En me garant devant chez elle, j’ai remarqué une lumière à l’étage.
— Il y a quelqu’un chez toi ?
— Oh, ma fille, mais elle dort ! Viens prendre un verre !
Ce verre, je ne l’ai jamais bu. Dès la porte refermée, Fay s’est plaquée contre moi, écrasant ses seins contre ma poitrine, enfonçant sa langue dans ma bouche. On aurait pu croire qu’elle était sevrée d’hommes depuis des années… mais quelque chose me disait qu’il n’en était rien.