Ces livres produisaient le même effet qu'une cheminée quand un feu y brûlait ; en s'éloignant de l'âtre, on sentait à quel point il faisait froid autour. À la lecture de ces œuvres remplies de vie, Mr Darcy avait fini par percevoir la solitude qui régnait dans sa villa.Avoir ces romans à portée de sa main le rendait à la fois heureux et triste.
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