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sur 6410 notes
Après Les Fourmis, j'ai lu les Thanatonautes afin de voir la conception werbérienne d'un au-delà. Et puis j'ai cessé de lire cet auteur car ses livres sont excessivement longs, avec beaucoup de délayage, alors que davantage de concision donneraient, me semble-til, un style plus accrocheur.

L'idée des Thanatonautes reste quand même génial. Ce voyage au-delà de la mort relié à la vie terrestre par un cordon ombilical qui peut rompre au moindre pépin – et là c'est la vraie mort – m'a séduit par son originalité.

A parir de là, une bonne idée, Bernard Werber est capable de construire tout un monde dans lequel les humains vont organiser des voyages avec retour non garanti.

Les très nombreuses références religieuses et mythologiques soutiennent bien cette idée de départ. Certaines sont plutôt amusantes même les dérapages sont fréquents et semblent s'adresser à un jeune public. Ce n'est pourtant pas le cas de l'ensemble du livre qui est un vrai bouquin de « grands ».

Bernard Werber aborde sous l'angle de l'humour la question de l'éthique et il s'en sort plutôt bien à mon sens.

Un livre plutôt agréable à lire mais dont les longueurs peuvent finir par lasser.
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S'il n'est plus nécessaire de présenter Bernard Werber, Les Thanatonautes n'appartenant pas à ses oeuvres les plus connues (les séries consacrées aux Fourmis et aux Dieux, ses diverses encyclopédies…), méritent une petite chronique. Commencer en décrivant un ouvrage de qualité, bien mené, bien écrit, original, qui se lit sans résistance, qui se révèle être passionnant du début à la fin exception faite de quelques passages un peu décevant (la bataille du 14 mai, la figure de Lucinder, les notes des services de police…), s'impose. Un livre à lire ? Indéniablement et immédiatement, qu'on se le dise !
Écrit au cours des années 1990 et lancé dans un futur proche, le récit n'en parait pas moins intemporel. Sans doute destiné à donner plus de crédibilité au texte, cette projection se révèle superfétatoire et les quelques jalons temporels parviennent difficilement à créer l'idée d'un futur. Et c'est tant mieux ! Car il n'est pas ici question de science-fiction, plutôt d'un hommage rendu pêle-mêle aux découvertes, à la science, aux religions, aux croyances mythologiques. L'ensemble tient-il debout lorsqu'il s'agit de découvrir ce qui se passe après la mort ? Et bien oui !
Il faut certes faire un petit effort pour dépasser certaines appréhensions (les voyages dans l'au-delà depuis un fauteuil de dentiste, les ectoplasmes…), mais l'auteur nous le rend bien. Les personnages masculins et féminins sont tous attachants (et tout particulièrement Stéphania et Michael, du moins dans la première partie de l'ouvrage tant celui-ci bouleverse les clichés habituels du protagoniste médecin). L'utilisation de l'humour pour évoquer la mort, lorsque que c'est un enfant qui tente de la comprendre est tout simplement… risqué mais réussi. Cette phase d'accroche n'est du reste qu'une brillante invitation à poursuivre une histoire haute en couleurs.
L'invitation est bien (trop) vite suivie par le corps du livre : une conquête de la mort, métamorphosée pour cela en nouveau continent. Les balbutiements des débuts, les premières découvertes, les réussites, les échecs, les avancées, l'impact sur le monde… le récit est d'une richesse insoupçonnée. Petite aparté : il est vraiment bon de lire ce livre pour tout(e) Français(e). le texte est encore émaillé de nombreux joyaux (les références mythologiques) tous plus brillants les uns que les autres. Et autant garder le meilleur pour la fin : le talent de l'écrivain pour réussir à concilier science et croyance sans vraiment trancher entre les deux. Les révélations finales et le dénouement, qu'en dire, sinon qu'ils sont à la hauteur de ce qui précède. Une expérience à lire et à vivre, un ouvrage intemporel et contemporain : une très bonne surprise !
Lien : http://kriticon.over-blog.co..
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Dans Les Thanatonautes, j'ai retrouvé la même sensation qu'à la lectures des Fourmis. Les sujet est original, intéressant, bien exploité ,le style est agréable, pas trop compliqué sans être simpliste. Mais qu'est-ce que c'est long ! J'ai eu l'impression que je n'en verrai jamais le bout. Les murs se succèdent, les personnages aussi, et on a l'impression que ça ne s'arrêtera jamais.
J'ai bien aimé les intermèdes présentant la vision de la mort et de l'au-delà dans les différents peuples et religions. Mais là encore, ça se succède sans s'arrêter.
Je suis contente de l'avoir lu, je suis contente de l'avoir terminé. Et toujours avec ce sentiment de contradiction sur cet auteur, je pense que je serai contente d'en lire un autre.
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Ayant rencontré Pierre Taranzano (le dessinateur de cette trilogie) il y a peu, j'ai eu envie de découvrir ce qu'il faisait. Bernard Werber, je connaissais déjà bien entendu mais n'ayant jamais lu son ouvrage "Les Thanatonautes" d'où est extraite cette bande-dessinée, ce fut pour moi l'occasion d'associer les deux !

