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EAN : 9782381673165
464 pages
Scrineo (04/04/2024)
4/5   50 notes
Résumé :
« Imagine, disait son père, une cité à côté de laquelle celle-ci n’est que peu de chose. Imagine la magie qui la baignait tout entière et donnait tout pouvoir à ses habitants sur les forces de la nature. Imagine l’harmonie entre les Venezians et les Êtres sous la lagune… »

Marchant dans les pas de son père disparu, Lauro recherche la légendaire Antique Cité que tous les Venezians croient engloutie à jamais. Mais le soir où il est sur le point de s’emp... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (45) Voir plus Ajouter une critique
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L'année 2024 ne sera pas très prolifique en termes de lecture. "La cité oubliée" d'Hermine Lefebvre n'est que le 10e roman que je termine cette année, une lecture sympathique mais qui sera, je le crains, rapidement oubliée face à une trame narrative somme toute assez classique de ce genre de récit Young Adult, malgré l'univers intéressant proposé par l'autrice.

Lu dans le cadre d'une masse critique privilégiée, c'est la superbe couverture réalisée par Hypathie Aswang et un résumé assez intriguant qui m'ont poussé à accepter ce livre. Je dois dire que l'objet livre est, comme souvent avec les dernières nouveautés en littérature de l'imaginaire, très réussi. Une couverture semi-rigide avec des dorures ainsi que du vernis sélectif, des pages de garde illustrées de toute beauté, des entêtes de chapitres travaillés. Oui, sur la forme, l'objet est très beau et c'est toujours agréable de recevoir ce genre d'ouvrage dans sa boîte aux lettres. Merci à Babelio et à Scrineo pour l'envoi de celui-ci.

Sur le fond, je suis un peu plus partagé, même si j'ai globalement passé un chouette moment de divertissement avec cet one shot de fantasy qui se laisse lire de manière aisée. La plume d'Hermine Lefebvre, que j'ai découverte pour la première fois avec ce texte, est fluide et je me suis rapidement laissé porter par l'histoire qu'elle nous proposait, d'autant qu'on a ici un roman avec un rythme relativement soutenu où l'on n'a guère le temps de souffler. Les actions s'enchaînent les unes après les autres jusqu'à la fin du roman que j'ai fini tout de même avec le sentiment d'être resté un peu sur ma faim.

En effet, si le rythme soutenu du récit évite que l'ennui ne s'installe au cours de la lecture, j'ai trouvé que cela se faisait au détriment du développement des personnages, que j'ai trouvé peu travaillés. Je sais que dans quelques jours, je serai incapable, même avec la meilleure volonté du monde, de me souvenir du prénom de l'un d'entre eux, aucun ne m'ayant vraiment marqué, touché que ce soit par son histoire personnelle ou ses interactions avec les autres personnages, tant j'ai trouvé que le tout restait en surface. Je retiendrai seulement que les personnages principaux étaient un magicien, un voleur et son ami, mais guère plus concernant ces derniers. C'est dommage, car de ce fait, mon implication dans le récit en a été impactée, n'accordant finalement que peu d'importance au sort que l'autrice allait réserver au petit trio, tout en ajoutant, au fur et à mesure de ma lecture, cette petite frustration de voir cela un peu mis de côté alors que le reste fonctionne plutôt bien.

De fait, même si la trame narrative n'est fondamentalement pas révolutionnaire, elle fonctionne bien. Je voulais savoir si le trio allait finalement trouver cette fameuse cité légendaire et survivre face aux mystérieux individus bien décidés à les tuer pour les en empêcher. L'univers proposé, par ailleurs, est vraiment sympathique avec de chouettes idées, le tout est dépaysant et cela change des univers de fantasy auxquels je suis davantage habitué, que cela soit par le cadre urbain particulier de cette Venise magique ou par les Êtres sous la lagune.

Mon avis est donc un peu mitigé. Si je n'ai pas passé un désagréable moment, loin de là, je ne suis pas non plus entièrement convaincu par ce roman Young Adult. Je suis sans doute aussi probablement de plus en plus difficile. J'ai remarqué depuis l'année dernière déjà que je m'y retrouvais de moins en moins dans les romans pour cette tranche d'âge, avec souvent des lectures à l'image de celle-ci, à savoir dans l'ensemble sympathique et divertissante, ce qui est déjà bien, mais guère marquante et que j'oublie très rapidement par la suite
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Après la disparition de son père pendant ses recherches sur une cité légendaire qui serait engloutie sous Venezia, alors qu'il était enfant, Lauro décide de reprendre le flambeau, contre l'avis de sa mère et de la "guilde" de voleurs qu'elle a fondée, la survie dans la ville comptant à ses yeux davantage que de courir après des illusions vaines. C'est alors qu'il s'apprête à dérober un anneau qui devrait, enfin, apporter beaucoup de réponses à ses questions, et le faire particulièrement avancer dans ses recherches, qu'il rencontre Clemente, étrange jeune homme présent, également, pour dérober le même objet. Sans coup férir, leurs destins vont, irrémédiablement, se trouver liés, pour le meilleur comme pour le pire, sur les traces de la cité oubliée...

