De même que, quand il se brûle, le tendre doigt se retire par réflexe, car les nerfs locaux en prennent le contrôle dans l'urgence, mais le cerveau reste nécessaire au jugement postérieur - Qu'est-ce qui m'a fait mal ? Comment l'empêcher de me refaire mal à l'avenir ? -, ainsi les officiers du front doivent-ils être libres d'agir à la hâte, mais ils ont besoin que le quartier général observe, juge, signale la fin de la bataille.