Ici, le lecteur est plongé dans un univers fantastique, l'exploration de la mort ou, pour être plus précise, de ce qui se passe après la mort. Toutes les religions ou presque croient en une vie après la mort, que ce soit sous forme de réincarnation, d'Enfer et de Paradis et de bien d'autres pays étranges à traverser. Et si tout cela était vrai ? Bien entendu, nous ne le saurons jamais car comme l'on dit souvent "Personne n'en n'est revenu pour nous raconté comment cela se passe après" mais néanmoins, d'après certains témoignages de personnes ayant été dans le coma, il se pourrait que notre cerveau continue à fonctionner et que l'on soit sensible à ce qui nous entoure. Est-ce bien réel, ne sommes nous pas en train de tomber en pleine science-fiction là ?
Pour nos deux protagonistes, Michael Pinson et Raoul Razorbak, il ne fait pas de toute qu'il se passe quelque chose après. Michael, plutôt sceptique dès le départ va finalement se laisser tenter et s'embarquer dans cette aventure pour laquelle ils vont devoir utiliser des cobayes humains, au risque de les perdre tous. Associés au Ministre Mercassier mandaté par le Président qui aurait vécu pareille aventure, tous s'engagent dans une aventure qu'ils ne sont pas prêts d'oublier...La communauté des Thanatonautes est née !

Un graphisme vraiment très bien travaillé riche en couleurs (merci aux dessinateurs et notamment à Pierre Taranzano pour la précision et la qualité de ses dessins qui rendent cette lecture encore plus agréable que ce qu'elle ne l'est déjà) et un scénario, bien qu'adapté du roman de Bernard Werber qui met vraiment l'eau à la bouche ! Un premier tome qui s'avère très prometteur pour les suivants et surtout, qui nous permet, de rêver un peu ! "Et si la vie n'était qu'un éternel recommencement ? " Voici un sujet de philo qui m'a passionné étant plus jeune et qui continue à le faire aujourd'hui...Une lecture que je ne peux donc que vous recommander !
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Il faut savoir que je n'avais jamais rien lu de Bernard Werber (excepté une nouvelle, dans le recueil 13 à table, que j'avais bien aimé!) et que ce livre m'a été conseillé à la fois par Sphinxou et par ma meilleure amie. Ce genre littéraire s'éloigne de ce que je lis habituellement mais je me suis tout de même lancée ! Et je ne suis pas déçue… :)

L'auteur alterne habilement entre l'histoire et des références mythologiques et religieuses autour de la mort. du coup, c'est un roman où l'on apprend des tas de choses et où on s'intéresse sérieusement à la mort, dans toutes les dimensions. Les « chapitres » sont séparés d'une drôle de façon, mais on s'y habitue vite. Ca aide, d'ailleurs, à rendre le rythme du roman plutôt soutenu, en tout cas dans la première partie. Les événements s'enchainent et on a vraiment envie de savoir où l'auteur va nous emmener. le style de Werber est fluide, facile à lire. J'avoue que c'est ce qui me faisait le plus peur au départ, c'est de ne rien comprendre et en fait,, l'auteur rend son histoire complètement accessible.

Par contre, le roman n'échappe pas à quelques longueurs, dû au fait qu'on a envie de savoir où l'auteur veut en venir et jusqu'où on va explorer ce nouveau continent. J'ai plusieurs fois eu envie de passer des pages pour avancer plus vite, tant on est curieux d'en apprendre plus !

Bref, une plongée dans un nouvel univers pour moi, et je peux dire une chose, ça fait du bien de sortir de sa zone de confort de temps en temps.
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- Lu en 2001 -

Les Thanatonautes font ressurgir en moi des émotions littéraires délicieuses : un goût d'aventure et de découverte, un fumet de liberté, d'ingéniosité, d'audace, d'originalité et des relents d'au-delà comme je n'avais jamais osé l'imaginer.
Werber décrivant une file de morts qui attend le jugement dernier devant des sages affairés, qui comptent et recomptent les bons et les mauvais points de chacun... J'adore !

Humour, provocation, créativité, connaissances, science, fantaisie, belle écriture, théologie... Voilà quelques ingrédients pour ce beau coup de coeur décalé.

