ^^).
Concernant le récit, suspense et mystères sont au rendez-vous. L'autrice traite des violences faites aux femmes. Elle mêle avec adresse fait de société, fait divers et enquête romanesque. On ne s'ennuie pas une seule seconde et les personnages sont bien croqués.
J'ai aimé lire ce roman de Chrystel Duchamp et suis impatiente de lire ses autres romans.
Si je mets cinq étoiles au roman mais que je ne vais pas jusqu'au coup de cœur, c'est que le dénouement final est trop violent pour moi. Chrystel Duchamp décrit à la perfection la folie du monde. Le retournement de situation est bien trouvé d'un point de vue narratif mais peu plaisant pour ma sensibilité.
Ça ne m'empêchera pas de suivre les parutions de l'autrice.
Je vous conseille vivement ce roman.
Après la mort de leur père, les enfants, Philippe, Mathieu, David, Garance et Solène se retrouvent à la maison familiale, isolée, sans connexion téléphonique et Internet pour une ultime soirée afin de lire la dernière lettre de leur père. Une soirée où leur père les informe que leur mère ne s’est pas suicidée.
J’ai rencontré l’autrice au quai du polar à Lyon. Après quelques échanges sur ces livres car je n’avais, encore rien lu de sa part, j’ai fait le choix pour ce huis-clos. Et j’ai fait le bon choix car j’ai avalé ce roman choral en deux jours. Chaque chapitre est dédié à l’un des membres de la fratrie et nous découvrons que tout n’est pas rose. La jalousie, les manipulations, la rancœur et les secrets de famille font surface et cette soirée tourne au drame. Et je vous laisse en découvrir la raison.
J’ai rencontré l’autrice au quai du polar à Lyon. Après quelques échanges sur ces livres car je n’avais, encore rien lu de sa part, j’ai fait le choix pour ce huis-clos. Et j’ai fait le bon choix car j’ai avalé ce roman choral en deux jours. Chaque chapitre est dédié à l’un des membres de la fratrie et nous découvrons que tout n’est pas rose. La jalousie, les manipulations, la rancœur et les secrets de famille font surface et cette soirée tourne au drame. Et je vous laisse en découvrir la raison.
C’est encore un one shot pour ce thriller et quel turn-page !
Un pugilat familial sanguin et psychologiquement intelligent.
Comme à son habitude @chrystel.duchamp nous amadoue avec sa plume douce et pragmatique, nous présente ses personnages si appréciables d’une sorte qui nous fait ressentir de l’empathie et de la compassion.
Ne vous y méprenez pas nous ne sommes pas dans un desperate housewife pour ado, ceci n’est que pour mieux nous faire voltiger dans un melting- pot émotionnel où tout nos repères sont balayés, tués et manipulés !
Une histoire de fratrie où personne ne se serait douté de cette finalité désarçonnée par le machiavélisme de l’auteure !!!
Bonjour à tous ! 😁
🩸Devant un tel engouement pour cette sortie polar, je ne pouvais que me laisser tenter par cette auteure que je n'avais pas encore lu.
J ai tout de suite été prise dans les premiers chapitres.
🧠 La psychologie des personnages à réussi à me plonger dans cette fiction .
Les recherches de l'auteur sur la mémoire sont nombreuses, intéressantes et diversifiés . Freud lui sert d appui à de nombreuses citations qui rythme ses chapitres et réflexions .
🔍Quand est venue le tour de l enquête de faire son apparation, j ai eu peur que la construction narrative (un personnage puis l autre) me lasse mais au contraire, ça m'a permis de rester dans l enquête sans être interrompu par un autre protagonistes .J'ai apprécié.
Delphine, Maelys et Romain sont des personnages que j ai adoré suivre, j étais plongé avec eux, je les découvrais et les trouvais cohérents dans leur univers respectif.
🎨 On apprécie toujours les références culturels et j ai apprécié me retrouve dans une ville que je connais, Lyon et sa région. C'est pas grand chose, mais ça fait toujours un peu plaisir. ☺️J ai apprécié que l'auteure se serve aussi de tableau dans son intrigue.
🔪C'est là , que ça c'est un peu gaté.
La partie du Profiler arrive et je suis un peu frutré de quitter Romain en plein enquête.Je veux rester avec lui.
Mais je reste confiante, jusqu a présent, tout se passe bien.
❓📖Et là, l'auteur nous déverse d un coup un torrent d informations qui semble faire un bloc compact et dur à digérer. Non pas que les infos ne soient pas intéressantes, mais elles tombent comme un cheveux sur la soupe, ne semblent pas triés. Comme si l auteur était énervé, qu elle nous énumérait une suite d arguments pour nous démontrer l importance du profilage. Mais vous n avez pas à nous convaincre, on adore les polars, on croit en la technique du profilage, promis ne nous faites pas de mal !!!
Et là, j ai commencé me détacher du livre, et à regretter Romain et son enquête.
💡Le chapitre suivant avec la dernière intervenante à suivit mon propos sur le précédent. Bcp d infos, beaucoup trop.. jusqu à 40 pages de la fin ou un nouveau personnage ne veut pas trop s intégrer à mon cerveau. Là, repartir avec un autre protagoniste ne m emballe pas, si ce n est que de quitter les pages avec Erwann.
Ce n est bien sur que mon interprétation, mais c est pour cette raison, ce ressenti que j enleve 1 étoile.
Ces 2 Protagonistes ne m ont pas convaincus, ni emballé.
Ces Chapitres m ont au contraire éloignés de l'histoire.
🐿️Heureusement le reste était tellement bon que je lui pardonne facilement.
Surtout que la toute fin est très appréciable. On aime ce genre de fin!
Car c'est une fin qui va au bout de son idée !
Mais comme Chrystel Duchamp nous provoque, 😉je me permet aussi de le faire avec beaucoup de bienveillance "et ba non, tu ne m as pas eu à 100%". Mais... elle m a eu quand même, car je n étais sur de rien.
✅Oui, elle m a eu quand même car je l'ai ouvert ce matin je l ai terminé le soir après le boulot.
Elle m a eu car elle a su aller chercher son thème jusqu au bout, et ça, ça ne peut pas nous frutrer bien au contraire.
C est en prenant des chemins pas facile que le petit point noir c glissé.
Je salue d autant plus la prise de risque de la construction de sa narration.
En tout cas, quand on prend des risques ça paye !
Merci pour cette lecture qui fait du bien. C' est ce que l on attend aussi d un polar. Je découvrirais d autres oeuvres de l auteur avec grand intérêt en tout cas !
Dédicace aux écureuils 🐿 ❤️ !
N oubliez pas, prenez du plaisir à lire
🩸Devant un tel engouement pour cette sortie polar, je ne pouvais que me laisser tenter par cette auteure que je n'avais pas encore lu.
J ai tout de suite été prise dans les premiers chapitres.
🧠 La psychologie des personnages à réussi à me plonger dans cette fiction .
Les recherches de l'auteur sur la mémoire sont nombreuses, intéressantes et diversifiés . Freud lui sert d appui à de nombreuses citations qui rythme ses chapitres et réflexions .
