Un monsieur me fait comprendre avec une touche de mépris que Julien Gracq il ne le veut pas n'importe comment, "avec les pages non coupées", il dit, je l'ai. Corti ça s'appelle. Le client m'explique que quand tu es en ville et que la nature te manque, tu peux lire du Gracq, d'après lui ce type-là savait comment t'envoyer en pleine forêt avec tout ce que ça implique pour tes sens en deux paragraphes. je voudrais bien lire Julien Gracq. Mais je viens de le lui vendre. (p. 85)