Cela fait des années que je souhaite relire ce roman.
En 2021 ? Ce serait un beau clin d'oeil pour fêter le 20ème anniversaire de sa lecture !
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J'ai découvert Werber sur le tard, l'été dernier avec son premier grand succès Les Fourmis (vous pouvez retrouvez ma critique ici).
J'avais été conquise par son style et m'étais promis de lire d'autres de ses romans dès que l'occasion se présenterait. Voilà qui est fait avec Les Thanatonautes. Je ne m'attendais à rien en particulier et avait bien pris soin de ne rien lire au sujet de ce livre avant de l'avoir refermé.
Et bien quelle déception ! Pour tout vous dire, il m'a tellement peu captivé que j'ai lu les 100 dernières pages en travers !
Je ne remet aucunement en cause le talent de l'auteur que je salue encore une fois, il a la capacité d'inventer des histoires extraordinaires et comme dans les fourmis les recherches nécessaires à la construction de son récit sont remarquables mais je n'ai pas accroché à l'histoire !
Werber est pour un moi un auteur complètement à part, qui produit des oeuvres tellement riches qu'on ne peut être complètement à leur encontre. Je m'explique. Des livres aussi riches que les siens provoquent forcément une multitudes de sentiments, contradictoire parfois. J'avais déjà ressenti cela avec Les Fourmis. Rire, angoisse, tristesse, réflexion, ennui...c'est à mon sens cela qui fait le talent d'un auteur, pouvoir faire réagir son lecteur de divers manières.
Mais revenons à l'histoire, l'idée de départ est exceptionnelle. Découvrir ce qu'il ya après la mort, c'est LE grand mystère de la vie ! Personne ne sait, tout le monde l'imagine, on en a peur tout autant que l'on en est curieux. Je m'attendais à ce que Werber traite le sujet avec brio et j'ai été vraiment déçue. Cela ne décolle pas, il reste dans les grandes lignes de ce que l'on "connait" déjà sur le sujet. le paradis, les anges....c'est un peu trop facile je trouve !
Trop de religions et de clichés sur le thème à mon goût. Je suis cartésienne et athée alors son idée du paradis, de l'archange Gabriel et tout ça, c'était trop pour moi. L'idée qu'il explique « physiquement » un continent où se retrouve les gens qui meurent et bien je n'y crois pas une seule seconde, l'âme qui s'élève au dessus de soi, non plus.
Je m'attendais tout de même à vraiment découvrir un autre monde, quelque chose de véritablement incroyable et plus le récit avançait moins j'étais surprise.
Le récit s'avère très répétitif et les rebondissements n'en sont pas, tout est très attendu. Les liens entre les personnages, les différentes morts, je n'ai eu aucune surprise ! Je savais dès les premières pages qui allait aimer qui, qui allait mourir...
Même dans la façon d'accéder au pays des morts, je trouve que Werber tombe dans la facilité, comme s'il avait eu plein d'idées, qu'il n'avait pas su laquelle choisir et qu'il avait au bout du compte décidé de toutes les tenter. Trop long, trop redondent et au final ennuyeux !
Je m'attendais à une réelle prise de risque et il n'en est rien. Il retrace sur son continent des morts tous les vices et les travers de la société des vivants. On voudrait en retirer quelques réflexions mais il n'en est rien. La fin n'en est pas une ‘je crois que c'est un peu sa marque de fabrique, il tente d'instaurer un faux suspens qui pour moi est tombé à plat. Après la mort il y a …. Et bah c'est pas bien compliqué de le deviner !!! Surtout lorsque l'on sait qu'il y a une suite !
La partie du livre que j'ai préféré c'est le début, que j'ai trouvé très drôle ! La façon dont Mickael se présente, raconte son enfance est d'une ironie certaine. J'ai également beaucoup aimé les paragraphes traitant des divers coutumes et visions de la mort sur les autres continents. C'est très intéressant.
Je ne dis pas que le livre est mauvais, pas du tout, mais simplement l'histoire ne m'a pas transportée comme je l'aurais cru. Werber reste un auteur majeur que je relirais de temps en temps.
Mon beau frère (du haut de ses 16 ans) m'a conseillé la suite, L'empire des anges, qu'il a préféré aux Thanatonautes. Je tenterais peut-être mais pas pour le moment.
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Premier Werber pour moi, "Les Thanatonautes" me laisse une impression fort mitigée.
J'ai beaucoup peiné dans cette lecture que j'aurais sans doute abandonnée si elle ne m'avait pas été piochée.
Ce livre avait atterri dans ma bibliothèque grâce à son thème prometteur...
Mon premier grief sera sur les personnages et les caractères qui sont peu travaillés et souvent à la limite de la caricature. Avec une mention pour Amandine la jeune infirmière qui se marie avec tous les Thanatonautes qui lui passent sous la main. Aucun attachement aux personnages, donc.
Ensuite l'histoire... le narrateur, Michael Pinson, est un jeune homme influençable qui va, avec son ami Raoul, être un des pionniers de la thanatonautique, permettant le voyage vers l'au-delà. Nous suivons son récit et les avancées des scientifiques, et le moins que l'on puisse dire c'est que c'est long et ennuyeux. Les mêmes scènes se répètent encore et encore...
Certains passages frisent le ridicule, je pense notamment à la bataille du paradis qui restera dans ma mémoire pour le fou rire qu'elle a créé. Il faut imaginer des ectoplasmes de rabbins, de moines Shaolin et de derviches tourneurs se livrer à une danse galactique et attaquer leurs adversaires, alors qu'ils sont tous reliés à leur corps terrestre par un long cordon argenté.
Néanmoins, le dernier quart du roman m'aura fait passer un bon moment. On passe à des considérations plus philosophiques ou éthiques, bien amenées et plus intéressantes que les péripéties de nos héros. Et j'ai trouvé l'épilogue réussi.
Quant à la structure du récit elle est originale et bien fichue, avec des petits chapitres interruptifs qui reviennent régulièrement.
L'écriture est simple et a quelque chose de naïf qui n'est en fait pas déplaisant.
Une première incursion chez Werber que je ne regrette pas, mais je ne compte tout de même pas y retourner de sitôt...
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"La thanatonautique naquit d'un incident fortuit. La plupart des historiens la datent du jour de l'attentat contre le président Lucinder."

