C’est fou comme, au fur et à mesure que Guillaume écrit, les choses deviennent plus faciles. Les mots arrivent d’eux-mêmes sans qu’il ait besoin de les chercher, et les images que conçoit son esprit n’ont aucune peine à se traduire en phrases… Mais cette fois, le style est ailé, limpide. L’ivresse de l’écriture se double d’habileté. Pour être pilote de course, il ne suffit pas d’aimer la vitesse, il faut aussi savoir conduire !