Populaire », répéta le professeur d’un air dégoûté. Voilà le problème, Belzoni ! Le peuple n’a pas la capacité d’apprécier de véritables ouvrages scientifiques, et la vulgarisation est un péché mortel. Mettre le savoir à la portée de n’importe
qui m’apparaît comme une faute impardonnable.