Confronté à une Expérience de Mort Imminente (ou Expériences post-comatiques ou encore NDE en anglais), le président Lucinder décide de financer un nouveau laboratoire dont l'objectif est l'exploration du dernier continent inconnu : celui de la mort.

Michael Pinson et Raoul Razorbak, deux vieux compères qui se connaissent depuis l'enfance et qui sont fascinés par la mort depuis toujours, prendront la tête de ce laboratoire, en débutant les expériences sur des volontaires, accessoirement prisonniers de droit commun.

Si le nombre de décès sans retour est important, le président maintient le financement du laboratoire, au risque de se voir laminé aux prochaines élections, voire d'être accusé de génocide.

Mais à force de persévérance, le premier Thanatonaute (du grec Thanatos, la mort, et Nautês, navigateur) finit par revenir de l'au-delà.

Démarre ainsi l'engouement de tous pour cette nouvelle technologie balbutiante, mais qui très vite progresse toujours plus loin vers le "Paradis".

A mon avis :
Belle idée que ce voyage exploratoire vers les confins de la vie, ou plutôt de la mort.

Après un démarrage un peu poussif parce qu'il s'agit de l'enfance des deux héros de ce roman de science fiction (Raoul et Michael), le récit entre dans le vif du sujet. Et ce sujet est assez original. L'imagination de Bernard Werber fait mouche, on se passionne nous aussi pour cette exploration d'un monde qu'on imagine véritable, d'autant que des extraits de textes ou des interprétations mystiques viennent agrémenter chaque début de chapitre.

En y ajoutant quelques éléments complotistes et des histoires d'amour et de famille, l'auteur rend son récit encore plus passionnant.

Et puis, progressivement, l'engouement ressenti au départ se tasse.

L'exploration et les différentes étapes rencontrées dans l'au-delà (moch 1, moch 2, 3, 4...) font durer l'histoire et finalement, même si ce que l'on découvre à chacune d'entre elle est différent, la mécanique est toujours identique.

On commence par conséquent à se lasser.
Cette sensation est accentuée par la banalité des aventures de nos thanatonautes, qui trouvent dans l'Au-delà les mêmes problématiques que "sur Terre", avec les mêmes déviances tellement humaines... Si bien que l'esprit inventif du début du récit se perd totalement dans la banalité des aventures qu'ils vivent.
Et pour parachever le tout, ce que l'on découvre sur la fin du "voyage vers le Paradis" frise le ridicule. Je ne voudrais pas déflorer ici l'intrigue, mais vraiment, ce fut une réelle déception tant cela manque d'imagination.

Il y avait donc un vrai potentiel dans ce récit, mais malheureusement il est retombé dans la banalité d'un roman de pseudo-science fiction. Quel dommage.

On ne peut pas écrire "Les fourmis" à chaque fois...

Retrouvez d'autres avis sur d'autres lectures, sur mon blog :
https://blogdeslivresalire.blogspot.com/
Lien : https://blogdeslivresalire.b..
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Les Thanatonautes est le très bon début à sa meilleur série. N'ayant pas accroché à sa série des Fourmis, j'ai une appréhension pour cette suite, mais dès le début j'ai marché et ça c'est poursuivie jusqu'à la fin de la série. Une très belle description de l'au-delà, il a su réunir tout les aspects grâce à une bonne documentation sur le sujet. Bravo! Son écriture est très visuelle et facilite la perception des images sur les situations particulière à l'au-déla.
Un des meilleurs sur le sujet sans trop tombé dans le mystico-ésotérique.
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