Tout comme je lui dois le meilleur de mes dernières années, je lui dois de finir seul ce récit. Je sais bien, Oursine, que tu aurais fait la même chose si c'était moi qui avais dû partir le premier et je sais que ta main écrit, unie à la mienne, ces derniers mots où la douleur n'est pas, ne sera jamais plus forte que la vie que tu m'as appris à vivre, comme nous sommes peut-être arrivés à le montrer dans cette aventure qui parvient ici à son terme mais qui continue, continue dans notre Dragon, continue à jamais sur notre autoroute.