A travers ce duo, qui porte le récit, même si plusieurs autres personnages ont leur importance, de nombreuses thématiques sont intelligemment abordées, comme l'amitié, et la place du secret qu'elle doit, ou non, accepter, la violence, physique comme psychologique, dans une ville en proie à la corruption, aux machinations, aux inégalités diverses, ou encore l'acceptation de soi dans un monde qui ne nous conçoit pas comme acceptable, pour de multiples raisons.

Ces thématiques s'accompagnent qui plus est de personnages riches, avec des histoires développées et cohérentes, des caractères et des comportements vraiment différenciés, ainsi que d'une narration fluide, alternant tout aussi intelligemment entre moments d'action et découvertes capitales sur la cité, tout en ne laissant pas de côté les évolutions de nos deux protagonistes selon les évènements, jeunes adultes encore en devenir dans un monde qui n'a jamais été tendre avec eux.

L'histoire de la cité oubliée, en elle-même, est également cohérente et plutôt riche, mais j'ai tout de même trouvé que tout se précipitait un peu trop dans les derniers chapitres. Certes, le roman fait déjà quasi 500 pages, mais un univers de cette densité aurait pu s'étendre, encore un peu plus, sur des explications et des descriptions pour parfaire l'ensemble.

Un roman intéressant, agréable à lire, mais dont j'ai trouvé le dénouement un peu trop précipité. Je remercie les éditions ScriNeo et NetGalley de m'en avoir permis la découverte.
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Soyons honnête, quand Babelio est venu me proposer de recevoir ce roman, c'est l'appel de l'objet livre qui m'a fait accepter. Je trouve en effet de toute beauté cette couverture aqueuse bleutée signée Hypathie Aswang avec ses représentation presque effrayante d'hippocampes rappelant les kelpies écossais. Mais la lecture ne m'a malheureusement pas autant enthousiasmée.

J'avais déjà rencontrée la plume d'Hermine Lefebvre sur son premier roman : La Chasse fantôme et c'était peu dire que j'étais passée à côté de ma lecture. J'avais vraiment eu la sensation d'une histoire et d'un concept survolés, sous-exploités dans un univers adolescent vu et revu avec des développements et interactions téléphonées. Mais les années ont passée et j'avais espoir de plus apprécier cet univers basé sur la belle Venise. Je suis malheureusement à nouveau passée à côté de ma lecture, mais pas pour les mêmes raisons cette fois. J'ai trouvé que la plume de l'autrice s'était grandement améliorée et qu'elle tombait moins dans les pièges des relations Y.A. aux développements qui m'agacent tant. Cependant à la place, j'ai eu un tome mené tambours battants avec pratiquement que de l'action et fort peu de développement des personnages, ce qui m'a laissée sur le bas côté…

Cependant, remettons les choses dans leur contexte. Ce nouveau roman a été écrit pour des lecteurs adolescents qui ne recherchent sûrement pas les mêmes choses que moi et eux, je pense que l'aventure a tout pour leur plaire. L'autrice nous emmène derrière les portes d'une étrange cité, dont les ruines du passé semblent englouties et mystérieuses au point de susciter bien des convoitises. C'est là qu'intervient Lauro, un jeune Venezian, qui souhaite retrouver cette cité disparue, comme son père autrefois, qui va se retrouver emporté dans une histoire qui le dépasse aux côtés d'un autre jeune Venezian, Clemente, aux talents très particuliers, de qui il va se sentir proche, malgré leurs différences. Ensemble, ils vont tenter de percer les mystères de ces cités et des organisations qui s'y intéressent.

