Le journal illustré raconte que la morgue de Paris dispose de cercueils en verre et de paillasse en marbre afin de maintenir les corps au frais avec de l’eau, et que la science y est au service des énigmes posées par la mort. Mais nous sommes à Øster Farimagsgade, et pas à Paris. À l’hôpital municipal, le visage de la mort n’est pas paisible, mais déformé par une douleur, une plainte éternelle.