🔍Quand est venue le tour de l enquête de faire son apparation, j ai eu peur que la construction narrative (un personnage puis l autre) me lasse mais au contraire, ça m'a permis de rester dans l enquête sans être interrompu par un autre protagonistes .J'ai apprécié.
Delphine, Maelys et Romain sont des personnages que j ai adoré suivre, j étais plongé avec eux, je les découvrais et les trouvais cohérents dans leur univers respectif.
🎨 On apprécie toujours les références culturels et j ai apprécié me retrouve dans une ville que je connais, Lyon et sa région. C'est pas grand chose, mais ça fait toujours un peu plaisir. ☺️J ai apprécié que l'auteure se serve aussi de tableau dans son intrigue.
🔪C'est là , que ça c'est un peu gaté.
La partie du Profiler arrive et je suis un peu frutré de quitter Romain en plein enquête.Je veux rester avec lui.
Mais je reste confiante, jusqu a présent, tout se passe bien.
❓📖Et là, l'auteur nous déverse d un coup un torrent d informations qui semble faire un bloc compact et dur à digérer. Non pas que les infos ne soient pas intéressantes, mais elles tombent comme un cheveux sur la soupe, ne semblent pas triés. Comme si l auteur était énervé, qu elle nous énumérait une suite d arguments pour nous démontrer l importance du profilage. Mais vous n avez pas à nous convaincre, on adore les polars, on croit en la technique du profilage, promis ne nous faites pas de mal !!!
Et là, j ai commencé me détacher du livre, et à regretter Romain et son enquête.
💡Le chapitre suivant avec la dernière intervenante à suivit mon propos sur le précédent. Bcp d infos, beaucoup trop.. jusqu à 40 pages de la fin ou un nouveau personnage ne veut pas trop s intégrer à mon cerveau. Là, repartir avec un autre protagoniste ne m emballe pas, si ce n est que de quitter les pages avec Erwann.
Ce n est bien sur que mon interprétation, mais c est pour cette raison, ce ressenti que j enleve 1 étoile.
Ces 2 Protagonistes ne m ont pas convaincus, ni emballé.
Ces Chapitres m ont au contraire éloignés de l'histoire.
🐿️Heureusement le reste était tellement bon que je lui pardonne facilement.
Surtout que la toute fin est très appréciable. On aime ce genre de fin!
Car c'est une fin qui va au bout de son idée !
Mais comme Chrystel Duchamp nous provoque, 😉je me permet aussi de le faire avec beaucoup de bienveillance "et ba non, tu ne m as pas eu à 100%". Mais... elle m a eu quand même, car je n étais sur de rien.
✅Oui, elle m a eu quand même car je l'ai ouvert ce matin je l ai terminé le soir après le boulot.
Elle m a eu car elle a su aller chercher son thème jusqu au bout, et ça, ça ne peut pas nous frutrer bien au contraire.
C est en prenant des chemins pas facile que le petit point noir c glissé.
Je salue d autant plus la prise de risque de la construction de sa narration.
En tout cas, quand on prend des risques ça paye !
Merci pour cette lecture qui fait du bien. C' est ce que l on attend aussi d un polar. Je découvrirais d autres oeuvres de l auteur avec grand intérêt en tout cas !
Dédicace aux écureuils 🐿 ❤️ !
N oubliez pas, prenez du plaisir à lire
Après une lecture laborieuse (Les femmes du bout du monde) quoi de mieux que de se tourner vers une valeur sûre pour ne pas tomber en panne lecture ?
Je n’ai pas eu à réfléchir longtemps : direction, le nouveau roman de Chrystel Duchamp, et j’ai bien fait car j’ai passé un très bon moment de lecture.
✨ Delphine, 22 ans, est étudiante à Lyon. Au cours d’une soirée, elle suit une ombre mystérieuse jusqu’à sa voiture. Lorsqu’elle se réveille, elle est menottée à un radiateur, dans une maison abandonnée. Mais que c’est il passé ? Va-t-elle s’en sortir ? Quelle est la suite pour elle ?
Il va falloir lire le livre pour le savoir, car je n’en dirai pas plus sur ce court roman, au risque de spoiler et, ce n’est pas le but !
L’auteure nous emmène dans une enquête où Romain, capitaine de la Crim’, va être accompagné d’une psychotraumatologue.
D’ailleurs, j’ai particulièrement aimé tout cet aspect psychologique qui a une place importante dans ce récit. C’était fortement intéressant.
La lecture est addictive, on essaie de savoir où tout cela mènera… et, j’étais loin du compte !
Je n’ai pas vu la fin arriver, j’ai été surprise et c’est appréciable !
En bref, une lecture que je recommande !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Je n’ai pas eu à réfléchir longtemps : direction, le nouveau roman de Chrystel Duchamp, et j’ai bien fait car j’ai passé un très bon moment de lecture.
✨ Delphine, 22 ans, est étudiante à Lyon. Au cours d’une soirée, elle suit une ombre mystérieuse jusqu’à sa voiture. Lorsqu’elle se réveille, elle est menottée à un radiateur, dans une maison abandonnée. Mais que c’est il passé ? Va-t-elle s’en sortir ? Quelle est la suite pour elle ?
Il va falloir lire le livre pour le savoir, car je n’en dirai pas plus sur ce court roman, au risque de spoiler et, ce n’est pas le but !
L’auteure nous emmène dans une enquête où Romain, capitaine de la Crim’, va être accompagné d’une psychotraumatologue.
D’ailleurs, j’ai particulièrement aimé tout cet aspect psychologique qui a une place importante dans ce récit. C’était fortement intéressant.
La lecture est addictive, on essaie de savoir où tout cela mènera… et, j’étais loin du compte !
Je n’ai pas vu la fin arriver, j’ai été surprise et c’est appréciable !
En bref, une lecture que je recommande !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Aujourd’hui, je vous parle de «L’ile des souvenirs» de Chrystel Duchamp et c’est aux Éditions de l'Archipel .
L’auteure vous propose un suspense original et déroutant.
*****
Je suis passée par tout un tas de sentiments contradictoires durant cette lecture. Déroutée, je l’ai été sans aucun doute, j’ai eu du mal à comprendre la construction du livre, je me suis demandé pourquoi l’auteure nous transmettait des informations que je trouvais furtives et sur lesquelles elle ne revenait pas. J’aurais aimé qu’elle s’attarde sur certains points mais elle ne le fait pas ! Pourquoi ?
Les pages défilent, d’autres point sont abordés et je ne comprends toujours pas les liens qui les relient à l’intrigue.
Il en est de même pour les personnages qui défilent et auxquels je n’ai pas le temps de m’attacher. Les informations, intéressantes au demeurant, ne font qu’amplifier ce sentiment d’incompréhension qui m’assaille. J’ai comme un gout de théorie persistant qui prend le dessus sur cette intrigue que j’ai du mal à cerner.
Mais tout cela était sans compter sur l’ingéniosité de l’auteure, « la reine du twist final de fou » comme j’ai déjà pu le lire. Lorsque les vannes s’ouvrent pour nous mettre dans la confidence, on s’aperçoit que Chrystel Duchamp a pleinement maitrisé son récit. Je dirais même que son objectif est atteint puisque je comprends à la toute fin seulement l’endroit exact où elle voulait emmener son lecteur. Je me rends compte alors du gros travail de recherches et de construction qui a été fait en amont pour nous proposer cette histoire de fou ! C’est bien joué !
