Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Exeter, New Hampshire , le 01/05/1932
Mort(e) à : Bedford , le 07/08/2018
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Né(e) à : Exeter, New Hampshire , le 01/05/1932
Mort(e) à : Bedford , le 07/08/2018
Biographie :
Andrew Coburn est l'un des maîtres du roman noir psychologique américain.
Après des études de littérature, il a occupé divers petits boulots de reporter criminel, rédacteurs pour divers magazines, chronique littéraire à journaliste politique.
Il publie quelques nouvelles avant de se lancer dans le polar en 1981 et être une des révélations de cette décennie.
Avec "Sweetheart" (Coeur tendre"), il commence une série consacrée à Rita Gardella O'Dea, sœur d’un capo de la mafia poursuivi par le FBI. Goldilocks, le troisième roman de la série est nommé pour le prix Edgar-Allan-Poe en 1990 dans la catégorie meilleur roman. Il amorce également une autre série avec "No Way Home" consacrée à James Morgan, chef de la police de Bensington, qui a la particularité de choisir ses maîtresses parmi les grandes bourgeoises de la ville.
Trois de ses romans sont adaptés au cinéma, mais uniquement par des réalisateurs français.
+ Voir plusAndrew Coburn est l'un des maîtres du roman noir psychologique américain.
Après des études de littérature, il a occupé divers petits boulots de reporter criminel, rédacteurs pour divers magazines, chronique littéraire à journaliste politique.
Il publie quelques nouvelles avant de se lancer dans le polar en 1981 et être une des révélations de cette décennie.
Avec "Sweetheart" (Coeur tendre"), il commence une série consacrée à Rita Gardella O'Dea, sœur d’un capo de la mafia poursuivi par le FBI. Goldilocks, le troisième roman de la série est nommé pour le prix Edgar-Allan-Poe en 1990 dans la catégorie meilleur roman. Il amorce également une autre série avec "No Way Home" consacrée à James Morgan, chef de la police de Bensington, qui a la particularité de choisir ses maîtresses parmi les grandes bourgeoises de la ville.
Trois de ses romans sont adaptés au cinéma, mais uniquement par des réalisateurs français.
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Citations et extraits (9)
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Ils ont assis la vieille sur le poêle à bois et ils lui ont rôti le cul. Vous vous rendez compte?
La voix du sergent la fit sursauter.
- Alors ?
Elle se retourna sur sa chaise.
- Ne faites pas des choses comme ça !
- Qu'est-ce qu'il y a, Alice ? Un poil coincé dans la raie des fesses ?
Si elle avait été debout, elle l'aurait peut-être giflé. Elle ne l'aimait pas et se méfiait de lui, sentiment qui remontait à l'époque où il était adolescent, et membre d'une bande de jeunes durs soupçonnés d'avoir incendié une écurie et décapité un cheval. Il ne devait sa nomination dans la police qu'à ses états de services militaires ; il faut ajouter qu'à ce moment-là, il était le seul postulant.
- Alors ?
Elle se retourna sur sa chaise.
- Ne faites pas des choses comme ça !
- Qu'est-ce qu'il y a, Alice ? Un poil coincé dans la raie des fesses ?
Si elle avait été debout, elle l'aurait peut-être giflé. Elle ne l'aimait pas et se méfiait de lui, sentiment qui remontait à l'époque où il était adolescent, et membre d'une bande de jeunes durs soupçonnés d'avoir incendié une écurie et décapité un cheval. Il ne devait sa nomination dans la police qu'à ses états de services militaires ; il faut ajouter qu'à ce moment-là, il était le seul postulant.
Entre lui et moi, c'était purement physique, pas de conversation sur l'oreiller après, ce qui était parfait, vu qu'il n'avait rien à dire.
Il termina sa bière, écrasa la boîte dans sa main et la jeta sur l'herbe roussie.
- Vous salopez votre propre nid, dit le chef.
- Ma femme la ramassera plus tard. C'est son boulot.
- Vous salopez votre propre nid, dit le chef.
- Ma femme la ramassera plus tard. C'est son boulot.
J'ai horreur des maisons peintes en couleur pastel. Les maisons n'ont pas à être coquettes. Elles doivent être solides. Elégantes. Chaudes. Vous ne trouvez pas ?
Quand on possède la puissance, dit Ed Robertshaw, ce qu'il y a de bien, c'est qu'on peut contrôler les faits... ou les décontrôler
- Le précédent gouverneur de New York se teignait les cheveux en roux. Ca faisait bien à la caméra.
- Je crois qu'il avait fait ça pour une femme.
- Et voilà la politique, Chugger. C'est la même chose que courtiser une femme. Faire n'importe quoi pour conquérir la femelle.
- Je crois qu'il avait fait ça pour une femme.
- Et voilà la politique, Chugger. C'est la même chose que courtiser une femme. Faire n'importe quoi pour conquérir la femelle.
Une vieille fille qui n'irait jamais dire "merde" la bouche pleine avait bien sa place dans une bibliothèque ! Que savait-elle des épreuves et des tourments d'une femme mariée, des forces oppressantes qui étaient à l'oeuvre dans un couple ? (p 361)
Je voudrais bien savoir ce que les oiseaux pensent des avions. Est-ce qu'ils se demandent pourquoi ils ne battent pas des ailes ?
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