Hermine nous propose ainsi une aventure sous forme de course-poursuite effrénée entre une jeune génération curieuse et une ancienne génération avide de pouvoir. Face à face, ils vont confronter leurs visions de la vie au cours d'un récit plein de rythme, où malheureusement pour la lectrice adulte que je suis, l'action prend le pas sur les développements plus complexes de l'univers ou des personnages. Cependant, grâce à cela, on ne s'ennuie jamais car il se passe toujours quelque chose et la plume très visuelle de l'autrice, nous fait très bien sentir les dangers et l'urgence du moment. On prend plaisir à voir la magie sigilaire des héros s'animer sous nos yeux. En tant que lectrice de L'Atelier des sorciers, c'est la magie de ces personnages que je m'imaginais. Et on prend plaisir à découvrir un danger protéiforme, notamment sous les traits d'hippocampes tueurs maléfiques, ce qui a de quoi surprendre. L'autrice a bien ingéré les influences aqueuses des mythologies et histoire vénitiennes qu'elle a dû lire, pour offrir ce mélange unique d'Atlantide revisité et de kelpies, créatures mythologique écossaises inspirées des chevaux.

On suit pour cela un groupe d'adolescents fait de personnalités très différentes, que j'aurais aimé plus fouillées et étayées pour ma part, car on reste grosso modo sur nos acquis et que les développements sont évidents et simplistes, mais ils construisent et dégagent peu à peu une belle alchimie, un peu en mode David Copperfield et ses amis, ou enfants de Baker Street, ses petites mains qui aident Sherlock. Ce sont des adolescents débrouillards, qui ont leur propre vision de la vie et n'hésitent pas à s'opposer à des adultes toxiques pour ouvrir la voix, rappelant ces jeunes qui s'élèvent par exemple contre ceux détruisant leur monde et cherchant à préserver le futur de la Terre contre Gretta Thunberg. J'ai juste regrettée que l'autrice les inscrive dans une pseudo dynamique de diversité mal assumée et mal développée où certains se déterminent hommes, d'autres femmes et d'autres juste autres. L'idée était louable mais en dehors des pronoms, qui sont assez casse-pieds, de part leur choix « Ille », à la place d'un iel que tout le monde utilise et qui aurait été plus simple et plus fluide à la lecture, on ne l'exploite absolument pas et c'est décevant. Je m'attendais après avoir énoncé cela dans les premières pages à une vraie utilité dans le récit. Il n'y en a aucune T.T

Alors si on est adolescent, qu'on aime les récits de magie et d'aventure, de rébellion des nouvelles générations contre les anciennes, de protection d'un patrimoine (terrestre, écologique, passé…) ou les romances lgbt slow burn, on peut passer un bon moment à la poursuite de cette Cité oubliée. Si on a un tant soit peu d'ambition de récit aux concepts magiques fouillés, l'univers autre que décoratif, aux personnages avec un réel background et une psychologie fouillée et riche en évolution, je ne suis pas sûre que cette lecture fasse le poids. C'est avant tout un divertissement dans un joli écrin qu'on aura malheureusement bien vite oublié car rien n'est réellement marquant.

Nouvelle rencontre avec Hermine Lefebvre après son premier roman et il y a du mieux. Je reste cependant assez hermétique à ses histoires que je trouve joliment menées mais trop minces dès qu'on gratte un peu le vernis dont elle les dote. Ici, la revisite de Venise sous le prisme de pouvoirs comme dans L'Atelier des sorciers avec des héros un peu marginaux était louable, mais l'action a primé sur le développement de l'univers et des personnages, me laissant sur le bas côté. Pourtant, j'aurais aimé me glisser dans la peau d'un ado pour vivre et aimer cette aventure qui se veut palpitante et dépaysante.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Alors j'ai eu du mal à le lire pour des raisons personnelles, l'autrice a utilisé ille pour les personnes non binaires et illes pour le neutre.
Ça paraît peu comme problème parce-que concrètement c'est peu. J'ai une lecture très rapide qui devine les mots sans vraiment les lire. Je lis à une vitesse assez folle grâce à ça et sauf quelques moments rares où je dois revenir en arrière à cause d'un mot que je ne connais pas ou d'une tournure de phrase qui m'a induit en erreur. Je n'ai jamais vraiment de problème.
Sauf qu'à chaque apparition de ille, mon cerveau a lu aléatoirement il ou elle comme ça lui faisait plaisir sur le moment. Ça m'a dérangé dans le sens où comme j'ai eu besoin de ralentir ma lecture et de réfléchir à chaque apparition de ille, je n'arrivais pas à être à l'aise.
Étonnamment je n'ai pas de problème avec iel alors que ça revient au même au final.
C'est ce qui fait que je l'ai noté 3.5 et pas 4. Ma note est vraiment personnelle.