Au final, c’est une histoire déroutante qui secoue pas mal et ça fait du bien de temps en temps.
L’auteure vous propose un suspense original et déroutant.
*****
Je suis passée par tout un tas de sentiments contradictoires durant cette lecture. Déroutée, je l’ai été sans aucun doute, j’ai eu du mal à comprendre la construction du livre, je me suis demandé pourquoi l’auteure nous transmettait des informations que je trouvais furtives et sur lesquelles elle ne revenait pas. J’aurais aimé qu’elle s’attarde sur certains points mais elle ne le fait pas ! Pourquoi ?
Les pages défilent, d’autres point sont abordés et je ne comprends toujours pas les liens qui les relient à l’intrigue.
Il en est de même pour les personnages qui défilent et auxquels je n’ai pas le temps de m’attacher. Les informations, intéressantes au demeurant, ne font qu’amplifier ce sentiment d’incompréhension qui m’assaille. J’ai comme un gout de théorie persistant qui prend le dessus sur cette intrigue que j’ai du mal à cerner.
Mais tout cela était sans compter sur l’ingéniosité de l’auteure, « la reine du twist final de fou » comme j’ai déjà pu le lire. Lorsque les vannes s’ouvrent pour nous mettre dans la confidence, on s’aperçoit que Chrystel Duchamp a pleinement maitrisé son récit. Je dirais même que son objectif est atteint puisque je comprends à la toute fin seulement l’endroit exact où elle voulait emmener son lecteur. Je me rends compte alors du gros travail de recherches et de construction qui a été fait en amont pour nous proposer cette histoire de fou ! C’est bien joué !
Au final, c’est une histoire déroutante qui secoue pas mal et ça fait du bien de temps en temps.
Delphine est étudiante à Lyon. Prenant le contrepied d'une éducation bourgeoise et rigide, elle sort, boit, enchaîne les conquêtes masculines, tout en tentant de refouler sa vraie nature : elle aime les femmes. Peu après avoir quitté de manière inélégante, celle qui a été une révélation, elle se réveille dans une pièce isolée, menottée à un radiateur… Jusqu'à ce qu'elle soit rejointe par une autre femme…
La police enquête évidemment sur ces disparitions, mais les parents de Delphine ruent dans les brancards : le capitaine Mandier et son équipe ne progressent pas assez vite !!! C'est alors qu'un profiler, et une psychologue, formés aux techniques les plus innovantes, les rejoignent…
Encore une fois, l'auteure nous livre un excellent thriller. Si l'intrigue paraît plus classique que les romans précédents (même si je n'ai pas encore lu « l'Art du Meurtre », j'avais eu un vrai coup de coeur pour « le Sang des Belasko »), on retrouve ce qui a fait le style déjà inimitable de Chrystel Duchamp, nerveux, parfois sec, mais tellement efficace. La construction du roman est ingénieuse, les personnages travaillés, mais je dois avouer que plus j'avançais dans le récit, plus je me disais que le scénario était globalement joué…
Et, c'est là que Chrystel Duchamp est venue m'asséner le coup derrière la tête, celui qu'on ne voit pas arriver, et qui, finalement, me fait dire que j'ai été complètement bluffée… #liledessouvenirs #netgalleyfrance
La police enquête évidemment sur ces disparitions, mais les parents de Delphine ruent dans les brancards : le capitaine Mandier et son équipe ne progressent pas assez vite !!! C'est alors qu'un profiler, et une psychologue, formés aux techniques les plus innovantes, les rejoignent…
Encore une fois, l'auteure nous livre un excellent thriller. Si l'intrigue paraît plus classique que les romans précédents (même si je n'ai pas encore lu « l'Art du Meurtre », j'avais eu un vrai coup de coeur pour « le Sang des Belasko »), on retrouve ce qui a fait le style déjà inimitable de Chrystel Duchamp, nerveux, parfois sec, mais tellement efficace. La construction du roman est ingénieuse, les personnages travaillés, mais je dois avouer que plus j'avançais dans le récit, plus je me disais que le scénario était globalement joué…
Et, c'est là que Chrystel Duchamp est venue m'asséner le coup derrière la tête, celui qu'on ne voit pas arriver, et qui, finalement, me fait dire que j'ai été complètement bluffée… #liledessouvenirs #netgalleyfrance
Merci à @netgalleyfrance et les @editionsdelarchipel pour l'envoi de ce SP de @chrystel.duchamp
Deux étudiantes Delphine et Maelis, ex-amantes, sont enlevées séparément la même nuit, à Lyon. Elles seront droguées et séquestrées dans 2 pièces différentes, dans une grande maison abandonnée et isolée. L'une est libre de ses mouvements, l'autre est menottée à un radiateur. Un homme en noir leur apporte à manger et à boire, le strict minimum. Qui est cet homme ? Que leur veut-il ? Delphine et Maelis seront réunies dans la même pièce, Delphine sera torturée sous les yeux de Maelis, qui réussira à s'échapper pour aller chercher de l'aide et espérer sauver Delphine. Maelis s'en sortira avec un traumatisme psychologique l'empêchant de se remémorer quoique ce soit. Le capitaine Romain Mandier mène l'enquête, mais celle-ci piétine, il va faire appel à un profiler Erwann, et une psycho-traumatologue Frida pour aider Maelis à se souvenir....
Ce thriller est court mais c'est une bombe !!! Il vous tient en haleine du début jusqu'à la fin. C'est super bien écrit, les recherches documentaires sur la naissance du profilage aux États-Unis (je suis fan de Mindhunter 😉) et l'aspect psychologique concernant la mémoire, l'amnésie dissociative, sont passionnantes. Le livre est découpé en 5 parties, une pour chaque protagoniste. Et un épilogue de fou, je ne l'ai vraiment pas vu venir !!!
Pourquoi des écureuils sur ma photo ? Vous le saurez en lisant cet excellent thriller !!!
Lien : https://www.instagram.com/on..
Deux étudiantes Delphine et Maelis, ex-amantes, sont enlevées séparément la même nuit, à Lyon. Elles seront droguées et séquestrées dans 2 pièces différentes, dans une grande maison abandonnée et isolée. L'une est libre de ses mouvements, l'autre est menottée à un radiateur. Un homme en noir leur apporte à manger et à boire, le strict minimum. Qui est cet homme ? Que leur veut-il ? Delphine et Maelis seront réunies dans la même pièce, Delphine sera torturée sous les yeux de Maelis, qui réussira à s'échapper pour aller chercher de l'aide et espérer sauver Delphine. Maelis s'en sortira avec un traumatisme psychologique l'empêchant de se remémorer quoique ce soit. Le capitaine Romain Mandier mène l'enquête, mais celle-ci piétine, il va faire appel à un profiler Erwann, et une psycho-traumatologue Frida pour aider Maelis à se souvenir....
