(..) nous sommes des êtres pris sans cesse dans un mouvement dialectique entre l'unité, la cohérence de l'identité, et son réaménagement permanent. La lecture peut alors se concevoir, non seulement comme un élément de réconfort et de stabilité,(d'où notre bonheur à relire le même livre, tout comme les enfants demandent sans cesse la même histoire), mais aussi comme un facteur de changement, de remaniement interne, de re-lecture du monde et de soi.