Hormis ce souci qui ne posera sûrement aucun problème à 98% de la population. J'ai trouvé l'histoire très sympa. On est sur un monde à la Venise avec des canaux qui serpentent une ville sur vérin. L'univers qui repose pourtant sur une magie originale n'est pas bien compliqué à assimiler. Ce qui est un risque quand on essaye de sortir des sentiers battus, perdre le lecteur en donnant trop peu d'informations ou trop d'informations en peu de temps.
Les personnages sont peut-être un peu maladroits dans leur façon d'être mais c'est aussi expliqué par la vie d'un d'entre eux.
Une belle découverte que j'aurais sûrement pu apprécier davantage si mon cerveau était différent. le livre étant seul, ça permet une petite lecture de quelques centaines de pages pour quelques soirées.

En vrai je suis déçu de moi, de ne pas avoir pu passer outre mon cerveau. L'histoire est vraiment sympa, je suis con de ne pas avoir pu en profiter davantage. J'ai bien aimé l'univers, les personnages, le système de magie. le fait que ce soit une histoire courte qui se lise "bien 😅". Fin tout est là pour que ce soit une belle découverte que je ne peux que conseiller.
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La Cité Oubliée est le 3ème roman que je lis de Hermine Lefebvre. Très rapidement, on retrouve des thèmes qui sont chers à l'autrice ; le handicap et la recherche d'identité des personnages, entre autres.

J'ai d'ailleurs trouvé que ces éléments s'inséraient plus fluidement dans le récit que dans les romans précédents. C'est présent, mais sans prendre une place démesurée dans les actions des personnages, sans que l'histoire ne tourne autour de ça uniquement. J'ai aimé cette évolution.

Pourtant, je n'ai pas été complètement emportée par le récit. J'ai mis beaucoup de temps à entrer vraiment dans l'histoire. C'est en partie dû à un contexte personnel compliqué, qui m'a laissé très peu de temps de lecture, mais pas que.

L'action commence presque tout de suite, la présentation des personnages est intrigante, chacun des deux narrateurs ayant une vraie personnalité. J'ai eu envie d'en savoir plus sur eux, sur leurs secrets, après les premiers chapitres.

Puis l'intérêt est retombé pendant un long moment. Je n'ai pas réussi à m'attacher particulièrement à eux. Finalement, et assez ironiquement car il est plus secondaire que Clemente et Lauro, c'est à Fiore qui je me suis le plus attachée.

L'univers construit autour de Venezia, cette Venise emplie de magie, est très complet, avec une ambiance que j'ai adorée. Les descriptions rendent parfaitement le côté baroque et en même temps distingué de la ville.

Venezia prend une place à part entière, et la recherche de la mystérieuse ville disparue est passionnante.

La forme et le fonctionnement de la magie m'ont aussi beaucoup plu. J'aurais aimé voir encore plus de sigils dessinés à travers le texte.

Le roman garde un bon rythme, avec des chapitres courts alternant entre les deux points de vue. Les deux personnages principaux sont tellement opposés dans leur vision des événements que c'est un vrai atout d'avoir ces deux narrateurs.

L'écriture est jolie, avec de belles descriptions, mais je l'ai trouvée parfois peu précise. Les scènes d'actions ne sont pas toujours très claires, et j'ai du relire plusieurs fois l'une des scènes de conclusion pour la visualiser précisément. Et encore, c'est le texte qui m'a donné les clés de compréhension quelques pages plus loin... Dommage.

Un texte prenant, avec de très bonnes idées dans la construction de l'univers, dans la manière d'aborder les thèmes principaux, mais dont j'aurais aimé plus d'approfondissement des personnages.

Venezia me restera en mémoire pour son ambiance et la beauté des deux cités.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Il les avait recopiées dans ses propres cahiers, mais il revenait toujours à celui de son père. C'était comme si celui-ci lui parlait encore, lui expliquait ses avancées et ses découvertes. Sa voix s'était estompée avec les années, mais Lauro revoyait sa concentration lorsqu'il écrivait dedans ou se penchait sur la carte. C'était comme un fil qui les reliait, son seul héritage. Il avait l'impression que son père l'encourageait et le soutenait à travers ses mots passés.
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Le voleur riait, immanquable avec cette aura chaleureuse qui rayonnait autour de lui. Même si c'était un peu écrasant, Clemente appréciait ce tourbillon de vitalité qui lui faisait penser à un feu d'artifice : mouvant, coloré, chaleureux, surprenant.
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Grandes Eaux, à tout prendre, je préfère encore être un voleur qu'un héros. Ça rapporte plus et c'est moins dangereux.
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Il y aura toujours des gens qui [...] te verront comme quelqu'un qui n'a pas sa place dans leur monde, mais tu n'as pas besoin d'eux pour décider qui tu es.
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- Où est donc passé ton sens de l'aventure et de la mise en scène ?
- en train de se faire tabasser par mon instinct de survie, pourquoi ?
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