Ce thriller est court mais c'est une bombe !!! Il vous tient en haleine du début jusqu'à la fin. C'est super bien écrit, les recherches documentaires sur la naissance du profilage aux États-Unis (je suis fan de Mindhunter 😉) et l'aspect psychologique concernant la mémoire, l'amnésie dissociative, sont passionnantes. Le livre est découpé en 5 parties, une pour chaque protagoniste. Et un épilogue de fou, je ne l'ai vraiment pas vu venir !!!
Pourquoi des écureuils sur ma photo ? Vous le saurez en lisant cet excellent thriller !!!
Lien : https://www.instagram.com/on..
Repas de famille, rancœur et secrets… Alors, tentez ?
Ce livre que j’ai dévoré à la vitesse de la lumière est une pure dinguerie ! J’ai accroché direct avec la plume de Chrystel comme avec le premier roman que j’ai découvert : Délivre-nous du mal (que je vous recommande par ailleurs chaudement. )
Nous allons à la rencontre de la famille Belakso, lors de la réunion pour l’héritage de famille (on connaît bien est parfois on pourrait se rapprocher de cette situation :’)) ) Tout pourrait se passer sans encombre sauf que voilà… Bah on parle d’héritage les gars.
Dès lors le repas et les retrouvailles qui jusqu’ici hormis quelques pics se déroulent bien. Souvenirs de leur mère décédé 6 mois plus tôt, de leur père et de l’enfance qu’ils ont partagés...
Mais c’est lors de la découverte de cette lettre faite par leur père pour partager l’héritage que tout se complique.
Entre secrets révélés, rancœur du passé et jalousie, voici ici une véritable tuerie.
Oui, oui, rage et jalousie ne fait pas bon ménage. Mais surtout, pourquoi la famille se détruit-elle ainsi ? Que se passe-t-il pour que la famille s’en veuille à ce point ? Pourquoi le père était si secret concernant le passé de la Famille Belasko ? C’est ce que nous permet de découvrir l’autrice avec une plume addictive et tranchante au possible.
Je ne vous en dit pas plus au peur de trop spoiler, mais lisez-le !!
Ce livre que j’ai dévoré à la vitesse de la lumière est une pure dinguerie ! J’ai accroché direct avec la plume de Chrystel comme avec le premier roman que j’ai découvert : Délivre-nous du mal (que je vous recommande par ailleurs chaudement. )
Nous allons à la rencontre de la famille Belakso, lors de la réunion pour l’héritage de famille (on connaît bien est parfois on pourrait se rapprocher de cette situation :’)) ) Tout pourrait se passer sans encombre sauf que voilà… Bah on parle d’héritage les gars.
Dès lors le repas et les retrouvailles qui jusqu’ici hormis quelques pics se déroulent bien. Souvenirs de leur mère décédé 6 mois plus tôt, de leur père et de l’enfance qu’ils ont partagés...
Mais c’est lors de la découverte de cette lettre faite par leur père pour partager l’héritage que tout se complique.
Entre secrets révélés, rancœur du passé et jalousie, voici ici une véritable tuerie.
Oui, oui, rage et jalousie ne fait pas bon ménage. Mais surtout, pourquoi la famille se détruit-elle ainsi ? Que se passe-t-il pour que la famille s’en veuille à ce point ? Pourquoi le père était si secret concernant le passé de la Famille Belasko ? C’est ce que nous permet de découvrir l’autrice avec une plume addictive et tranchante au possible.
Je ne vous en dit pas plus au peur de trop spoiler, mais lisez-le !!
Un thriller ou un polar ?! On divague entre deux, dans l’esprit machiavélique de l’auteure.
Sous ses airs de style facile il nous attire doucement dans cette histoire on ne peux plus présomptueuse.
Cet imbroglio n’est pas vain puisqu’il va nous attacher et nous lier émotionnellement aux personnages, on cherche à chaque chapitre à faire la corrélation entre les divers meurtres ou suicides macabres qui vont crescendo au fils des pages.
Le suspense augmente pour finir tel un lever de soleil sur un horizon après une tempête, une magnifique vue de l’ensemble de l’intrigue se dévoile sans qu’on s’y attende!
L’histoire commence de façon tellement banale qu’on ne soupçonnerai un tel potentiel tant sur la forme que sur le fond.
Pour finir sachez qu’il n’est pas à mettre entre toutes les mains puisqu’il traite aussi de la violence envers les femmes et plus précisément des viols.
Soyez prêts cette pépite est aussi tendre que cruelle, un ascenseur émotionnel qui vous scotchera au canapé sans pouvoir le lâcher !
Sous ses airs de style facile il nous attire doucement dans cette histoire on ne peux plus présomptueuse.
Cet imbroglio n’est pas vain puisqu’il va nous attacher et nous lier émotionnellement aux personnages, on cherche à chaque chapitre à faire la corrélation entre les divers meurtres ou suicides macabres qui vont crescendo au fils des pages.
Le suspense augmente pour finir tel un lever de soleil sur un horizon après une tempête, une magnifique vue de l’ensemble de l’intrigue se dévoile sans qu’on s’y attende!
L’histoire commence de façon tellement banale qu’on ne soupçonnerai un tel potentiel tant sur la forme que sur le fond.
Pour finir sachez qu’il n’est pas à mettre entre toutes les mains puisqu’il traite aussi de la violence envers les femmes et plus précisément des viols.
Soyez prêts cette pépite est aussi tendre que cruelle, un ascenseur émotionnel qui vous scotchera au canapé sans pouvoir le lâcher !
💣Attention bombe atomique !
Depuis hier, le dernier roman de Chrystel Duchamp est en librairie et je n'ai qu'un conseil à vous donner : foncez vous le procurer !
Découverte l'an dernier avec son second roman Le sang des Belasko, un huis-clos familial glaçant, l'auteure signe ici un thriller machiavélique terriblement addictif.
Quand la sœur d'Anaïs disparait en laissant derrière elle un message énigmatique, la jeune femme ne peut croire à un départ volontaire. C'est auprès de son ami Thomas, commandant à la PJ de Lyon qu'elle va tenter de trouver de l'aide. Toutefois après plusieurs mois de recherches infructueuses et d'autres disparitions inquiétantes, c'est la découverte d'un corps de sexe féminin totalement rasé et vêtu de violet, pendu dans une usine désaffectée qui va relancer l'enquête. Mais c'était sans compter sur un évènement d'une ampleur inédite qui va en quelques heures décimer la population d'un village du Rhône… Mener de front ces deux investigations va alors devenir la priorité de Thomas et son équipe.
🤯En ouvrant ce livre, attendez-vous à ne pas savoir le refermer avant la dernière page.
J'avais déjà été bluffée par Le Sang des Belasko. Avec celui-ci, j'ai le sentiment que l'auteure passe à la vitesse supérieure. Les personnages sont finement travaillés, différentes intrigues s'entremêlent. J'ai été tenue en haleine jusqu'au dénouement sans jamais me douter de ce qui se tramait en arrière-plan.
Laissez-vous embarquer à un rythme effréné dans cette enquête riche en rebondissements et au twist final renversant.
Alors, vous l'attaquez quand ?
