Pour ces hommes et ces femmes, la purification du pays, ou plutôt ce qu'il en restait, ne pouvait se faire que par le feu et le sang. Et si des rivières pourpres devaient couler, ils étaient prêts à en payer le prix. Aucun acte de sacrifice n’était trop grand à leurs yeux pour extraire le poison qui courait dans les veines de l’État.