Ma main, lâchement emmêlée à celle de Samir, s'élevait et s'affaissait en rythme avec sa respiration. J'aurais pu rester ainsi éternellement. Il tourna la tête vers moi. Je tournai la mienne aussi jusqu'à ce que nos nez se frôlent et que son souffle chaud m'effleure la joue.
Nous étions seuls, nos corps se touchaient. Il était tard. Ce serait tellement facile.