Depuis hier, le dernier roman de Chrystel Duchamp est en librairie et je n'ai qu'un conseil à vous donner : foncez vous le procurer !
Découverte l'an dernier avec son second roman Le sang des Belasko, un huis-clos familial glaçant, l'auteure signe ici un thriller machiavélique terriblement addictif.
Quand la sœur d'Anaïs disparait en laissant derrière elle un message énigmatique, la jeune femme ne peut croire à un départ volontaire. C'est auprès de son ami Thomas, commandant à la PJ de Lyon qu'elle va tenter de trouver de l'aide. Toutefois après plusieurs mois de recherches infructueuses et d'autres disparitions inquiétantes, c'est la découverte d'un corps de sexe féminin totalement rasé et vêtu de violet, pendu dans une usine désaffectée qui va relancer l'enquête. Mais c'était sans compter sur un évènement d'une ampleur inédite qui va en quelques heures décimer la population d'un village du Rhône… Mener de front ces deux investigations va alors devenir la priorité de Thomas et son équipe.
🤯En ouvrant ce livre, attendez-vous à ne pas savoir le refermer avant la dernière page.
J'avais déjà été bluffée par Le Sang des Belasko. Avec celui-ci, j'ai le sentiment que l'auteure passe à la vitesse supérieure. Les personnages sont finement travaillés, différentes intrigues s'entremêlent. J'ai été tenue en haleine jusqu'au dénouement sans jamais me douter de ce qui se tramait en arrière-plan.
Laissez-vous embarquer à un rythme effréné dans cette enquête riche en rebondissements et au twist final renversant.
Alors, vous l'attaquez quand ?
C'est l'histoire de disparitions, aussi inexplicables que brutales.
C'est l'histoire de Thomas, un père tiraillé entre l'amour sans limites qu'il porte à sa fille et sa vocation professionnelle. Il n'incarne pas le flic aux super-pouvoirs que l'on rencontre uniquement entre les pages d'un roman, mais un héros extrêmement touchant, empli d'une humanité débordante qui n'a absolument rien d'ordinaire. Un héros que l'on pourrait avoir déjà croisé, sans le savoir.
C'est l'histoire d'une plume qui glisse en douceur, mais sous laquelle les mots claquent avec une justesse fulgurante.
C'est l'histoire d'un drame universel. Celui qui m'a tant serré le cœur au fil de ma lecture.
Il y a les douleurs silencieuses, les douleurs tues, qui raniment sans cesse le feu des souvenirs insoutenables, agitant en permanence les fantômes intérieurs.
Il y a l'urgence de faire éclater la vérité, de libérer les cris coincés au fond de la gorge, de freiner la chute sans fin où l'espoir se disloque.
Une cadence effrénée, une intrigue effroyable et glaçante menée tambour battant, des thématiques délicates et poignantes qui vous remuent, un dénouement en apothéose, tout bonnement magistral... Chrystel Duchamp nous livre une histoire captivante et nous entraîne dans la spirale macabre d'une enquête au scénario diabolique, là où les extrêmes jaillissent d'un mal qui dévore le coeur et consume l'âme, ne laissant que des cendres qui ne seront jamais apaisées.
Le mal revêt bien des apparences et ces dernières sont parfois bien trompeuses...
Lien : https://www.instagram.com/p/..
C'est l'histoire de Thomas, un père tiraillé entre l'amour sans limites qu'il porte à sa fille et sa vocation professionnelle. Il n'incarne pas le flic aux super-pouvoirs que l'on rencontre uniquement entre les pages d'un roman, mais un héros extrêmement touchant, empli d'une humanité débordante qui n'a absolument rien d'ordinaire. Un héros que l'on pourrait avoir déjà croisé, sans le savoir.
C'est l'histoire d'une plume qui glisse en douceur, mais sous laquelle les mots claquent avec une justesse fulgurante.
C'est l'histoire d'un drame universel. Celui qui m'a tant serré le cœur au fil de ma lecture.
Il y a les douleurs silencieuses, les douleurs tues, qui raniment sans cesse le feu des souvenirs insoutenables, agitant en permanence les fantômes intérieurs.
Il y a l'urgence de faire éclater la vérité, de libérer les cris coincés au fond de la gorge, de freiner la chute sans fin où l'espoir se disloque.
Une cadence effrénée, une intrigue effroyable et glaçante menée tambour battant, des thématiques délicates et poignantes qui vous remuent, un dénouement en apothéose, tout bonnement magistral... Chrystel Duchamp nous livre une histoire captivante et nous entraîne dans la spirale macabre d'une enquête au scénario diabolique, là où les extrêmes jaillissent d'un mal qui dévore le coeur et consume l'âme, ne laissant que des cendres qui ne seront jamais apaisées.
Le mal revêt bien des apparences et ces dernières sont parfois bien trompeuses...
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Après avoir beaucoup apprécié "le Sang des Belasko", je me suis précipitée dans la foulée sur "Délivre nous du Mal".
Et bien pour moi, c'est en dessous du précédent.
Tout d'abord, j'avoue avoir été perdue très souvent dans les dates et j'ai dû plus d'une fois, revenir en arrière, quitte à mettre des post-it, pour savoir où j'en étais.
Pas très fluide tout cela, mais ça en valait la peine malgré tout, enfin pendant une partie du livre.
Le thème central est fort bien traité et documenté et d'actualité qui plus est. Cela ne m'a pas sauté aux yeux de prime abord, car l'autrice prend de nombreux chemins tortueux pour enfin le développer dans toute son horreur.
Les intervenants sont très nombreux et mis à part, le personnage de Thomas le commandant à la PJ de Lyon qu'on suit aisément, pour les autres on se perd en essayant de les relier à l'intrigue, en tenant compte déjà de la difficulté chronologique, citée ci-dessus.
Néanmoins, l'intrigue reste captivante avec un suspens très prenant jusqu'au moment où commence l'histoire véridique, en cet été 1951, du village de Pont Saint Esprit dans le Gard, où la population fut frappée par une crise d'hystérie générale.
Je connaissais ce fait divers donc ce ne fut pas une découverte pour moi.
L'autrice relate parfaitement les faits, grâce aux nombreuses recherches effectuées sur ce sujet.
Mais alors, que diable vient faire cette histoire et quel est le rapport avec le sujet central de ce roman ?
On n'y arrive tout doucement vers le milieu du livre et malheureusement, c'est à partir de cette insertion que j'ai commencé à décrocher et ce jusqu'à l'épilogue.
Et que dire de la fin ? Elle parait sans doute originale et recherchée pour beaucoup de lecteurs, mais en ce qui me concerne je n'ai pas été convaincue du tout.
Je le regrette mais j'ai trouvé cela invraisemblable, irréel et même un peu bâclé, par rapport à la justesse, à la vérité et à l'importance du thème abordé.
Heureusement, un petit rattrapage en forme de clin d'œil, apparait sur les trois toutes dernières phrases.
C'est d'autant plus dommage que pour en revenir au "Sang des Belasko" le final était sans aucune faille et remarquable.
Je vais néanmoins, puisque je l'ai dans ma PAL, entreprendre la lecture de "l'Art du meurtre" qui j'espère me réconciliera avec Chrystel Duchamp.
