Antonella Verdiani a exercé comme fonctionnaire internationale à l’Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation) de 1987 à 2005 (en Afrique et à Paris) en tant que spécialiste de programme à l’Unesco en charge de programmes d’éducation à la paix et la non-violence.
En 2002 elle obtient un Master en Sciences de l’éducation ayant comme sujet la médiation dans les banlieues parisiennes.
Dans son activité de recherche, elle s’est intéressée à l’Inde et en particulier à l’expérience d’Auroville où elle a menée une recherche de Doctorat (2008) aboutissant à une thèse sur l’approche intégrale en tant que voie pour une "éducation à la joie".
Consultante pour différentes agences des Nations Unies, elle a collaboré à la "Chaire transdisciplinaire UNESCO de développement humain et culture de la paix" de l’Université de Florence (Italie) qu’elle a contribué à créer en 2005, ainsi que au Centre d’innovation et de recherche en pédagogie de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris.
Elle donne des formations d’"Éducation à la joie", basées sur l’approche qu’elle a élaborée et sur laquelle elle a publié le livre : "Ces écoles qui rendent nos enfants heureux" (Actes Sud, 2012).
Actuellement membre du Comité d'innovation de l'Enseignement agricole et du Cercle d'Orientation du mouvement Colibris, elle est Présidente du Printemps de l'éducation, mouvement citoyen pour le renouveau éducatif, depuis 2012.
Ne doutez jamais du fait qu'un petit nombre de gens réfléchis et engagés peuvent changer le monde. En vérité, c'est la seule chose qui ait jamais réussi.
Pour en finir avec le mépris systémique de ce qui, avec la pensée, nous distingue des animaux - à savoir notre capacité de rêver -, nous nous devons de redonner à l'éducation son rôle d'éveil.