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4/5 (sur 3 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New Rochelle New York USA , le 29 juin 1891
Mort(e) à : Salisbury Connecticut USA , le 29 janvier 1989
Biographie :

Arnold Whitridge: érudit et vétéran des deux armées et deux guerres
Par Keith Muchowski


Arnold Whitridge à Yale, 1936
Le capitaine Arnold Whitridge de la British Royal Field Artillery est arrivé à New York de Londres il y a 100 ans ce mois-ci. Whitridge revenait pour s'occuper des affaires de son père, Frederick W. Whitridge, qui était mort deux semaines plus tôt. Frederick Whitridge était président de la Third Avenue Elevated Line et un bon ami de Theodore Roosevelt. Il a laissé une succession estimée à 10 millions de dollars, soit plus de 188 millions de dollars en dollars courants. Son fils, le jeune Arnold, était diplômé de Yale en 1913 et faisait des études supérieures à Oxford lorsque la guerre éclata en août 1914. Au début de l'année suivante, il rejoignit l'armée britannique. Il a été blessé à la Somme en 1916 et était à Londres quand il a appris le décès de son père le 30 décembre. Bien que son nom ne sonne pas beaucoup de cloches, Arnold Whitridge était un soldat décoré de la Grande Guerre qui devint l'un des principaux érudits du 20ème siècle. Il était aussi le petit-fils et l'homonyme du poète britannique Matthew Arnold. Il est décédé le 29 janvier 1989, il y a 28 ans aujourd'hui.

Whitridge a servi dans les armées britanniques et américaines pendant la guerre. En 1916, en tant que jeune sous-lieutenant, il reçut la British Military Cross, que les autorités avaient créée en décembre 1914 pour reconnaître les contributions des officiers subalternes ayant le grade de capitaine ou moins. Whitridge n'était pas le seul Américain servant avec les Britanniques à être ainsi reconnu; Avant la fin de la guerre, le capitaine Kermit Roosevelt, fils de Theodore Roosevelt, fut également honoré pendant la guerre pour ses contributions en tant qu'officier de l'armée britannique en Mésopotamie. Whitridge devint bientôt premier lieutenant et fut promu capitaine juste avant la mort de son père. Arrivé à New York le 14 janvier 1917, le capitaine Whitridge a déclaré aux journalistes qu'il quitterait l'armée britannique pour se consacrer aux affaires familiales.


Colonne Royal Field Artillery en Mésopotamie

Arnold Whitridge, un Américain, est né à New Rochelle, New York, le 29 juin 1891 à Lucy Arnold et Frederick W. Whitridge. La famille a vécu dans une grande maison sur East 11th Street à Manhattan. Ils ont voyagé en Europe fréquemment dans les décennies précédant la guerre et, fidèle aux racines britanniques de sa mère, ont maintenu une résidence d
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Source : https://www.geni.com/people/Arnold-Whitridge/6000000007041425714
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Bibliographie de Arnold Whitridge   (1)Voir plus

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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Bolivar avait vu Ferdinand VII de tout près et avait joué à la pelote contre lui. Il n'ignorait pas que, même si ce jeune prince à l'esprit borné remontait un jour sur le trône, jamais il ne viendrait à bout des difficultés du gouvernement. Mes compatriotes doivent réaliser peu à peu, songeait Bolivar, qu'ils ne peuvent désormais plus se reposer sur des rois, ou même sur des conseils, distants de six mille kilomètres. Il faut qu'ils apprennent à se tenir debout sur leurs propres pieds.
Ainsi donc, en obligeant le roi d'Espagne à abdiquer Napoléon ouvrait la route des révolutions en Amérique du Sud. les Créoles prospères, c'est- à -dire ceux qui comptaient vraiment à Caracas ou Bogotá, n'étaient pas disposés à accepter le frère de Napoléon comme remplaçant de leur roi. Puisque celui-ci avait été escamoté, ils avaient besoin d'un gouvernement à eux.
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L'immensité du pays, les difficultés de communications et la faible densité de la population rendaient impossible toute union. Si Bolivar avait été en mesure d'attirer un flot d'immigrants, de construire des routes, de couvrir le territoire d'un réseau de voies ferrées, de lignes téléphoniques et de pipe-lines, il aurait pu susciter chez les autres ce sentiment de pan-americanisme qui signifiait tant pour lui. Mais étant donné la situation à l'époque, les populations clairsemées pouvaient seulement se rallier autour de celui qui se trouvait sur place.
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