Et bien pour moi, c'est en dessous du précédent.
Tout d'abord, j'avoue avoir été perdue très souvent dans les dates et j'ai dû plus d'une fois, revenir en arrière, quitte à mettre des post-it, pour savoir où j'en étais.
Pas très fluide tout cela, mais ça en valait la peine malgré tout, enfin pendant une partie du livre.
Le thème central est fort bien traité et documenté et d'actualité qui plus est. Cela ne m'a pas sauté aux yeux de prime abord, car l'autrice prend de nombreux chemins tortueux pour enfin le développer dans toute son horreur.
Les intervenants sont très nombreux et mis à part, le personnage de Thomas le commandant à la PJ de Lyon qu'on suit aisément, pour les autres on se perd en essayant de les relier à l'intrigue, en tenant compte déjà de la difficulté chronologique, citée ci-dessus.
Néanmoins, l'intrigue reste captivante avec un suspens très prenant jusqu'au moment où commence l'histoire véridique, en cet été 1951, du village de Pont Saint Esprit dans le Gard, où la population fut frappée par une crise d'hystérie générale.
Je connaissais ce fait divers donc ce ne fut pas une découverte pour moi.
L'autrice relate parfaitement les faits, grâce aux nombreuses recherches effectuées sur ce sujet.
Mais alors, que diable vient faire cette histoire et quel est le rapport avec le sujet central de ce roman ?
On n'y arrive tout doucement vers le milieu du livre et malheureusement, c'est à partir de cette insertion que j'ai commencé à décrocher et ce jusqu'à l'épilogue.
Et que dire de la fin ? Elle parait sans doute originale et recherchée pour beaucoup de lecteurs, mais en ce qui me concerne je n'ai pas été convaincue du tout.
Je le regrette mais j'ai trouvé cela invraisemblable, irréel et même un peu bâclé, par rapport à la justesse, à la vérité et à l'importance du thème abordé.
Heureusement, un petit rattrapage en forme de clin d'œil, apparait sur les trois toutes dernières phrases.
C'est d'autant plus dommage que pour en revenir au "Sang des Belasko" le final était sans aucune faille et remarquable.
Je vais néanmoins, puisque je l'ai dans ma PAL, entreprendre la lecture de "l'Art du meurtre" qui j'espère me réconciliera avec Chrystel Duchamp.
⭐️⭐️Macchiavelique ⭐️⭐️
Une fois de plus Chrystel nous livre un vrai page tuner ! Une plume très visuelle, un suspens qui fait enchaîner les chapitres. Une intrigue prenante, un rythme soutenu qui nous mènent en bateau, et un final surprenant. Tout comme @laurerollier, @chrystel.duchamp confirme son talent de Queen du Thriller. La messe est dite ! Amen !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Une fois de plus Chrystel nous livre un vrai page tuner ! Une plume très visuelle, un suspens qui fait enchaîner les chapitres. Une intrigue prenante, un rythme soutenu qui nous mènent en bateau, et un final surprenant. Tout comme @laurerollier, @chrystel.duchamp confirme son talent de Queen du Thriller. La messe est dite ! Amen !
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Chrystel Duchamp est une autrice que j’avais repéré depuis quelques temps et j’étais très curieuse de découvrir sa plume. J’ai donc profité de cette sortie pour, enfin, la lire et je suis ravie de m’être laissée tenter, car je me suis pris une énorme claque avec ce roman. Il faut dire que la couverture et le résumé avaient tout pour attirer. Et, cette fois-ci, on peut le dire, cette phrase « Une écriture sombre et claquante ! » est vraiment on ne peut plus réaliste quant aux découvertes que nous allons faire.
On commence par le prologue et Anaïs qui se rend chez sa sœur Esther. Jusque là, tout va bien, mais Anaïs sent que quelque chose cloche. Sa sœur ne répond pas, elle est hors-ligne sur les réseaux. Tout ça va inquiéter Anaïs qui va entrer chez Esther et comprendre qu’il y a vraiment un problème. Tout est contraire au caractère d’Esther et sa maniaquerie, c’est le foutoir total dans son appartement et son chat est enfermé. Là c’est la panique et Anaïs va appeler la police. Elle est certaine que sa sœur a été enlevée. L’auteure décrit tellement bien les faits que, nous aussi, nous allons nous inquiéter pour Esther et nous poser un tas de questions.
Ensuite, nous continuons dans le prologue en compagnie de Mathéo, qui est photographe et fan d’urbex. Tout ce qui l’intéresse, c’est de partir à la découverte de vieilles usines désaffectées. Autant vous prévenir, l’urbex ne sera pas le thème central de ce roman, mais ne soyez pas déçus, ce sera bien mieux. On se demande où l’autrice veut nous amener jusqu’à ce que notre protagoniste découvre un corps pendu. Déjà, là, on commence vraiment à se sentir happés par l’histoire et certaines réactions.
Puis vient Pierre. Mais qui est-il ? Que fait-il là ? Et sa femme Theresa, qui est-elle vraiment ? Que se passe-t-il ? Quel est le lien entre Anaïs et Esther, Mathéo et Pierre et Theresa ? Dans ce prologue (ou plutôt devrais-je dire ces prologues, car il y a quand même ce « s » à la fin de prologue qu’on ne peut que remarquer), on se pose beaucoup de questions et il introduit à merveille ce thriller. J’adore la façon de faire de l’autrice et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle nous donne envie d’aller plus loin et de nous laisser happer par sa plume. Attention, il faut savoir qu’entre chaque élément du prologue, il y a plus ou moins un an qui se déroule, ce qui n’est pas rien.
Enfin vient l’histoire et nous commençons avec Thomas et Léa, sa fille, que nous allons découvrir peu à peu au fil de l’histoire et déjà là, concernant Léa, l’autrice frappe très fort car nous allons être surpris. Mais je vous laisse découvrir le mal qui va toucher Léa et qui va complètement nous retourner, car jamais nous n’aurions pensé à un tel dénouement concernant cette jeune fille. Les thèmes abordés par l’autrice à travers Léa seront d’ailleurs présents tout au long du roman, car il n’y a pas que Léa qui va souffrir dans cette histoire.
Thomas, qui est commandant à la Police Judiciaire de Lyon, n’est autre que le flic que l’on va suivre tout au long de l’enquête. C’est à lui qu’Anaïs va faire appel pour retrouver sa sœur, mais on n’aura aucune trace de la jeune femme. On va commencer à se poser des questions, tout comme Thomas et Anaïs, sur la disparition d’Esther.
Comme vous l’aurez compris dans les prologues, on va retrouver un corps sans vie dans une usine désaffectée et cette trouvaille pourrait avoir un rapport avec Esther. Est-ce le cas ? Je vais jouer un peu avec vous comme l’autrice sait si bien le faire avec son lecteur et vous laisser le découvrir par vous-même.
