Mais le plus difficile, c’est de rendre l’air autour des choses, l’air entre les choses, pour que l’on sente bien par exemple que le beffroi qui apparaît là-bas derrière les maisons n’est pas collé à leurs toits, qu’il y a entre elles et lui tout un espace, et de la lumière qu’on ne voit pas. Non, ce n’est pas facile en peinture de faire sentir ce qui ne se voit pas, et c’est pourtant ce qui compte le plus pour moi : la « meilleure part » de la peinture.