Ce qui va devenir inquiétant, c’est qu’on va se retrouver face à un tueur en série qui va reproduire le même mode opératoire et on va vite avoir une deuxième femme pendue. Jusque là, vous me direz qu’on est sur une histoire de tueur en série somme toute assez banale. Mais, détrompez-vous, l’autrice nous emmène bien plus loin que ça, car on va se retrouver face à une intrigue qui est un gros kiff niveau originalité. C’est un grand coup de coup de maître de l’autrice, elle frappe fort et, quand on pense avoir tout vu, elle nous emmène encore plus loin ! Vraiment, j’ai été scotchée par toutes les révélations dans lesquelles elle nous entraîne.
Dans ce roman, il n’y a pas que le côté enquête, l’autrice joue aussi beaucoup sur les sentiments des protagonistes et sur leur vécu et j’avoue, à certains moments, avoir été totalement retournée et chamboulée par certains passages, tant j’ai ressenti les émotions de certains des personnages. Les derniers chapitres qui sont consacrés à Esther, Caroline et Lucille et la façon dont l’autrice dissémine les infos petit à petit sont juste un énorme coup de maître dont je ne suis toujours pas remise.
L’autrice est on ne peut plus machiavélique et nous entraîne dans un plan qui l’est tout autant. On va se retrouver sur une autre affaire bien plus importante que les disparitions et nous allons chercher à faire le lien, mais jamais nous n’aurions pu imaginer l’horreur vers laquelle l’autrice nous emmène. Quand nous arrivons à la fin et que nous comprenons tout, nous sommes vraiment bluffés et nous restons bouche bée face à de telles découvertes.
Bref, si vous aimez les thrillers qui vont vous retourner, vous bluffer et les autrices qui savent jouer sur les émotions des personnages et du lecteur, foncez ! Ce roman est une vraie pépite. C’est un roman auquel j’aimerais mettre un 6/5 tant je me suis pris une claque à la lecture et tant la plume de l’autrice est percutante.
Lien : https://geek-o-polis.com/202..
On commence par le prologue et Anaïs qui se rend chez sa sœur Esther. Jusque là, tout va bien, mais Anaïs sent que quelque chose cloche. Sa sœur ne répond pas, elle est hors-ligne sur les réseaux. Tout ça va inquiéter Anaïs qui va entrer chez Esther et comprendre qu’il y a vraiment un problème. Tout est contraire au caractère d’Esther et sa maniaquerie, c’est le foutoir total dans son appartement et son chat est enfermé. Là c’est la panique et Anaïs va appeler la police. Elle est certaine que sa sœur a été enlevée. L’auteure décrit tellement bien les faits que, nous aussi, nous allons nous inquiéter pour Esther et nous poser un tas de questions.
Ensuite, nous continuons dans le prologue en compagnie de Mathéo, qui est photographe et fan d’urbex. Tout ce qui l’intéresse, c’est de partir à la découverte de vieilles usines désaffectées. Autant vous prévenir, l’urbex ne sera pas le thème central de ce roman, mais ne soyez pas déçus, ce sera bien mieux. On se demande où l’autrice veut nous amener jusqu’à ce que notre protagoniste découvre un corps pendu. Déjà, là, on commence vraiment à se sentir happés par l’histoire et certaines réactions.
Puis vient Pierre. Mais qui est-il ? Que fait-il là ? Et sa femme Theresa, qui est-elle vraiment ? Que se passe-t-il ? Quel est le lien entre Anaïs et Esther, Mathéo et Pierre et Theresa ? Dans ce prologue (ou plutôt devrais-je dire ces prologues, car il y a quand même ce « s » à la fin de prologue qu’on ne peut que remarquer), on se pose beaucoup de questions et il introduit à merveille ce thriller. J’adore la façon de faire de l’autrice et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle nous donne envie d’aller plus loin et de nous laisser happer par sa plume. Attention, il faut savoir qu’entre chaque élément du prologue, il y a plus ou moins un an qui se déroule, ce qui n’est pas rien.
Enfin vient l’histoire et nous commençons avec Thomas et Léa, sa fille, que nous allons découvrir peu à peu au fil de l’histoire et déjà là, concernant Léa, l’autrice frappe très fort car nous allons être surpris. Mais je vous laisse découvrir le mal qui va toucher Léa et qui va complètement nous retourner, car jamais nous n’aurions pensé à un tel dénouement concernant cette jeune fille. Les thèmes abordés par l’autrice à travers Léa seront d’ailleurs présents tout au long du roman, car il n’y a pas que Léa qui va souffrir dans cette histoire.
Thomas, qui est commandant à la Police Judiciaire de Lyon, n’est autre que le flic que l’on va suivre tout au long de l’enquête. C’est à lui qu’Anaïs va faire appel pour retrouver sa sœur, mais on n’aura aucune trace de la jeune femme. On va commencer à se poser des questions, tout comme Thomas et Anaïs, sur la disparition d’Esther.
Comme vous l’aurez compris dans les prologues, on va retrouver un corps sans vie dans une usine désaffectée et cette trouvaille pourrait avoir un rapport avec Esther. Est-ce le cas ? Je vais jouer un peu avec vous comme l’autrice sait si bien le faire avec son lecteur et vous laisser le découvrir par vous-même.
Ce qui va devenir inquiétant, c’est qu’on va se retrouver face à un tueur en série qui va reproduire le même mode opératoire et on va vite avoir une deuxième femme pendue. Jusque là, vous me direz qu’on est sur une histoire de tueur en série somme toute assez banale. Mais, détrompez-vous, l’autrice nous emmène bien plus loin que ça, car on va se retrouver face à une intrigue qui est un gros kiff niveau originalité. C’est un grand coup de coup de maître de l’autrice, elle frappe fort et, quand on pense avoir tout vu, elle nous emmène encore plus loin ! Vraiment, j’ai été scotchée par toutes les révélations dans lesquelles elle nous entraîne.
Dans ce roman, il n’y a pas que le côté enquête, l’autrice joue aussi beaucoup sur les sentiments des protagonistes et sur leur vécu et j’avoue, à certains moments, avoir été totalement retournée et chamboulée par certains passages, tant j’ai ressenti les émotions de certains des personnages. Les derniers chapitres qui sont consacrés à Esther, Caroline et Lucille et la façon dont l’autrice dissémine les infos petit à petit sont juste un énorme coup de maître dont je ne suis toujours pas remise.
L’autrice est on ne peut plus machiavélique et nous entraîne dans un plan qui l’est tout autant. On va se retrouver sur une autre affaire bien plus importante que les disparitions et nous allons chercher à faire le lien, mais jamais nous n’aurions pu imaginer l’horreur vers laquelle l’autrice nous emmène. Quand nous arrivons à la fin et que nous comprenons tout, nous sommes vraiment bluffés et nous restons bouche bée face à de telles découvertes.
Bref, si vous aimez les thrillers qui vont vous retourner, vous bluffer et les autrices qui savent jouer sur les émotions des personnages et du lecteur, foncez ! Ce roman est une vraie pépite. C’est un roman auquel j’aimerais mettre un 6/5 tant je me suis pris une claque à la lecture et tant la plume de l’autrice est percutante.
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En général je n’arrive pas à finir un livre que je n’aime pas. Or j’ai dévoré celui-ci en 2 jours. Dire que l’intrigue est cousue de fils blancs est bien en-dessous de la vérité. C’est à la fois téléphoné et complètement invraisemblable. Tout : les personnages et leurs côtés excessif et caricatural, leurs rapports totalement hystériques, la situation: cette famille de vigneron richissime avec cinq enfants... Pourquoi en faire cinq quand la famille est aussi tordue? Rien ne colle, tout fait faux... Et l’écriture est pleine de poncifs…
Et pourtant, on ne peut s’empêcher de continuer la lecture comme on suit un soap à la télé. Car regarder une famille déchirée par l’amour, la jalousie, la haine, la rancune... c’est jouissif. L’autrice a bien dosé les ingrédients. Un peu d’Agatha Christie pour le huis-clos mortifère façon Dix petits nègres. Ajoutez à cela des personnages dignes de Dallas : le patriarche, le fils violent, la petite dernière gâtée et capricieuse. Pour faire dans l’ère du temps : un peu de fantastique: une maison hantée façon Les Autres? Et que fait l’autrice de ces ingrédients archi-rebattus? Une nouvelle recette originale? Non un plat très ordinaire qui n’apporte pas grand chose... un petit plaisir coupable pour cerveau fatigué.
Et pourtant, on ne peut s’empêcher de continuer la lecture comme on suit un soap à la télé. Car regarder une famille déchirée par l’amour, la jalousie, la haine, la rancune... c’est jouissif. L’autrice a bien dosé les ingrédients. Un peu d’Agatha Christie pour le huis-clos mortifère façon Dix petits nègres. Ajoutez à cela des personnages dignes de Dallas : le patriarche, le fils violent, la petite dernière gâtée et capricieuse. Pour faire dans l’ère du temps : un peu de fantastique: une maison hantée façon Les Autres? Et que fait l’autrice de ces ingrédients archi-rebattus? Une nouvelle recette originale? Non un plat très ordinaire qui n’apporte pas grand chose... un petit plaisir coupable pour cerveau fatigué.
Après un thriller psychologique magistral sur fond de huis-clos familial diabolique, Chrystel Duchamp revient avec un polar plus conventionnel qui séduira certainement les amateurs du genre.
Comme à mon habitude, lorsque j’ai affaire à un auteur que j’ai déjà lu et apprécié, je me suis lancée dans ce nouveau roman sans rien savoir de son contenu, refusant de lire la 4e de couverture pour éviter d'être spoilée. Je ne sais pas pourquoi mais il ne m'était pas du tout venu à l'esprit que l'auteure puisse nous offrir autre chose qu'un nouveau thriller psychologique. Je n’ai compris ma méprise qu’après m'être délectée du triple prologue absolument parfait. J'étais rentrée dans le roman totalement en confiance, confortée dans mon idée par ce prologue de haut niveau avant de me casser vertigineusement le nez sur un polar tout ce qu'il y a de plus fidèle au genre. Si j'avais lu cette fameuse 4e de couverture, il est certain que j’aurais passé mon tour pour ce roman parce que je ne suis plus en capacité d’apprécier une enquête policière, aussi rondement menée soit-elle et celle-ci, malgré toutes les qualités qui la caractérisent ne fait pas exception. J’ai réussi à tenir jusqu’au bout mais ce fut long et laborieux pour moi qui suis totalement hermétique aux déboires des enquêteurs, à leurs fausses pistes et à leurs intuitions. Je ne lis de la littérature noire que pour cerner les personnalités des tueurs et des victimes et frémir de leur folie ou de leur peur, or je ne parviens pas à ressentir la moindre émotion à travers le regard d'un enquêteur. C'est ainsi.
Heureusement, le roman prend un nouveau virage sur la fin, ce qui a à nouveau piqué ma curiosité même si dans le même temps j'ai été un peu surprise par la manière dont tout ceci était amené.
Je reconnais à l’auteure une vraie recherche d’originalité tant dans la construction de son récit que dans l’histoire en elle-même et le mobile qui se cache derrière ces meurtres en série et je pense sincèrement que les amateurs de polars ne peuvent que se régaler.
Il y a néanmoins un écueil de taille dans ce roman et pour le coup, mon goût très modéré pour le polar n'y est pour rien. Certains monologues sonnent complètement faux, je pense notamment à cette adolescente qui s'exprime d'une manière totalement déroutante pour son âge et son vécu traumatisant ou encore à cet enfant en train de brûler et qui prend le soin de châtier son langage. Totalement improbable ! Je m'étonne que personne, parmi les bêta lecteurs ou l'éditeur, n'ait fait remarquer ce point à l'auteure avant la parution de ce livre.
En dehors de cela, le reste n’est qu’affaire de goût, à vous donc de trancher : polar or not polar ?
Lien : https://www.lettres-et-carac..
Comme à mon habitude, lorsque j’ai affaire à un auteur que j’ai déjà lu et apprécié, je me suis lancée dans ce nouveau roman sans rien savoir de son contenu, refusant de lire la 4e de couverture pour éviter d'être spoilée. Je ne sais pas pourquoi mais il ne m'était pas du tout venu à l'esprit que l'auteure puisse nous offrir autre chose qu'un nouveau thriller psychologique. Je n’ai compris ma méprise qu’après m'être délectée du triple prologue absolument parfait. J'étais rentrée dans le roman totalement en confiance, confortée dans mon idée par ce prologue de haut niveau avant de me casser vertigineusement le nez sur un polar tout ce qu'il y a de plus fidèle au genre. Si j'avais lu cette fameuse 4e de couverture, il est certain que j’aurais passé mon tour pour ce roman parce que je ne suis plus en capacité d’apprécier une enquête policière, aussi rondement menée soit-elle et celle-ci, malgré toutes les qualités qui la caractérisent ne fait pas exception. J’ai réussi à tenir jusqu’au bout mais ce fut long et laborieux pour moi qui suis totalement hermétique aux déboires des enquêteurs, à leurs fausses pistes et à leurs intuitions. Je ne lis de la littérature noire que pour cerner les personnalités des tueurs et des victimes et frémir de leur folie ou de leur peur, or je ne parviens pas à ressentir la moindre émotion à travers le regard d'un enquêteur. C'est ainsi.
Heureusement, le roman prend un nouveau virage sur la fin, ce qui a à nouveau piqué ma curiosité même si dans le même temps j'ai été un peu surprise par la manière dont tout ceci était amené.
Je reconnais à l’auteure une vraie recherche d’originalité tant dans la construction de son récit que dans l’histoire en elle-même et le mobile qui se cache derrière ces meurtres en série et je pense sincèrement que les amateurs de polars ne peuvent que se régaler.
Il y a néanmoins un écueil de taille dans ce roman et pour le coup, mon goût très modéré pour le polar n'y est pour rien. Certains monologues sonnent complètement faux, je pense notamment à cette adolescente qui s'exprime d'une manière totalement déroutante pour son âge et son vécu traumatisant ou encore à cet enfant en train de brûler et qui prend le soin de châtier son langage. Totalement improbable ! Je m'étonne que personne, parmi les bêta lecteurs ou l'éditeur, n'ait fait remarquer ce point à l'auteure avant la parution de ce livre.
En dehors de cela, le reste n’est qu’affaire de goût, à vous donc de trancher : polar or not polar ?
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